Le Patriote : Que pensez-vous de la marche du RJDP ?
Diarrassouba Brahima : Personnellement, je pense que la marche est la bien venue. Il fallait la créer si elle n’existait pas. Parce que les jeunes ne demandent que la tenue de l’élection présidentielle. En tant que membre de la société civile, nous pensons être concernés par la situation du pays au premier chef. Il faut, comme un seul homme, faire en sorte que l’élection présidentielle se tienne pour que de nouvelles perspectives s’ouvrent pour le pays.
LP : quelle sera votre part durant cette marche ?
DB : nous allons nous impliquer pour que cette marche soit une fête populaire. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle au niveau d’Abobo nous avons multiplié les rencontres pour expliquer aux et aux autres le bien fondé de cette marche. Depuis 2005, les choses semblent bloquées pour le pays. Les investisseurs se font rares. Les jeunes n’ont plus d’espoir et veulent se résigner. Au niveau de la vie de tous les jours, les maux sont nombreux : après les déchets toxiques, aujourd’hui les populations sont confrontées au délestage et aux coupures intempestives de l’eau. Il faut éviter de souffrir. C’est tout le sens de cette marche.
TL
Diarrassouba Brahima : Personnellement, je pense que la marche est la bien venue. Il fallait la créer si elle n’existait pas. Parce que les jeunes ne demandent que la tenue de l’élection présidentielle. En tant que membre de la société civile, nous pensons être concernés par la situation du pays au premier chef. Il faut, comme un seul homme, faire en sorte que l’élection présidentielle se tienne pour que de nouvelles perspectives s’ouvrent pour le pays.
LP : quelle sera votre part durant cette marche ?
DB : nous allons nous impliquer pour que cette marche soit une fête populaire. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle au niveau d’Abobo nous avons multiplié les rencontres pour expliquer aux et aux autres le bien fondé de cette marche. Depuis 2005, les choses semblent bloquées pour le pays. Les investisseurs se font rares. Les jeunes n’ont plus d’espoir et veulent se résigner. Au niveau de la vie de tous les jours, les maux sont nombreux : après les déchets toxiques, aujourd’hui les populations sont confrontées au délestage et aux coupures intempestives de l’eau. Il faut éviter de souffrir. C’est tout le sens de cette marche.
TL