Les députés de la Mouvance parlementaire pour la réconciliation et la paix issus du Pdci Rda, de l'Udpci et du Groupe Solidarité, ont fait une déclaration, hier à la rotonde de l'Assemblée nationale.
Cette déclaration lue par l'honorable Jean Michel Moulod, député de Grand Bassam et président du Groupe parlementaire Pdci est relative à la révélation de Désiré Tagro sur les quotas attribués aux concours d'entrée à l'Ecole nationale de police à certains cadres du FPI. Les députés demandent que Gbagbo démette Tagro de ses fonctions.
A Tous les Ivoiriens et à toutes les Ivoiriennes;
A tous les membres de la Communauté Internationale;
Mesdames, Messieurs les journalistes;
Au nom des Groupes Parlementaires composant la Mouvance Parlementaire pour la Réconciliation et la Paix (PDCI-RDA, UDPCI, SOLIDARITE), nous souhaitons à tous et à la Côte d'Ivoire notre pays, paix, fraternité et unité.
Mesdames, Messieurs, chers concitoyens,
Nous nous trouvons rassemblés ici pour apprécier des révélations et des évènements particulièrement graves survenus dans notre pays ces derniers jours.
Les faits
Lors du colloque organisé à l'initiative de la Société Civile et en collaboration avec la Fondation FRIEDRICH EBERT STIFTUNG (FES), sur "le bilan et les perspectives de la démocratie en Côte d'Ivoire après 20 ans de multipartisme ", le Pr Mamadou Koulibaly, Président de l'Assemblée Nationale, a prononcé une conférence dans laquelle, il s'en est pris violemment au régime de Gbagbo Laurent et singulièrement à certains responsables de ce régime dont Désiré Tagro, actuel Ministre de l'Intérieur.
Dans son intervention, le deuxième personnage du régime de la refondation, 3ème vice-président du Front Populaire Ivoirien et idéologue de ce parti, a une fois encore stigmatisé la corruption, le tribalisme, le népotisme, le racket, la tricherie aux examens et concours sous le régime de Gbagbo Laurent. Ces critiques viennent s'ajouter à la longue liste de récriminations que Mamadou Koulibaly a toujours égrenées contre le pouvoir FPI qu'il a de tout temps accusé de mauvaise gouvernance, de pratiques de pots-de-vin, de trafics d'influence, d'enrichissement rapide injustifié.
Autocritique de façade pour couvrir les dérives d'un régime qui a trahi le peuple, expression d'un ras-le-bol de militant dépité ou simple guerre de positionnement au FPI ?
En tout état de cause, le Président de l'Assemblée Nationale, dans son intervention à ce colloque, s'en est vertement pris à Désiré Tagro qui, selon lui, est la source des malheurs du pays et des difficultés de l'exécution de l'APO (Accord Politique de Ouagadougou). L'APO, dit-il, ayant échoué, dans son entendement, Désiré Tagro doit démissionner. Il l'a de plus accusé de mauvaise gestion de son secteur d'activités. Il lui reproche d'user du tribalisme dans l'organisation des concours d'accès à l'Ecole de Police, foulant au pied l'équité dans le traitement des candidats. A cela, il faut ajouter l'affairisme éhonté dont font l'objet ces concours. En effet, lieu d'un véritablement commerce où l'acheteur est assuré de ne jamais avoir gain de cause. Des milliers de jeunes gens et de jeunes filles, de familles pauvres, ou simplement n'appartenant pas au clan, que l'on oblige à payer des sommes énormes (parce que ne pouvant faire autrement), et qui ne seront jamais admis.
Les révélations
Face à la polémique engagée qui mettait à mal la cohésion du camp présidentiel, la haute Direction du FPI a tenté de laver son linge sale en famille en provocant une rencontre au sommet autour des belligérants (Tagro et Koulibaly).
