L’hôtel communal de Cocody a, le mercredi 19 mai 2010, été le cadre d’une conférence de presse animée par Me Takoré Guizot Bernard, avocat de l’Eglise protestante méthodiste de Côte d’Ivoire, l’entité opposée au Bishop Benjamin Boni.
«En changeant la dénomination de l’Eglise protestante méthodiste Côte d’Ivoire (EPMCI) en Eglise méthodiste-unie Côte d’Ivoire (EMU-Ci), sans l’avis de la conférence, le bishop Benjamin Boni a commis une grossière erreur qui a fini par le rattraper et il se débat actuellement avec l’aide de l’Etat. Donc, il a violé la loi régissant les associations et mouvement en Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, nous l’avons assigné en justice pour faux en écriture publique et faux et usage de faux. Malheureusement, le tribunal a refusé de prendre ses responsabilités en le déclarant non coupable. Et pourtant devant le juge pénal, le bishop a dit qu’il n’a pas jugé nécessaire de convoquer la conférence afin d’opter pour l’intégration ou le partenariat avec l’Eglise-mère EMU d’Amérique. Nous portons plainte contre le ministère de la Sécurité intérieure parce que c’est lui qui a délivré en 2004 à Boni l’arrêté sur une base de faux. La question du patrimoine sera réglé car nous avons demandé qu’un administrateur provisoire soit nommé pour gérer les biens. » Tel a été l’essentiel de l’exposé fait, le mercredi 19 mai 2010 à l’hôtel communal de Cocody, par Me Takoré Guizot Bernard, conseil de l’Eglise protestante méthodiste de Côte d’Ivoire dans l’affaire qui l’oppose à l’Eglise méthodiste unie-Côte d’Ivoire représentée par le Bishop Boni. Le conférencier a souligné que le droit va triompher. Même s’il a déploré le fait que des autorités refusent de faire respecter la loi du 21 septembre 1961 régissant les associations. Une centaine de déléguées protestantes méthodistes des femmes venues de Dabou, Alépé, Divo, Agboville, Jacqueville, Sikensi et de toutes les communes d’Abidjan, a pris part à cette rencontre avec la presse.
M.Ouattara
«En changeant la dénomination de l’Eglise protestante méthodiste Côte d’Ivoire (EPMCI) en Eglise méthodiste-unie Côte d’Ivoire (EMU-Ci), sans l’avis de la conférence, le bishop Benjamin Boni a commis une grossière erreur qui a fini par le rattraper et il se débat actuellement avec l’aide de l’Etat. Donc, il a violé la loi régissant les associations et mouvement en Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, nous l’avons assigné en justice pour faux en écriture publique et faux et usage de faux. Malheureusement, le tribunal a refusé de prendre ses responsabilités en le déclarant non coupable. Et pourtant devant le juge pénal, le bishop a dit qu’il n’a pas jugé nécessaire de convoquer la conférence afin d’opter pour l’intégration ou le partenariat avec l’Eglise-mère EMU d’Amérique. Nous portons plainte contre le ministère de la Sécurité intérieure parce que c’est lui qui a délivré en 2004 à Boni l’arrêté sur une base de faux. La question du patrimoine sera réglé car nous avons demandé qu’un administrateur provisoire soit nommé pour gérer les biens. » Tel a été l’essentiel de l’exposé fait, le mercredi 19 mai 2010 à l’hôtel communal de Cocody, par Me Takoré Guizot Bernard, conseil de l’Eglise protestante méthodiste de Côte d’Ivoire dans l’affaire qui l’oppose à l’Eglise méthodiste unie-Côte d’Ivoire représentée par le Bishop Boni. Le conférencier a souligné que le droit va triompher. Même s’il a déploré le fait que des autorités refusent de faire respecter la loi du 21 septembre 1961 régissant les associations. Une centaine de déléguées protestantes méthodistes des femmes venues de Dabou, Alépé, Divo, Agboville, Jacqueville, Sikensi et de toutes les communes d’Abidjan, a pris part à cette rencontre avec la presse.
M.Ouattara