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Économie Publié le vendredi 19 mars 2010 | Notre Vision

Affaire dénonciations calomnieuses : Le document qui contredit Tapé Koulou

Suite à la publication de l’épitaphe du journal moribond à l’instar de son premier responsable, nombreux ont été les ivoiriens, aussi bien des personnalités politiques économiques et administratives que des membres de la famille tapé qui nous ont joint pour nous demander de ne pas répliquer parce que connaissant l’homme. Et comme tout Homme normal se doit d’écouter les conseils d’autrui, nous avons décidé de ne rien dire de tout ce que nous savons de vrai sur ledit PDG de ‘‘ Le national’’. Cependant, comme le recommande la déontologie de la presse professionnelle, nous ne ferons que situer les faits et rétablir la vérité afin de montrer à la face de la nation que ‘ Notre Vision’ est un organe de presse dont les promoteurs sont des professionnels, des vrais. Qui écrivent avec des vraies preuves à l’appui.

En effet, le journal aux informations directes ( ?) vient une fois de plus de produire un canular dont l’objet est de jeter l’anathème sur des jeunes gens qui ont décidé d’œuvrer pour un journalisme professionnel et non vivre de journalisme chantage afin de les livrer vainement à la vindicte populaire. Ce au republiant un ‘flop’, publié déjà par la même personne il y a 7 ans. C’était les 2,3 ,4 et 6 Mai 2003. Un acharnement sur jules Bossiehi qui avait commis l’erreur de refuser d’entrer le jeu d’escroquerie et d’arnaque du promoteur de ‘Le National’ Tapé Koulou Laurent qui n’est plus à présenter aux ivoiriens. Réitérant cette fois- ci, son journal moribond en quête de pitance journalière pour assurer la survie de son promoteur, on a cru faire sensation en collant son propre scénario aux journalistes professionnels de ‘Notre Vision’. Qu’il accuse d’être liés à Nobila Paul alias major Alain Gossé. Pour la gouverne de tous, Paul Nobila est connu de tous les journalistes ivoiriens depuis le déclenchement de la crise ivoirienne en septembre 2002 où l’homme avait fait une interview dans le quotidien soir Info. Après quoi, il fut de tout temps l’ami et complice de Tapé Koulou Laurent qui l’utilisait pour écumer les personnalités politiques. Jusqu’à cette nouvelle affaire ‘‘ major Alain Gossé’’. Un autre scénario parmi tant d’autres qu’ils ont monté de toutes pièces pour extorquer des sous aux autorités ivoiriennes dont la première dame Simone Ehivet Gbagbo. Vu que les portes du palais lui étaient désormais fermées, depuis que le pouvoir a découvert sa vraie face. Cette lettre de Paul Nobila alias Alain Gossé adressé au PDG de ‘Le National’ depuis Lomé est la preuve parfaite que les deux hommes se sont alliés pour reprendre leur habituel travail : extorquer des sous. A la lecture de ce courrier que les journalistes professionnels de ‘Notre Vision’ qui font du journalisme d’investigation ont saisi, tout se passe de commentaire. Lisez tout simplement et comprenez qui est celui-là vraiment qui fait des dénonciations calomnieuses contre l’Etat depuis 2003. « Nous sommes avec qui et qui fait quoi ? », a écrit Alain Gossé s’adressant à Tapé. Le ‘’nous’’ fini par convaincre. Au lieu de vouloir coûte que coûte coller ce grossier montage à jules Bossiehi et Athanase Zéga, le promoteur de ‘ Le National’ gagnerait à donner des explications aux autorités ivoiriens sur ce courrier et expliquer à ces derniers comment se fait- il qu’il a été celui là même qui a été le seul journal à avoir publié la lettre d’excuse et de pardon de Alain Gossé à la première dame puis courir à Abidjan avec une cassette dans la poche pour négocier. N’était-il pas celui qui a fait des photos avec Alain Gossé depuis sa cachette et que son journal a publié ? En réalité, c’est une sempiternelle habitude dont l’homme est passé maître, c`est-à-dire espionner les personnalités pour des peccadilles.
Si le Président Laurent Gbagbo se rappelle, c’est bien Tapé Koulou qui était venu lui poser le problème de véhicule pour l’ex président Bédié. Et ce jour-là, l’homme enregistrait avec un dictaphone caché dans sa veste, toute la conversation qu’il avait eu avec le Président Gbagbo puis courir aller la remettre à Bédié. Idem lorsqu’il était avec le président Fologo, toujours pour le compte de celui qu’il se plait à appeler son papa, c’est à dire le président Bédié. Aujourd’hui, si nous, les journalistes de Notre Vision avions décidé de ne plus fréquenter l’homme, c’est bien à cause de ses pratiques qui n’honorent pas notre éthique morale et professionnelle, car nous avions cru que le nombre d’années avaient assagit l’homme. Que nenni ! L’amitié n’est pas obligatoire encore moins une sinécure pour qu’il en fasse des palabres. Si nous ne sommes plus avec lui, qu’il se trouve d’autres amis ailleurs, c’est tout simple au lieu d’émettre des cris de cygne et nous vilipender vainement. Nous avions tout simplement apporté notre plume de professionnel à Le National, et nous l’avions fait avec conviction non pas parce que nous vagabondions mais parce que nous avions cru que son promoteur n’allait pas revenir à son ancien amour. Et comme qui a bu boira, nous nous sommes retirés comme la clause de conscience le recommande surtout que nous sommes des directeurs de publication également. Maintenant, si le travail que Jules Bossiéhi et Athanase Zéga le dérange (suivez notre regard), alors du vent !
Pour notre part, les Ivoiriens et les autorités sauront désormais qui est derrière ce énième complot contre la Côte d’Ivoire. Car nous au moins, nous avons le courage de signer avec nos identités réelles au lieu de nous cacher derrière des pseudonymes. Sûrs de ce que nous écrivons.

Sylvain-jules Bossiehi
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