Du désaccord survenu à cette rencontre au sommet, le peuple ivoirien apprend avec stupéfaction que depuis l'arrivée de Désiré Tagro au Ministère de l'Intérieur, les places au concours d'entrée à l'Ecole de Police sont systématiquement réservées pour les 2/3 à certains cadres du FPI et ce, sur une base partisane, régionale et surtout tribale. Les bénéficiaires de ces quotas honteux ont été nommément cités. Ce sont notamment Messieurs Sokouri Bohui, Tagro Désiré, Affi N'guessan et la Première Dame, Madame Ehivet Simone Gbagbo.
Selon les mêmes révélations, ces pratiques ont également cours dans les concours d'entrée à la Fonction Publique, à l'ENA, à la Gendarmerie ainsi que dans les recrutements dans l'armée nationale. Ces faits d'une extrême gravité mettent en danger l'unité, la cohésion et la sécurité de la Nation Ivoirienne.
Le point de presse de ce jour, organisé par les trois Groupes Parlementaires, PDCI-RDA, UDPCI et SOLIDARITE regroupés au sein de la Mouvance Parlementaire pour la Réconciliation et la Paix, a pour objet de prendre à témoin la nation ivoirienne sur ce sujet d'importance en cette période de crise grave que traverse notre pays.
A notre grand étonnement, c'est ce moment de crise de moralité aigue dans la gestion de notre administration, que le Groupe Parlementaire FPI choisit, pour organiser un atelier de diversion sur la commémoration du cinquantenaire de notre indépendance.
Notre appréciation
Pour revenir à la révélation faite du traitement discriminatoire des candidats aux concours d'entrée dans les grands Services de l'Etat par le FPI et singulièrement par Désiré Tagro à la Police, nous voudrions souligner l'extrême gravité de cette situation au regard des missions républicaines dévolues à ces Services d'Etat.
Concernant en particulier la Police, nous voulons rappeler que sa mission est d'assurer sans distinction, la sécurité des personnes et des biens dans nos villes. Ce faisant, elle devait allier compétence, impartialité et probité. Au vu des révélations faites par TAGRO Désiré, premier responsable de cette Police, les qualités ci-dessus citées ne sont plus requises de notre Police Nationale. Cet état de fait entraine des conséquences énormes qui sont notamment:
-La transformation de la Police Nationale en milice privée au service d'un clan mais entretenue par l'ensemble de la communauté nationale;
-Une Police qui assure la sécurité des Ivoiriens de façon discriminatoire et sélective (en raison de leur appartenance au clan, des individus sans aucune responsabilité au niveau de l'Etat et leur famille sont gardés et escortés par notre Police Nationale) ;
-Des interventions partisanes dans les règlements de conflits entre Ivoiriens (tirs à balles réelles sur toutes les manifestations pacifiques de l'opposition) ;
-Des forfaitures liées à l'incompétence de ces Policiers recrutés sans les qualités requises (tirs à balles réelles sur des marches de femmes contre la cherté de la vie, sur des travailleurs en grève, de bavures policières nombreuses et répétées) ;
-Des violations constantes des droits humains (escadrons de la mort, enlèvements et assassinats des journalistes et des opposants) ;
-La destruction des fondements de l'Etat (ici la Police ne contribue plus à la consolidation de l'Etat) ;
-Un obstacle à la promotion de la démocratie dans notre pays (attaques contre les sièges des partis politiques et des journaux de l'opposition; empêchement de votes)
-Un frein à l'économie par le racket généralisé dans une impunité totale
-Une prolifération de faux diplômés et d'analphabètes dans la Police Nationale;
-Etc.
Nos décisions
A l'issue de ces aveux émanant des responsables du FPI au sortir d'un Secrétariat exécutif extraordinaire, relatifs aux recrutements non républicains dans notre Police Nationale et dont les conséquences ont été ci-dessus énumérées, le peuple ivoirien a le droit d'en savoir plus.
