Gaba Francis soutient n’avoir été qu’un simple intermédiaire dans cette affaire de vol par effraction. «J’étais assis lorsqu’un individu s’est présenté à moi avec un portail. Il le vendait à 20.000 Fcfa. J’en ai fais la proposition à mon oncle. Intéressé, il lui remet une avance. Donc, j’ai servi d’intermédiaire mais j’accepte tout », déclare cet ébéniste de 29 ans. Il est accusé de vol avec effraction portant sur divers matériaux de construction. Le plaignant, Combey Akouété Francis, affirme que depuis le mois de mars, il est victime de cas de vol sur son chantier à Gonzagueville (Port-Bouët). «Après mes propres enquêtes, j’ai pu démasquer l’auteur de ces vols en la personne de Gaba Francis. Le préjudice des matériaux volés s’élève à 656.500 Fcfa. Gaba refuse de dénoncer ses complices. Il accepte d’endosser seul la responsabilité », constate Francis dans sa déposition au commissariat de police du 24ème arrondissement.
Et pourtant
Difficile de croire la version de Dah Kouassi Marcelin. Le samedi 27 mars, à 4h, un groupe de jeunes l’appréhende non loin du salon de coiffure « Ebony Look », situé derrière le Cash Center, aux Deux Plateaux (Cocody). Il est pris avec un sachet noir contenant un disjoncteur qu’il aurait acheté à Adjamé. « Je venais d’être victime d’un cas de vol. Mon disjoncteur a été dérobé. Je me suis rendue sur les lieux où le voleur était tenu en respect. Nous l’avons conduit au commissariat de police », déclare Mme Vicens Annie, propriétaire du salon de coiffure. Le prévenu indique qu’il est victime d’une mauvaise coïncidence. «J’étais au mauvais endroit et au mauvais moment. Je n’ai pas volé», se défend l’électricien de 41 ans au poste de police du 12ème arrondissement.
Une sélection de Ouattara Moussa
Et pourtant
Difficile de croire la version de Dah Kouassi Marcelin. Le samedi 27 mars, à 4h, un groupe de jeunes l’appréhende non loin du salon de coiffure « Ebony Look », situé derrière le Cash Center, aux Deux Plateaux (Cocody). Il est pris avec un sachet noir contenant un disjoncteur qu’il aurait acheté à Adjamé. « Je venais d’être victime d’un cas de vol. Mon disjoncteur a été dérobé. Je me suis rendue sur les lieux où le voleur était tenu en respect. Nous l’avons conduit au commissariat de police », déclare Mme Vicens Annie, propriétaire du salon de coiffure. Le prévenu indique qu’il est victime d’une mauvaise coïncidence. «J’étais au mauvais endroit et au mauvais moment. Je n’ai pas volé», se défend l’électricien de 41 ans au poste de police du 12ème arrondissement.
Une sélection de Ouattara Moussa