Des Maliens, Burkinabé et Guinéens condamnés à 6 mois d’emprisonnement ferme Des Burkinabé, Maliens et Guinéens ont écopé de 6 mois d’emprisonnement ferme. Selon une source, ils ont été jugés et condamnés, le mercredi 23 juin, par le tribunal d’Oumé pour faux et usage de faux sur la nationalité ivoirienne. Le verdict a été rendu par le président du tribunal, Mme Galé Maria. En effet, ces non-nationaux ont été traduits en justice pour avoir fraudé sur la nationalité ivoirienne. Ce sont Palin Domon Simon et Ouattara El Hadj de nationalité burkinabé et deux Maliens nommés Toukara Saharo et Samaké Adama. On trouve, dans le lot, un Guinéen répondant au nom de Mamadi Diané. En plus de la peine d’emprisonnement ferme prononcée par le tribunal, chaque fraudeur doit verser 50.000 FCFA à titre d’amende. Le tribunal a, en outre, ordonné le retrait de toutes leurs pièces ivoiriennes, notamment leur carte nationale d’identité et leur certificat de nationalité. La présidente du tribunal ne s’est pas arrêtée là. Elle a ordonné que ces fraudeurs inscrits de façon frauduleuse sur la liste électorale en soient extraits.
Rappelons que de tous les prévenus, seul Palin Domon Simon était présent. Les autres, ne doutant pas du sort qui leur serait réservé par la justice, ont pris la fuite. Leur absence n’a pas empêché le tribunal de statuer sur leur cas. Ils ont été condamnés par contumance à la même peine que Palin Domon Simon. En effet, ces fraudeurs, qui se font passer pour des Ivoiriens, ont été déroutés par des témoins qui ont remis au tribunal leur carte consulaire de leur pays d’origine.
C’est le cas de Mamadi Diané né à Kankan, en Guinée, et qui s’est fait établir une pièce d’identité ivoirienne à Oumé. Quant à Samaké Adama, pour devenir Ivoirien, il s’est trouvé une mère ivoirienne à Dabou.
Benjamin Koré benjaminkore@yahooFr
Rappelons que de tous les prévenus, seul Palin Domon Simon était présent. Les autres, ne doutant pas du sort qui leur serait réservé par la justice, ont pris la fuite. Leur absence n’a pas empêché le tribunal de statuer sur leur cas. Ils ont été condamnés par contumance à la même peine que Palin Domon Simon. En effet, ces fraudeurs, qui se font passer pour des Ivoiriens, ont été déroutés par des témoins qui ont remis au tribunal leur carte consulaire de leur pays d’origine.
C’est le cas de Mamadi Diané né à Kankan, en Guinée, et qui s’est fait établir une pièce d’identité ivoirienne à Oumé. Quant à Samaké Adama, pour devenir Ivoirien, il s’est trouvé une mère ivoirienne à Dabou.
Benjamin Koré benjaminkore@yahooFr