C'est pourquoi, les trois Groupes Parlementaires PDCI-RDA, UDPCI et SOLIDARITE regroupés au sein de la Mouvance Parlementaire pour la Réconciliation et la Paix:
1°) - exigent sans délai, une Enquête Parlementaire pour faire la lumière sur ces faits pour situer les responsabilités en vue de prendre les sanctions qui s'imposent;
2°) - interpellent le Procureur de la République, Monsieur Tchimou Raymond, de s'auto saisir de cette affaire comme il est si prompt à le faire en d'autres circonstances;
3°) - interpellent le Procureur Militaire, Monsieur Ange Kessy (la Police appartenant au corps militaire) afin qu'il s'auto saisisse également de cette affaire;
4°) - demandent au Chef de l'Etat Gbagbo Laurent, de relever à titre conservatoire, de ses fonctions, le Ministre Tagro Désiré qui a été convaincu de fraudes massives aux Concours d'Entrée à l'Ecole Nationale de Police;
5°) - demandent la comparution du Ministre Tagro Désiré devant les juridictions compétentes pour atteinte grave à la sureté de l'Etat.
Nous rappelons à la population ivoirienne que Gbagbo Laurent, Chef de fil du régime de la refondation, recevant les patriotes et les Milices au Palais Présidentiel, a promis les aider pour tous les concours auxquels ils se présenteraient, cautionnant ainsi cette pratique de mal gouvernance. Mais, les Groupes Parlementaires PDCI-RDA, UDPCI et SOLIDARITE regroupés au sein de la Mouvance Parlementaire pour la Démocratie et la Paix rassurent le Peuple de Côte d'Ivoire, qu'ils mettront tout en œuvre pour contraindre le pouvoir FPI à introduire justice et équité dans les concours d'accès à la Fonction Publique afin que tous les Ivoiriens sans exception aient une égalité de chance dans l'accès aux emplois publics.
Voilà Mesdames, Messieurs, chers amis journalistes, brièvement exposées nos préoccupations à l'issue des graves révélations faites par les dirigeants du FPI sur les concours de la Fonction Publique dans notre pays.
Nous vous remercions.
Fait à Abidjan le vendredi 18 juin 2010
Les Groupes Parlementaires
PDCI-RDA, UDPCI et SOLIDARITE
Cette déclaration lue par l'honorable Jean Michel Moulod, député de Grand Bassam et président du Groupe parlementaire Pdci est relative à la révélation de Désiré Tagro sur les quotas attribués aux concours d'entrée à l'Ecole nationale de police à certains cadres du FPI. Les députés demandent que Gbagbo démette Tagro de ses fonctions.
A Tous les Ivoiriens et à toutes les Ivoiriennes;
A tous les membres de la Communauté Internationale;
Mesdames, Messieurs les journalistes;
Au nom des Groupes Parlementaires composant la Mouvance Parlementaire pour la Réconciliation et la Paix (PDCI-RDA, UDPCI, SOLIDARITE), nous souhaitons à tous et à la Côte d'Ivoire notre pays, paix, fraternité et unité.
Mesdames, Messieurs, chers concitoyens,
Nous nous trouvons rassemblés ici pour apprécier des révélations et des évènements particulièrement graves survenus dans notre pays ces derniers jours.
Les faits
Lors du colloque organisé à l'initiative de la Société Civile et en collaboration avec la Fondation FRIEDRICH EBERT STIFTUNG (FES), sur "le bilan et les perspectives de la démocratie en Côte d'Ivoire après 20 ans de multipartisme ", le Pr Mamadou Koulibaly, Président de l'Assemblée Nationale, a prononcé une conférence dans laquelle, il s'en est pris violemment au régime de Gbagbo Laurent et singulièrement à certains responsables de ce régime dont Désiré Tagro, actuel Ministre de l'Intérieur.
Dans son intervention, le deuxième personnage du régime de la refondation, 3ème vice-président du Front Populaire Ivoirien et idéologue de ce parti, a une fois encore stigmatisé la corruption, le tribalisme, le népotisme, le racket, la tricherie aux examens et concours sous le régime de Gbagbo Laurent. Ces critiques viennent s'ajouter à la longue liste de récriminations que Mamadou Koulibaly a toujours égrenées contre le pouvoir FPI qu'il a de tout temps accusé de mauvaise gouvernance, de pratiques de pots-de-vin, de trafics d'influence, d'enrichissement rapide injustifié.
