Faisant suite au récent communiqué conjoint du Premier ministre et de la CEI annonçant pour le 10 mai prochain la reprise du contentieux électoral, le porte-parole de la commission chargée des élections M. Bamba Yacouba, s'est adressé à la presse hier au siège de la CEI pour fournir les éclairages nécessaires concernant ladite opération.
De prime abord, le porte-parole de la CEI a tenu à expliquer que la présente opération se déroulera en deux phases : la première concerne les pétitionnaires inscrits sur la liste litigieuse ou liste grise de 1,033 million. Dès le 10 mai et ce pour une durée de 15 jours ouvrables, ces personnes doivent se présenter devant les comités de réclamation logés dans les 415 commissions locales de la CEI pour clarifier leur statut. Il s'agit pour eux de revenir faire la preuve qu'elles sont réellement des Ivoiriens et qu'elles méritent de figurer sur la liste électorale.
"La seconde phase de l'opération s'attaquera au traitement de la liste électorale provisoire composée de la liste blanche et des résultats de la liste grise, ce qui débouchera sur la liste définitive" a indiqué M. Bamba Yacouba, non sans préciser que "cette deuxième étape relève de la compétence exclusive de la CEI en collaboration avec les magistrats". Il a aussi insisté pour dire que le chronogramme du processus électoral récemment éventé par la presse ne provient pas de la CEI. Et que mieux, la CEI n'en est pas l'auteur.
Revenant sur l'ébullition du front politique et particulièrement sur le rejet par le RHDP du nouveau mode opératoire, le porte-parole de la CEI a fait savoir que "le mode opératoire n'a pas vraiment chargé". Sauf que dans le cas présent, toutes les structures techniques vont siéger dans des commissions électorales locales pour garantir la transparence des opérations.
M. Bamba Yacouba a rassuré que les élections auront lieu en 2010. Il est donc urgent que le contentieux puisse redémarrer. C'est pourquoi, la CEI appelle tout le monde au calme car, la CEI a besoin de l'adhésion de tous dans ce processus.
En ce qui la concerne, la CEI, soutient M. Bamba, a pris toutes les dispositions techniques pour garantir la fiabilité du travail. Afin que tous ceux, qui y ont droit, figurent sur la liste et que tous ceux, qui ne le méritent pas, en soient extraits.
Paul Koudou
De prime abord, le porte-parole de la CEI a tenu à expliquer que la présente opération se déroulera en deux phases : la première concerne les pétitionnaires inscrits sur la liste litigieuse ou liste grise de 1,033 million. Dès le 10 mai et ce pour une durée de 15 jours ouvrables, ces personnes doivent se présenter devant les comités de réclamation logés dans les 415 commissions locales de la CEI pour clarifier leur statut. Il s'agit pour eux de revenir faire la preuve qu'elles sont réellement des Ivoiriens et qu'elles méritent de figurer sur la liste électorale.
"La seconde phase de l'opération s'attaquera au traitement de la liste électorale provisoire composée de la liste blanche et des résultats de la liste grise, ce qui débouchera sur la liste définitive" a indiqué M. Bamba Yacouba, non sans préciser que "cette deuxième étape relève de la compétence exclusive de la CEI en collaboration avec les magistrats". Il a aussi insisté pour dire que le chronogramme du processus électoral récemment éventé par la presse ne provient pas de la CEI. Et que mieux, la CEI n'en est pas l'auteur.
Revenant sur l'ébullition du front politique et particulièrement sur le rejet par le RHDP du nouveau mode opératoire, le porte-parole de la CEI a fait savoir que "le mode opératoire n'a pas vraiment chargé". Sauf que dans le cas présent, toutes les structures techniques vont siéger dans des commissions électorales locales pour garantir la transparence des opérations.
M. Bamba Yacouba a rassuré que les élections auront lieu en 2010. Il est donc urgent que le contentieux puisse redémarrer. C'est pourquoi, la CEI appelle tout le monde au calme car, la CEI a besoin de l'adhésion de tous dans ce processus.
En ce qui la concerne, la CEI, soutient M. Bamba, a pris toutes les dispositions techniques pour garantir la fiabilité du travail. Afin que tous ceux, qui y ont droit, figurent sur la liste et que tous ceux, qui ne le méritent pas, en soient extraits.
Paul Koudou