Depuis notre réflexion à travers notre conclave, il a été établi clairement que, pour nous, un audit de la liste électorale était inopportun et ne répondait pas à un certain principe». Ainsi s’est exprimé l’un des porte-parole des Forces nouvelles, Sékongo Félicien, hier, au cours du point de presse hebdomadaire qu’il a animé au siège de son mouvement à Bouaké.
Pour lui, les acteurs politiques doivent fédérer leurs énergies pour faire avancer le processus de sortie de crise. Qui, pour lui, malgré tous les soubresauts, poursuit son chemin. Cependant, il a laissé entendre que si d’aventure le processus de sortie de crise se trouvait véritablement bloqué par la volonté politique d’un des signataires de l’accord politique de Ouagadougou, les Forces nouvelles dénonceraient et appelleraient à des sanctions de la part de la communauté internationale.
Mais avant, il a noté qu’il serait bon d’appeler d’abord à la sanction de la communauté nationale. Ainsi, pour accélérer le processus de sortie de crise, le porte-parole des Forces nouvelles du jour a demandé à la Cei d’ouvrir le plus rapidement possible le contentieux. Avant de revenir sur la question du désarmement telle que définie par l’Apo. Pour lui, il n’y a aucun problème. De même que pour la réunification du pays et le redéploiement de l’administration.
Répondant à la question d’un confrère sur le «départ de Soro Guillaume de la Primature dans un jour», comme le prédit Pascal Affi N’Guessan, le président du Front Populaire Ivoirien (Fpi), Sékongo Félicien a répondu en ces termes : «si cela doit se faire, cela voudra dire que dans un jour la Côte d’Ivoire aura un nouveau président et un nouveau gouvernement». Après quoi, il a signifié que c’est la position du Président Laurent Gbagbo qui les intéresse et non celle de ses collaborateurs.
Adjé Jean-Alexis
Correspondant régional
Pour lui, les acteurs politiques doivent fédérer leurs énergies pour faire avancer le processus de sortie de crise. Qui, pour lui, malgré tous les soubresauts, poursuit son chemin. Cependant, il a laissé entendre que si d’aventure le processus de sortie de crise se trouvait véritablement bloqué par la volonté politique d’un des signataires de l’accord politique de Ouagadougou, les Forces nouvelles dénonceraient et appelleraient à des sanctions de la part de la communauté internationale.
Mais avant, il a noté qu’il serait bon d’appeler d’abord à la sanction de la communauté nationale. Ainsi, pour accélérer le processus de sortie de crise, le porte-parole des Forces nouvelles du jour a demandé à la Cei d’ouvrir le plus rapidement possible le contentieux. Avant de revenir sur la question du désarmement telle que définie par l’Apo. Pour lui, il n’y a aucun problème. De même que pour la réunification du pays et le redéploiement de l’administration.
Répondant à la question d’un confrère sur le «départ de Soro Guillaume de la Primature dans un jour», comme le prédit Pascal Affi N’Guessan, le président du Front Populaire Ivoirien (Fpi), Sékongo Félicien a répondu en ces termes : «si cela doit se faire, cela voudra dire que dans un jour la Côte d’Ivoire aura un nouveau président et un nouveau gouvernement». Après quoi, il a signifié que c’est la position du Président Laurent Gbagbo qui les intéresse et non celle de ses collaborateurs.
Adjé Jean-Alexis
Correspondant régional