Autocritique de façade pour couvrir les dérives d'un régime qui a trahi le peuple, expression d'un ras-le-bol de militant dépité ou simple guerre de positionnement au FPI ?
En tout état de cause, le Président de l'Assemblée Nationale, dans son intervention à ce colloque, s'en est vertement pris à Désiré Tagro qui, selon lui, est la source des malheurs du pays et des difficultés de l'exécution de l'APO (Accord Politique de Ouagadougou). L'APO, dit-il, ayant échoué, dans son entendement, Désiré Tagro doit démissionner. Il l'a de plus accusé de mauvaise gestion de son secteur d'activités. Il lui reproche d'user du tribalisme dans l'organisation des concours d'accès à l'Ecole de Police, foulant au pied l'équité dans le traitement des candidats. A cela, il faut ajouter l'affairisme éhonté dont font l'objet ces concours. En effet, lieu d'un véritablement commerce où l'acheteur est assuré de ne jamais avoir gain de cause. Des milliers de jeunes gens et de jeunes filles, de familles pauvres, ou simplement n'appartenant pas au clan, que l'on oblige à payer des sommes énormes (parce que ne pouvant faire autrement), et qui ne seront jamais admis.
Les révélations
Face à la polémique engagée qui mettait à mal la cohésion du camp présidentiel, la haute Direction du FPI a tenté de laver son linge sale en famille en provocant une rencontre au sommet autour des belligérants (Tagro et Koulibaly).
Du désaccord survenu à cette rencontre au sommet, le peuple ivoirien apprend avec stupéfaction que depuis l'arrivée de Désiré Tagro au Ministère de l'Intérieur, les places au concours d'entrée à l'Ecole de Police sont systématiquement réservées pour les 2/3 à certains cadres du FPI et ce, sur une base partisane, régionale et surtout tribale. Les bénéficiaires de ces quotas honteux ont été nommément cités. Ce sont notamment Messieurs Sokouri Bohui, Tagro Désiré, Affi N'guessan et la Première Dame, Madame Ehivet Simone Gbagbo.
Selon les mêmes révélations, ces pratiques ont également cours dans les concours d'entrée à la Fonction Publique, à l'ENA, à la Gendarmerie ainsi que dans les recrutements dans l'armée nationale. Ces faits d'une extrême gravité mettent en danger l'unité, la cohésion et la sécurité de la Nation Ivoirienne.
Le point de presse de ce jour, organisé par les trois Groupes Parlementaires, PDCI-RDA, UDPCI et SOLIDARITE regroupés au sein de la Mouvance Parlementaire pour la Réconciliation et la Paix, a pour objet de prendre à témoin la nation ivoirienne sur ce sujet d'importance en cette période de crise grave que traverse notre pays.
A notre grand étonnement, c'est ce moment de crise de moralité aigue dans la gestion de notre administration, que le Groupe Parlementaire FPI choisit, pour organiser un atelier de diversion sur la commémoration du cinquantenaire de notre indépendance.
Notre appréciation
Pour revenir à la révélation faite du traitement discriminatoire des candidats aux concours d'entrée dans les grands Services de l'Etat par le FPI et singulièrement par Désiré Tagro à la Police, nous voudrions souligner l'extrême gravité de cette situation au regard des missions républicaines dévolues à ces Services d'Etat.
