Directeur financier du Président Laurent Gbagbo, M. Jacques Bernard Anouma pèse dans la balance de l’entourage du Chef de l’Etat. Il est indéniable que si, l’argentier de la Présidence de la République jouit de la reconnaissance de « l’Enfant terrible de Mama », ce n’est ni par amitié, encore moins par complaisance. Jacques Anouma a été coopté, parce qu’il a du mérite.
Aujourd’hui, tout le monde s’accorde à dire qu’il a laissé de très bons souvenirs à Air France.
C’est donc, un homme rompu à la tâche qui tient les coffres-forts de la Présidence. On peut tout dénier à Jacques Anouma, mais sur ses qualités de « bosseur » il n’y a pas de débat. Si, au Plateau l’argentier de la République travaille dans la discrétion, à Treichville, c’est un autre Jacques Anouma que nous voyons, lorsqu’il se retrouve dans ses bureaux de la Fédération Ivoirienne de Football. Sous son impulsion, la Côte d’Ivoire footballistique présente un bien mieux visage par la qualité de son effectif, même si quelque fois, on reproche aux Eléphants, le fait qu’ils n’arrivent pas à offrir à notre pays, une seconde coupe d’Afrique des Nations. On a souvent dit que le football est facteur de rapprochement. Plusieurs fois, la preuve nous a été donnée quant à nos pachydermes. Une preuve qui montre et démontre que l’artisan de cette dynamique, autour des Oranges ivoiriens est bel et bien le Président Jacques Anouma. Nous nous souvenons encore comme si c’était hier, de ce que le patron de la FIF et ses « poulains » ont pu apporter à la consolidation de la paix en Côte d’Ivoire, avec ce match historique à Bouaké au cœur de la rébellion entre le onze ivoirien et l’équipe nationale malgache. Toutes ces actions, dont on ne comprend toujours pas la portée ont plaidé en faveur du Chef de l’Etat. Parce qu’elles ont d’une manière ou d’une autre rapproché les belligérants dans la crise ivoirienne. Aujourd’hui, il est inconséquent et méchant de présenter l’argentier de la République sous un tableau sombre.
Parce qu’on remarque qu’il n’est pas à l’abri de certaines critiques du palais. Des hommes encagoulés qui ont décidé de lui « faire la peau ». Malheureusement, pour ses détracteurs, le combat a été perdu avant qu’il ne commence. Jacques Anouma jouit de la confiance du Chef de l’Etat, parce qu’il est pour lui, un atout de poids. Comme un iceberg, le natif de Memni travaille dans l’ombre pour la victoire du Président Laurent Gbagbo. Pour lui signifier leur reconnaissance pour le travail abattu, des Ivoiriens s’apprêtent selon des indiscrétions à fêter M. Jacques Anouma avant la grande messe de la coupe du monde sud-africaine.
Claude Lauren
Aujourd’hui, tout le monde s’accorde à dire qu’il a laissé de très bons souvenirs à Air France.
C’est donc, un homme rompu à la tâche qui tient les coffres-forts de la Présidence. On peut tout dénier à Jacques Anouma, mais sur ses qualités de « bosseur » il n’y a pas de débat. Si, au Plateau l’argentier de la République travaille dans la discrétion, à Treichville, c’est un autre Jacques Anouma que nous voyons, lorsqu’il se retrouve dans ses bureaux de la Fédération Ivoirienne de Football. Sous son impulsion, la Côte d’Ivoire footballistique présente un bien mieux visage par la qualité de son effectif, même si quelque fois, on reproche aux Eléphants, le fait qu’ils n’arrivent pas à offrir à notre pays, une seconde coupe d’Afrique des Nations. On a souvent dit que le football est facteur de rapprochement. Plusieurs fois, la preuve nous a été donnée quant à nos pachydermes. Une preuve qui montre et démontre que l’artisan de cette dynamique, autour des Oranges ivoiriens est bel et bien le Président Jacques Anouma. Nous nous souvenons encore comme si c’était hier, de ce que le patron de la FIF et ses « poulains » ont pu apporter à la consolidation de la paix en Côte d’Ivoire, avec ce match historique à Bouaké au cœur de la rébellion entre le onze ivoirien et l’équipe nationale malgache. Toutes ces actions, dont on ne comprend toujours pas la portée ont plaidé en faveur du Chef de l’Etat. Parce qu’elles ont d’une manière ou d’une autre rapproché les belligérants dans la crise ivoirienne. Aujourd’hui, il est inconséquent et méchant de présenter l’argentier de la République sous un tableau sombre.
Parce qu’on remarque qu’il n’est pas à l’abri de certaines critiques du palais. Des hommes encagoulés qui ont décidé de lui « faire la peau ». Malheureusement, pour ses détracteurs, le combat a été perdu avant qu’il ne commence. Jacques Anouma jouit de la confiance du Chef de l’Etat, parce qu’il est pour lui, un atout de poids. Comme un iceberg, le natif de Memni travaille dans l’ombre pour la victoire du Président Laurent Gbagbo. Pour lui signifier leur reconnaissance pour le travail abattu, des Ivoiriens s’apprêtent selon des indiscrétions à fêter M. Jacques Anouma avant la grande messe de la coupe du monde sud-africaine.
Claude Lauren
