Hier, les femmes du Rassemblement des femmes houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RFHDP) ont rencontré au siège de la Commission électorale indépendante (CEI), le président de cette Institution, Youssouf Bakayoko. Elles y étaient pour exiger une date précise du 1er tour des élections.
Cette rencontre survient après celle qu’elles ont eue avec Y. Choï et Bouréïma Badini, respectivement, Représentant du Secrétaire Général des Nations Unies et Représentant du facilitateur de dialogue direct inter ivoiriens. Les femmes du RHDP ont tenu un langage franc à Youssouf Bakayoko, président de la CEI. Elles ont déploré le fait que, jusqu’à ce jour, aucun acte concret ne semble avoir connu un début d’exécution par rapport au nouveau chronogramme qui prévoyait le traitement du contentieux électoral, du 1er au 21 mars 2010. Face à cette situation, les femmes du RHDP, par la voix de leur présidente, mettent en exergue le retard dû à la lenteur dans l’exécution du chronogramme annoncé. Elles ont alors demandé au président Youssouf Bakayoko d’indiquer la date précise du 1er tour des élections présidentielles. « Cette date, vous devrez la respecter contre vents et marrées pour ne pas faillir à votre parole d’homme d’honneur », a lâché Mme Dao Coulibaly au président Youssouf Bakayoko. Avant de prendre congé du président de la CEI, elles ont tenu à lui signifier que toute la Côte d’Ivoire à les regards fixés sur lui, surtout les femmes du RHDP, qui l’observent et sont à ses côtés, s’il s’en tient à ce qu’il dit. Toutefois, elles ont averti que si le président Youssouf Bakayoko s’éloigne de la ligne de conduite qu’il s’est tracée, il répondra devant la nation et la communauté internationale, car, elles réagiront énergiquement et l’histoire retiendra cela. Car, le peuple ivoirien à trop souffert de ces élections « en boîte de pandore » pour avaler une quelconque dernière couleuvre a conclu Mme Henriette Dao Coulibaly qui conduisait une délégation composée d’une dizaine de femmes, dont Mme Touré Virginie du Rdr, Traoré Pauline du Mfa et de Oulaï Céline, représentante de Mme Bonao Cécile de l’UDPCI. Il faut noter qu’à l’entrée du siège de la CEI, plus d’une centaine de femmes manifestaient bruyamment pour attirer l’attention du président Youssouf Bakoyoko, sur les reports répétés des élections.
Etienne Lemistick
Cette rencontre survient après celle qu’elles ont eue avec Y. Choï et Bouréïma Badini, respectivement, Représentant du Secrétaire Général des Nations Unies et Représentant du facilitateur de dialogue direct inter ivoiriens. Les femmes du RHDP ont tenu un langage franc à Youssouf Bakayoko, président de la CEI. Elles ont déploré le fait que, jusqu’à ce jour, aucun acte concret ne semble avoir connu un début d’exécution par rapport au nouveau chronogramme qui prévoyait le traitement du contentieux électoral, du 1er au 21 mars 2010. Face à cette situation, les femmes du RHDP, par la voix de leur présidente, mettent en exergue le retard dû à la lenteur dans l’exécution du chronogramme annoncé. Elles ont alors demandé au président Youssouf Bakayoko d’indiquer la date précise du 1er tour des élections présidentielles. « Cette date, vous devrez la respecter contre vents et marrées pour ne pas faillir à votre parole d’homme d’honneur », a lâché Mme Dao Coulibaly au président Youssouf Bakayoko. Avant de prendre congé du président de la CEI, elles ont tenu à lui signifier que toute la Côte d’Ivoire à les regards fixés sur lui, surtout les femmes du RHDP, qui l’observent et sont à ses côtés, s’il s’en tient à ce qu’il dit. Toutefois, elles ont averti que si le président Youssouf Bakayoko s’éloigne de la ligne de conduite qu’il s’est tracée, il répondra devant la nation et la communauté internationale, car, elles réagiront énergiquement et l’histoire retiendra cela. Car, le peuple ivoirien à trop souffert de ces élections « en boîte de pandore » pour avaler une quelconque dernière couleuvre a conclu Mme Henriette Dao Coulibaly qui conduisait une délégation composée d’une dizaine de femmes, dont Mme Touré Virginie du Rdr, Traoré Pauline du Mfa et de Oulaï Céline, représentante de Mme Bonao Cécile de l’UDPCI. Il faut noter qu’à l’entrée du siège de la CEI, plus d’une centaine de femmes manifestaient bruyamment pour attirer l’attention du président Youssouf Bakoyoko, sur les reports répétés des élections.
Etienne Lemistick