Une équipe du Conseil de sécurité de l'ONU viendra à Abidjan le mois prochain pour évaluer le processus de paix ivoirien, a annoncé vendredi le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies en Côte d'Ivoire, Choi Young-jin.
"Le Conseil de sécurité, à travers le secrétariat, va envoyer cette équipe pour examiner tous les problèmes liés aux retards et faire en sorte que toutes les conditions soient réunies pour aider les Ivoiriens à aller aux élections", a expliqué M. Choi, dans un entretien à la radio onusienne à Abidjan diffusée samedi.
Le chef de l'Onuci a fait le point du processus électoral, de son mandat de certification ainsi que de l'accompagnement de la communauté internationale pour aider la Côte d'Ivoire à sortir de la crise.
S'agissant du processus électoral, le représentant spécial a insisté sur la relance, le plus tôt possible, du processus du contentieux afin de produire rapidement la liste électorale définitive.
La liste électorale provisoire de 5,3 millions de personnes peut être "examinée", a indiqué M. Choi tout en rappelant que "cela doit se faire en apportant les preuves, selon le mode opératoire convenu".
L'Onuci a implicitement certifié la liste provisoire en prenant en compte l'évaluation positive du processus, notamment les audiences foraines, l'identification de la population et le recensement électoral.
"Je suis certain que la liste définitive sera consensuelle car le processus du contentieux va mettre tout le monde à bord", a-t-il affirmé.
Sur le mandat de certification, M. Choi a fait savoir en quoi consiste clairement son rôle.
"Avant, le Haut représentant avait le rôle d'arbitre et de certificateur, celui-ci a été scindé en deux. Aujourd'hui avec l'accord politique de Ouagadougou, l'arbitrage a été confié au facilitateur, le président Blaise Compaoré du Burkina Faso et moi, j'ai le rôle de certificateur", a-t-il expliqué.
"L'élu sera l'élu", a-t-il martelé affirmant que l'Onuci avait les moyens de "sauvegarder le processus électoral et le résultat des élections".
L'élection présidentielle attendue dans le pays depuis 2005 pour mettre fin à la crise ouverte en septembre 2002 a été sans cesse reportée. Officiellement, elle reste prévue dans la période "fin avril-début mai".
"Le Conseil de sécurité, à travers le secrétariat, va envoyer cette équipe pour examiner tous les problèmes liés aux retards et faire en sorte que toutes les conditions soient réunies pour aider les Ivoiriens à aller aux élections", a expliqué M. Choi, dans un entretien à la radio onusienne à Abidjan diffusée samedi.
Le chef de l'Onuci a fait le point du processus électoral, de son mandat de certification ainsi que de l'accompagnement de la communauté internationale pour aider la Côte d'Ivoire à sortir de la crise.
S'agissant du processus électoral, le représentant spécial a insisté sur la relance, le plus tôt possible, du processus du contentieux afin de produire rapidement la liste électorale définitive.
La liste électorale provisoire de 5,3 millions de personnes peut être "examinée", a indiqué M. Choi tout en rappelant que "cela doit se faire en apportant les preuves, selon le mode opératoire convenu".
L'Onuci a implicitement certifié la liste provisoire en prenant en compte l'évaluation positive du processus, notamment les audiences foraines, l'identification de la population et le recensement électoral.
"Je suis certain que la liste définitive sera consensuelle car le processus du contentieux va mettre tout le monde à bord", a-t-il affirmé.
Sur le mandat de certification, M. Choi a fait savoir en quoi consiste clairement son rôle.
"Avant, le Haut représentant avait le rôle d'arbitre et de certificateur, celui-ci a été scindé en deux. Aujourd'hui avec l'accord politique de Ouagadougou, l'arbitrage a été confié au facilitateur, le président Blaise Compaoré du Burkina Faso et moi, j'ai le rôle de certificateur", a-t-il expliqué.
"L'élu sera l'élu", a-t-il martelé affirmant que l'Onuci avait les moyens de "sauvegarder le processus électoral et le résultat des élections".
L'élection présidentielle attendue dans le pays depuis 2005 pour mettre fin à la crise ouverte en septembre 2002 a été sans cesse reportée. Officiellement, elle reste prévue dans la période "fin avril-début mai".