Djédjé Mady, Sg Pdci :“Nous apportons notre caution”
Ce n'était pas prévu par la procédure initiale mais ce mode a été adopté après des rencontres avec les différents membres du Cpc. Nous pensons que pour aller à des élections consensuelles, c'est une étape à franchir. D'autant que c'était une exigence du camp présidentiel. Nous apportons notre caution à cette méthode afin que cette liste ne puisse pas être remise en cause par qui que ce soit. Du moment où tous les acteurs sont d'accord, se trouve engagée leur responsabilité à tous.
Sokouri Bohui, Sn aux élections Fpi:“Nous considérons cela comme une victoire”
Nous voulions que la vérification se fasse ; c'est pourquoi nous considérons cela comme une victoire. C'est une bonne chose pour la Côte d'Ivoire. Avec la vérification, tous les Ivoiriens auront confiance en la liste électorale. Si on a déboursé des milliards pour que quelqu'un ait confiance en la liste électorale, nous pensons que la vérification, qui ne coûtera rien, est importante. Je pense donc que la Côte d'Ivoire est sur le bon chemin. La vérification n'est rien d'autre qu'obtenir une liste électorale propre en laquelle tous les acteurs, tous les Ivoiriens auront confiance. Car, elle permettra que ceux qui ne le méritent pas, n'y figurent pas. C'est ce combat que nous avons mené. C'était notre combat, mais c'est la victoire des Ivoiriens.
Doumbia Ibrahim, Sn adjoint aux élection, Rdr :“Nous ne sommes pas opposés à la vérification”
Nous ne sommes pas opposés à la vérification. Nous devons encourager le Premier ministre dans sa volonté d'aller à une liste électorale le plus vite. Et, nous encourageons le fait que le processus soit relancé. Mais ce que nous regrettons, est que le communiqué dit quand la vérification débute mais ne précise pas la fin. En tout état de cause, nous souhaitons que cette opération ne soit pas un alibi pour retarder le processus. Nous sommes convaincus que cela n'est nullement la volonté du Premier ministre qui n'est pas à l'origine de cette étape de vérification. C'est une exigence du camp présidentiel qu'il veut rassurer. Nous souhaitons qu'elle ne s'étende pas dans le temps afin que nous puissions rapidement passer à l'étape de la liste définitive.
Propos recueillis par Bamba K. Inza
Ce n'était pas prévu par la procédure initiale mais ce mode a été adopté après des rencontres avec les différents membres du Cpc. Nous pensons que pour aller à des élections consensuelles, c'est une étape à franchir. D'autant que c'était une exigence du camp présidentiel. Nous apportons notre caution à cette méthode afin que cette liste ne puisse pas être remise en cause par qui que ce soit. Du moment où tous les acteurs sont d'accord, se trouve engagée leur responsabilité à tous.
Sokouri Bohui, Sn aux élections Fpi:“Nous considérons cela comme une victoire”
Nous voulions que la vérification se fasse ; c'est pourquoi nous considérons cela comme une victoire. C'est une bonne chose pour la Côte d'Ivoire. Avec la vérification, tous les Ivoiriens auront confiance en la liste électorale. Si on a déboursé des milliards pour que quelqu'un ait confiance en la liste électorale, nous pensons que la vérification, qui ne coûtera rien, est importante. Je pense donc que la Côte d'Ivoire est sur le bon chemin. La vérification n'est rien d'autre qu'obtenir une liste électorale propre en laquelle tous les acteurs, tous les Ivoiriens auront confiance. Car, elle permettra que ceux qui ne le méritent pas, n'y figurent pas. C'est ce combat que nous avons mené. C'était notre combat, mais c'est la victoire des Ivoiriens.
Doumbia Ibrahim, Sn adjoint aux élection, Rdr :“Nous ne sommes pas opposés à la vérification”
Nous ne sommes pas opposés à la vérification. Nous devons encourager le Premier ministre dans sa volonté d'aller à une liste électorale le plus vite. Et, nous encourageons le fait que le processus soit relancé. Mais ce que nous regrettons, est que le communiqué dit quand la vérification débute mais ne précise pas la fin. En tout état de cause, nous souhaitons que cette opération ne soit pas un alibi pour retarder le processus. Nous sommes convaincus que cela n'est nullement la volonté du Premier ministre qui n'est pas à l'origine de cette étape de vérification. C'est une exigence du camp présidentiel qu'il veut rassurer. Nous souhaitons qu'elle ne s'étende pas dans le temps afin que nous puissions rapidement passer à l'étape de la liste définitive.
Propos recueillis par Bamba K. Inza