Koné Ousmane, pdt groupe parlementaire Solidarité :“ Nous ne doutons de personne”
« Nous nous sommes basés sur l'Ecole de Police, l'Ena et tout ce qui est social. Ces questions sont confiées à la Commission des affaires sociales et culturelles que dirige le ministre Adjoumani qui est de retour à l'Assemblée nationale. (…) Cette commission peut être mise en place le plus rapidement possible, si le président de l'Assemblée nationale saisit l'institution juridique. (…) Nous avions réagi, en son temps, au sujet des affaires des déchets toxiques, de la filière café-cacao. Mais, peut-être que le dossier n'est pas allé loin. Il y a eu une commission d'enquête parlementaire sur les déchets toxiques. Le groupe parlementaire Solidarité est fier parce qu'il s'agit-là de la moralisation de la vie publique. C'est vrai, elle concerne des individus mais les parlementaires sont concernés parce que nos parents souffrent dans les campagnes. Quand on voit le train de vie de certains membres du gouvernement, certains hauts fonctionnaires de la place, on doit se poser des questions pour savoir ce qu'ils font pour être à ce niveau. Il est question que, nous, parlementaires, essayons de réguler la vie du citoyen lambda. Bien sûr, que nous sommes favorables ; nous avons été les premiers à répondre à l'appel du parlement. (…) Le débat d'aujourd'hui n'a pas été difficile ; parce que tous les groupes parlementaires avaient déjà déposé leurs résolutions. Il suffisait seulement qu'un groupe parlementaire dépose sa résolution, pour qu'il y ait recevabilité. Ou bien, il suffisait qu'un groupe de vingt-cinq députés dépose une résolution pour qu'il y ait recevabilité. C'est toute une procédure, il n'y a pas de conflit entre l'Exécutif et le Législatif. Chacun fait son travail, nous ne doutons de personne».
Dan Ouélo Michel, pdt Groupe parlementaire Udpci :“Nous avons tous été unanimes”
« Le président de l'Assemblée nationale a indiqué lui-même les voies à suivre. La Conférence des présidents a été unanime que ces procédures que nous avons bien voulu engager, se poursuivent dans les jours à venir. Les propositions du groupe parlementaire Udpci portent sur l'enquête relative à ce qui se passe à l'école de Police. Donc il n'y avait pas d'autres propositions en dehors de cette résolution».
Adjoumani Kouassi, pdt Commission des affaires sociales et culturelles : “Il n’ya pas eu de dérapages
« Ma commission a été chargée de présider les différentes réunions qui vont concerner la procédure mise en place. J'ai en ma possession trois propositions de résolution qui ont trait à l'enquête sur l'Ecole de Police, l'Ena, l'Ecole de Gendarmerie et bien d'autres sujets. Pour le moment, je ne peux dire mot, parce qu'en tant que président, je dois observer la neutralité. Ce qui est sûr, dès le 7 juillet, nous commençons. C'est une lourde responsabilité, je sais que nous allons pouvoir l'assumer au regard des conseils que nous aurons de part et d'autre. Lorsqu'on vous confie une responsabilité lourde à supporter, il faut faire preuve de grandeur d'esprit. C'est ce que nous allons faire. Le président est là, un motif de satisfaction. En tout cas, c'est un grand monsieur parce qu'il a su tenir le débat et nous sommes sortis satisfaits. Il n'y a pas eu de dérapages, nous nous sommes bien compris. Mais le travail d'aujourd'hui a seulement consisté à analyser la recevabilité des propositions qui ont été faites et à les affecter aux différentes commissions. C'est un travail qui été compris par les députés au niveau de la conférence des présidents».
Propos recueillis par Bidi Ignace
« Nous nous sommes basés sur l'Ecole de Police, l'Ena et tout ce qui est social. Ces questions sont confiées à la Commission des affaires sociales et culturelles que dirige le ministre Adjoumani qui est de retour à l'Assemblée nationale. (…) Cette commission peut être mise en place le plus rapidement possible, si le président de l'Assemblée nationale saisit l'institution juridique. (…) Nous avions réagi, en son temps, au sujet des affaires des déchets toxiques, de la filière café-cacao. Mais, peut-être que le dossier n'est pas allé loin. Il y a eu une commission d'enquête parlementaire sur les déchets toxiques. Le groupe parlementaire Solidarité est fier parce qu'il s'agit-là de la moralisation de la vie publique. C'est vrai, elle concerne des individus mais les parlementaires sont concernés parce que nos parents souffrent dans les campagnes. Quand on voit le train de vie de certains membres du gouvernement, certains hauts fonctionnaires de la place, on doit se poser des questions pour savoir ce qu'ils font pour être à ce niveau. Il est question que, nous, parlementaires, essayons de réguler la vie du citoyen lambda. Bien sûr, que nous sommes favorables ; nous avons été les premiers à répondre à l'appel du parlement. (…) Le débat d'aujourd'hui n'a pas été difficile ; parce que tous les groupes parlementaires avaient déjà déposé leurs résolutions. Il suffisait seulement qu'un groupe parlementaire dépose sa résolution, pour qu'il y ait recevabilité. Ou bien, il suffisait qu'un groupe de vingt-cinq députés dépose une résolution pour qu'il y ait recevabilité. C'est toute une procédure, il n'y a pas de conflit entre l'Exécutif et le Législatif. Chacun fait son travail, nous ne doutons de personne».
Dan Ouélo Michel, pdt Groupe parlementaire Udpci :“Nous avons tous été unanimes”
« Le président de l'Assemblée nationale a indiqué lui-même les voies à suivre. La Conférence des présidents a été unanime que ces procédures que nous avons bien voulu engager, se poursuivent dans les jours à venir. Les propositions du groupe parlementaire Udpci portent sur l'enquête relative à ce qui se passe à l'école de Police. Donc il n'y avait pas d'autres propositions en dehors de cette résolution».
Adjoumani Kouassi, pdt Commission des affaires sociales et culturelles : “Il n’ya pas eu de dérapages
« Ma commission a été chargée de présider les différentes réunions qui vont concerner la procédure mise en place. J'ai en ma possession trois propositions de résolution qui ont trait à l'enquête sur l'Ecole de Police, l'Ena, l'Ecole de Gendarmerie et bien d'autres sujets. Pour le moment, je ne peux dire mot, parce qu'en tant que président, je dois observer la neutralité. Ce qui est sûr, dès le 7 juillet, nous commençons. C'est une lourde responsabilité, je sais que nous allons pouvoir l'assumer au regard des conseils que nous aurons de part et d'autre. Lorsqu'on vous confie une responsabilité lourde à supporter, il faut faire preuve de grandeur d'esprit. C'est ce que nous allons faire. Le président est là, un motif de satisfaction. En tout cas, c'est un grand monsieur parce qu'il a su tenir le débat et nous sommes sortis satisfaits. Il n'y a pas eu de dérapages, nous nous sommes bien compris. Mais le travail d'aujourd'hui a seulement consisté à analyser la recevabilité des propositions qui ont été faites et à les affecter aux différentes commissions. C'est un travail qui été compris par les députés au niveau de la conférence des présidents».
Propos recueillis par Bidi Ignace
