Entre l’art et l’humanitaire, il y a une complicité insoupçonnée que les néophytes ont du mal à relever. Et pourtant, la connivence entre ces deux philosophies ramène à l’homme et à son existence. C’est cette complicité que l’artiste peintre Samir Zarour est venu traduire à Mme Dominique Ouattara, Présidente-fondatrice de « Children Of Africa », assistée de Mme Nadine Sangaré, responsable de cette organisation à Abidjan. Mercredi dernier, l’artiste s’est rendu à la résidence des Ouattara, à Cocody Riviera Golf, en compagnie de son épouse et du maire d’Abobo, Adama Toungara. Pendant plus d’une trentaine de minutes, les deux parties ont échangé dans une ambiance conviviale. Au centre des discussions, deux sujets évidents : l’art et l’humanitaire. Mme Dominique Ouattara est une passionnée d’art, de tableaux. Fort heureusement, l’artiste Samir Zarour fait partie de ses préférés. Elle a expliqué au peintre qu’elle appréciait bien ses créations. Quelques-unes, qui ont échappé à l’attaque de la résidence des Ouattara en 2002, meublent et donnent des couleurs à l’esthétique de l’actuelle résidence. Un de ces tableaux a été retrouvé et racheté grâce au maire d’Adjamé, Youssouf Sylla.Mme Dominique Ouattara a expliqué à ses hôtes que les activités de sa fondation se déroulent aussi bien en Côte d’Ivoire que partout où elle intervient sur le continent. Un chèque d’un million de FCFA, c’est le don que le peintre a remis à la fondation après sa dernière exposition à la galerie Arts Pluriels.
« Je suis particulièrement touché par votre geste en tant qu’artiste », a réagi Mme Ouattara. Pour l’artiste, ce n’est rien d’autre qu’une philosophie qu’il développe depuis 40 ans. « J’admire beaucoup les personnes qui aident les enfants démunis. Pour moi, le fait d’avoir aidé la fondation en remettant ce chèque me soulage », a conclu Samir Zarour.
Un exemple à suivre.
« Je suis particulièrement touché par votre geste en tant qu’artiste », a réagi Mme Ouattara. Pour l’artiste, ce n’est rien d’autre qu’une philosophie qu’il développe depuis 40 ans. « J’admire beaucoup les personnes qui aident les enfants démunis. Pour moi, le fait d’avoir aidé la fondation en remettant ce chèque me soulage », a conclu Samir Zarour.
Un exemple à suivre.