Les remous au sein du Pdci continuent de faire des vagues. C’est le collectif des coordonnateurs Jpdci de la région du Zanzan d’où est originaire le chef de file des frondeurs, Bamba Souleymane, qui s’est invité, hier au Plateau, dans le débat par une déclaration. Selon le président du collectif, Appoh Laurent, la déstabilisation ne partira jamais du Zanzan. «Il nous paraît inadmissible et inconcevable d’accepter une quelconque déstabilisation du parti, encore moins qu’elle vienne d’un jeune du Zanzan, instrumentalisé. Nous mettons en garde les commanditaires instrumentalisant les jeunes de notre région connue pour sa fidélité et son engagement au Pdci et à son chef depuis belle lurette et tous ces jeunes qui se laissent utiliser», a-t-il menacé les semeurs de trouble.
Avant de défendre le terrain aux «rebelles». Qu’ils s’abstiennent, a-t-il précisé, de s’aventurer sur le terrain au risque d’être pris à partie par toute la jeunesse militante du Zanzan bien informée, a-t-il dit, de leur activisme.
«Nous ne serons pas comptables de tout ce que leur arrivera», a-t-il averti.
Appoh Laurent et ses camardes comptent se dresser, en effet, contre ceux qui réclament un congrès pour la désignation d’un nouveau président du Pdci et d’un nouveau candidat. Notre sort, a souligné le patron des coordonnateurs de la jeunesse du parti dans le Zanzan, est sur le tranchant du rasoir des imposteurs. Fort de ce constat, il a recommandé d’allumer le contre-feu. «Empressons-nous de leur barrer la route. Il est temps que les jeunes manipulés reviennent à la maison sinon ils devront marcher sur nos cadavres pour atteindre leurs objectifs», a-t-il incité à l’engagement du combat contre les frondeurs. Tout en rappelant qu’à la réunion du Bureau politique du 28 juin 2007, il a été décidé du report du 12è congrès après les élections générales.
Et au moment, a-t-il affirmé, où la jeunesse ivoirienne aspire au retour de Bédié aux affaires pour avoir du travail et assurer pleinement sa vie, les sons discordants au sein du parti ne sont appropriés.
Lacina Ouattara
Avant de défendre le terrain aux «rebelles». Qu’ils s’abstiennent, a-t-il précisé, de s’aventurer sur le terrain au risque d’être pris à partie par toute la jeunesse militante du Zanzan bien informée, a-t-il dit, de leur activisme.
«Nous ne serons pas comptables de tout ce que leur arrivera», a-t-il averti.
Appoh Laurent et ses camardes comptent se dresser, en effet, contre ceux qui réclament un congrès pour la désignation d’un nouveau président du Pdci et d’un nouveau candidat. Notre sort, a souligné le patron des coordonnateurs de la jeunesse du parti dans le Zanzan, est sur le tranchant du rasoir des imposteurs. Fort de ce constat, il a recommandé d’allumer le contre-feu. «Empressons-nous de leur barrer la route. Il est temps que les jeunes manipulés reviennent à la maison sinon ils devront marcher sur nos cadavres pour atteindre leurs objectifs», a-t-il incité à l’engagement du combat contre les frondeurs. Tout en rappelant qu’à la réunion du Bureau politique du 28 juin 2007, il a été décidé du report du 12è congrès après les élections générales.
Et au moment, a-t-il affirmé, où la jeunesse ivoirienne aspire au retour de Bédié aux affaires pour avoir du travail et assurer pleinement sa vie, les sons discordants au sein du parti ne sont appropriés.
Lacina Ouattara
