En vue de s’approprier les expériences électorales en cours dans les autres pays et surtout dans les pays africains, une délégation de la Commission électorale indépendante (Cei), forte de trois membres, séjourne depuis le mercredi 23 juin 2010 en Guinée Conakry. Il s’agit des Commissaires Bamba Yacouba, porte-parole; Mohamed Charles, conseiller spécial du président et Kromel Milidji, trésorier adjoint de la Cei. L’objectif de la mission est de suivre avec intérêt le déroulement des élections guinéennes dans le but de s’inspirer des succès glanés par la Commission électorale de ce pays frère et réduire le plus possible les erreurs qui pourraient éventuellement se glisser dans l’organisation de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire.
Une élection très attendue et qui sera suivie par le monde entier pour la certification des résultats qui ne doivent souffrir aucune contestation.
Le président de la Cei, Youssouf Bakayoko, par cette action, entend s’entourer de toutes les précautions possibles pour organiser une élection exemplaire. Car pour lui, l’organisation d’une élection véritablement démocratique en Afrique doit prendre sa source en Côte d’Ivoire, à partir de l’institution qu’il dirige. Pour gagner ce pari, il n’entend pas s’arrêter au seul modèle guinéen. Son objectif est d’obtenir, par un travail méthodique, qui exclut tout bavardage, un résultat consensuel.
Le président Youssouf Bakayoko, en homme d’expérience, sait que la panthère à l’affût ne s’agite pas et ne crie pas tant qu’elle n’a pas le gibier entre ses griffes. La Cei, sans tapage inutile, travaille donc en toute sérénité pour d’abord élaborer une liste électorale définitive et ensuite fixer la date du scrutin une bonne fois pour toutes. Cela nécessite une bonne dose de compréhension et le soutien de toute la nation ivoirienne.
Source: Service Communication de la Cei
Une élection très attendue et qui sera suivie par le monde entier pour la certification des résultats qui ne doivent souffrir aucune contestation.
Le président de la Cei, Youssouf Bakayoko, par cette action, entend s’entourer de toutes les précautions possibles pour organiser une élection exemplaire. Car pour lui, l’organisation d’une élection véritablement démocratique en Afrique doit prendre sa source en Côte d’Ivoire, à partir de l’institution qu’il dirige. Pour gagner ce pari, il n’entend pas s’arrêter au seul modèle guinéen. Son objectif est d’obtenir, par un travail méthodique, qui exclut tout bavardage, un résultat consensuel.
Le président Youssouf Bakayoko, en homme d’expérience, sait que la panthère à l’affût ne s’agite pas et ne crie pas tant qu’elle n’a pas le gibier entre ses griffes. La Cei, sans tapage inutile, travaille donc en toute sérénité pour d’abord élaborer une liste électorale définitive et ensuite fixer la date du scrutin une bonne fois pour toutes. Cela nécessite une bonne dose de compréhension et le soutien de toute la nation ivoirienne.
Source: Service Communication de la Cei