Concernant en particulier la Police, nous voulons rappeler que sa mission est d'assurer sans distinction, la sécurité des personnes et des biens dans nos villes. Ce faisant, elle devait allier compétence, impartialité et probité. Au vu des révélations faites par TAGRO Désiré, premier responsable de cette Police, les qualités ci-dessus citées ne sont plus requises de notre Police Nationale. Cet état de fait entraine des conséquences énormes qui sont notamment:
-La transformation de la Police Nationale en milice privée au service d'un clan mais entretenue par l'ensemble de la communauté nationale;
-Une Police qui assure la sécurité des Ivoiriens de façon discriminatoire et sélective (en raison de leur appartenance au clan, des individus sans aucune responsabilité au niveau de l'Etat et leur famille sont gardés et escortés par notre Police Nationale) ;
-Des interventions partisanes dans les règlements de conflits entre Ivoiriens (tirs à balles réelles sur toutes les manifestations pacifiques de l'opposition) ;
-Des forfaitures liées à l'incompétence de ces Policiers recrutés sans les qualités requises (tirs à balles réelles sur des marches de femmes contre la cherté de la vie, sur des travailleurs en grève, de bavures policières nombreuses et répétées) ;
-Des violations constantes des droits humains (escadrons de la mort, enlèvements et assassinats des journalistes et des opposants) ;
-La destruction des fondements de l'Etat (ici la Police ne contribue plus à la consolidation de l'Etat) ;
-Un obstacle à la promotion de la démocratie dans notre pays (attaques contre les sièges des partis politiques et des journaux de l'opposition; empêchement de votes)
-Un frein à l'économie par le racket généralisé dans une impunité totale
-Une prolifération de faux diplômés et d'analphabètes dans la Police Nationale;
-Etc.
Nos décisions
A l'issue de ces aveux émanant des responsables du FPI au sortir d'un Secrétariat exécutif extraordinaire, relatifs aux recrutements non républicains dans notre Police Nationale et dont les conséquences ont été ci-dessus énumérées, le peuple ivoirien a le droit d'en savoir plus.
C'est pourquoi, les trois Groupes Parlementaires PDCI-RDA, UDPCI et SOLIDARITE regroupés au sein de la Mouvance Parlementaire pour la Réconciliation et la Paix:
1°) - exigent sans délai, une Enquête Parlementaire pour faire la lumière sur ces faits pour situer les responsabilités en vue de prendre les sanctions qui s'imposent;
2°) - interpellent le Procureur de la République, Monsieur Tchimou Raymond, de s'auto saisir de cette affaire comme il est si prompt à le faire en d'autres circonstances;
3°) - interpellent le Procureur Militaire, Monsieur Ange Kessy (la Police appartenant au corps militaire) afin qu'il s'auto saisisse également de cette affaire;
4°) - demandent au Chef de l'Etat Gbagbo Laurent, de relever à titre conservatoire, de ses fonctions, le Ministre Tagro Désiré qui a été convaincu de fraudes massives aux Concours d'Entrée à l'Ecole Nationale de Police;
5°) - demandent la comparution du Ministre Tagro Désiré devant les juridictions compétentes pour atteinte grave à la sureté de l'Etat.
Nous rappelons à la population ivoirienne que Gbagbo Laurent, Chef de fil du régime de la refondation, recevant les patriotes et les Milices au Palais Présidentiel, a promis les aider pour tous les concours auxquels ils se présenteraient, cautionnant ainsi cette pratique de mal gouvernance. Mais, les Groupes Parlementaires PDCI-RDA, UDPCI et SOLIDARITE regroupés au sein de la Mouvance Parlementaire pour la Démocratie et la Paix rassurent le Peuple de Côte d'Ivoire, qu'ils mettront tout en œuvre pour contraindre le pouvoir FPI à introduire justice et équité dans les concours d'accès à la Fonction Publique afin que tous les Ivoiriens sans exception aient une égalité de chance dans l'accès aux emplois publics.
Voilà Mesdames, Messieurs, chers amis journalistes, brièvement exposées nos préoccupations à l'issue des graves révélations faites par les dirigeants du FPI sur les concours de la Fonction Publique dans notre pays.
Nous vous remercions.
Fait à Abidjan le vendredi 18 juin 2010
Les Groupes Parlementaires
PDCI-RDA, UDPCI et SOLIDARITE