Une délégation de la mission d’évaluation des nations unies conduite par Dmytro Oschepkov, a échangé le vendredi dernier à Sébroko avec le général Affro Yao Raphael, Commandant en second de la gendarmerie nationale et le Commissaire divisionnaire, Roger Godrin Kouadio, directeur adjoint de la police scientifique de Côte d’Ivoire .
Le chef de la délégation, Dmytro Oschepkov, a précisé que cette rencontre avait pour objectif de faire le point de la coopération de l’Onuci avec les forces de l’ordre ivoiriennes et voir dans quels domaines la mission peut leur être utile. «Nous souhaitons que vous nous soumettez vos idées et les domaines de compétence où nous pourrons vous assister. Nous allons tenir compte de vos préoccupations et nous ferons de notre mieux pour nous adapter à vos besoins » a déclaré Dmytro Oschepkov.
Quant aux responsables de la Gendarmerie et de la Police, ils se sont félicités de la bonne collaboration entre l’Onuci et les forces de l’ordre. Pour eux, les difficultés liées à l’incompréhension du mandat de la mission par les parties ivoiriennes se sont dissipées. « C’est grâce à la Police de l’Onuci que nous sommes en train d’installer la police scientifique» a indiqué le Commissaire divisionnaire Roger Godrin Kouadio.
Aussi, le commandant en second de la gendarmerie nationale, le général Affro Yao a-t-il plaidé pour la levée de l’embargo sur les armes. «Les élections arrivent sans un équipement adéquat pour le maintien d’ordre. Il nous est impossible de travailler de façon efficace. Nous avons besoin d’acquérir des armes conventionnelles, mais nous ne le pouvons pas, parce qu’il y a l’embargo. On ne peut pas faire du maintien de l’ordre avec une kalachnikov» a expliqué le général. Pour lui, il faudrait que la mission onusienne fasse mention du manque d’armes conventionnelles dans son rapport au secrétaire général des nations unies.
Franck YEO
Le chef de la délégation, Dmytro Oschepkov, a précisé que cette rencontre avait pour objectif de faire le point de la coopération de l’Onuci avec les forces de l’ordre ivoiriennes et voir dans quels domaines la mission peut leur être utile. «Nous souhaitons que vous nous soumettez vos idées et les domaines de compétence où nous pourrons vous assister. Nous allons tenir compte de vos préoccupations et nous ferons de notre mieux pour nous adapter à vos besoins » a déclaré Dmytro Oschepkov.
Quant aux responsables de la Gendarmerie et de la Police, ils se sont félicités de la bonne collaboration entre l’Onuci et les forces de l’ordre. Pour eux, les difficultés liées à l’incompréhension du mandat de la mission par les parties ivoiriennes se sont dissipées. « C’est grâce à la Police de l’Onuci que nous sommes en train d’installer la police scientifique» a indiqué le Commissaire divisionnaire Roger Godrin Kouadio.
Aussi, le commandant en second de la gendarmerie nationale, le général Affro Yao a-t-il plaidé pour la levée de l’embargo sur les armes. «Les élections arrivent sans un équipement adéquat pour le maintien d’ordre. Il nous est impossible de travailler de façon efficace. Nous avons besoin d’acquérir des armes conventionnelles, mais nous ne le pouvons pas, parce qu’il y a l’embargo. On ne peut pas faire du maintien de l’ordre avec une kalachnikov» a expliqué le général. Pour lui, il faudrait que la mission onusienne fasse mention du manque d’armes conventionnelles dans son rapport au secrétaire général des nations unies.
Franck YEO
