A Bouaké, la reprise du contentieux électoral sur la liste grise comme annoncée conjointement par la Commission électorale (Cei) et la Primature n’est pas effective sur le terrain. Sur les quatre Commissions électorales, Bouaké 1 et 2 ont ouvert partiellement leurs portes, mais les agents de l’office national d’identification n’ont pu travailler parce que leurs camarades des autres structures impliquées dans cette opération étaient tous absents.
Il s’agit de Sagem security, Cei, Ins, Oni et Cnsi. Ils expliquent leur absence par le fait que certainement ils accusent plusieurs mois d’arriérés de salaire.
Une situation qui n’arrange pas tout le monde parce que Koné Yaya, l’un des requérants qui s’est fait enrôler à Bouaké 3 ne comprend pas pourquoi la commission locale de Air-France est restée fermée. Alors que pour lui, cette reprise était l’occasion de prouver qu’il est bel et bien Ivoirien parce que tous ses documents l’attestent. C’est avec la mort dans l’âme qu’il retournera chez lui en attendant la reprise effective de cette opération qu’il juge très importante.
Le président régional de la Cei de la vallée du Bandama, Sangaré Moussa pense que si la reprise n’est pas encore effective, c’est en partie dû au fait que c’est maintenant que les agents des autres structures impliquées dans cette opération viennent à lui pour lui présenter leurs mandats. Cependant, il a fait savoir qu’il attend des instructions fermes de la Cei en provenance d’Abidjan quant à la reprise effective du contentieux électoral à Bouaké.
ADJE JEAN-ALEXIS
Il s’agit de Sagem security, Cei, Ins, Oni et Cnsi. Ils expliquent leur absence par le fait que certainement ils accusent plusieurs mois d’arriérés de salaire.
Une situation qui n’arrange pas tout le monde parce que Koné Yaya, l’un des requérants qui s’est fait enrôler à Bouaké 3 ne comprend pas pourquoi la commission locale de Air-France est restée fermée. Alors que pour lui, cette reprise était l’occasion de prouver qu’il est bel et bien Ivoirien parce que tous ses documents l’attestent. C’est avec la mort dans l’âme qu’il retournera chez lui en attendant la reprise effective de cette opération qu’il juge très importante.
Le président régional de la Cei de la vallée du Bandama, Sangaré Moussa pense que si la reprise n’est pas encore effective, c’est en partie dû au fait que c’est maintenant que les agents des autres structures impliquées dans cette opération viennent à lui pour lui présenter leurs mandats. Cependant, il a fait savoir qu’il attend des instructions fermes de la Cei en provenance d’Abidjan quant à la reprise effective du contentieux électoral à Bouaké.
ADJE JEAN-ALEXIS