Le ministre Kahé Eric, conseiller spécial du Président Laurent Gbagbo était face à la presse le mardi 13 juillet 2010 dans le cadre ‘’des petits déjeuners ‘’ des communicateurs bénévoles pour le plébiscite du candidat de La Majorité Présidentielle.
La rencontre du porte-parole du CNRD avec la presse a porté sur ‘’L’enjeu de la vérification de la liste électorale provisoire’’. Pour le président de l’Alliance Ivoirienne pour la République et la Démocratie (AIRD), la fraude massive sur la liste électorale est le fait de l’Etat Civil ivoirien qui a délivré avec la complicité de certains maires, à Dabou, Séguéla, Man, Bouaké…, des extraits de naissance de complaisance à des pétitionnaires qui ne le méritent pas. ‘’ C’est par l’Etat Civil que la fraude est rentrée dans le processus et c’est par l’Etat Civil qu’il faut l’extirper. D’où le souhait d’une vérification basée sur le principe : un inscrit, une vérification’’, a expliqué d’entrée Kahé Eric. Qui estime que toute opération de vérification sur la liste électorale doit être menée de façon transparente. Qu’on arrête donc d’accuser le camp présidentiel de vouloir bloquer le processus de sortie de crise dont l’objectif selon le porte-parole du CNRD, est de faire triompher la démocratie. ‘’Il n’y a pas de blocage et ceux qui en parlent n’ont qu’un seul objectif, c’est de discréditer La Majorité Présidentielle. Le problème, c’est de ne laisser aucun Ivoirien pour aller à ces élections. Nous n’allons pas nous rendre complice d’une situation que nous ne pourrons pas maîtriser. La vérification répond à un souci de transparence. Il faut trouver l’équilibre entre la contrainte de temps et la contrainte d’équité’’, a précisé le conférencier. Qui a conseillé aux hommes politiques de faire la politique ‘’avec une certaine élégance’’ afin d’éviter d’autres troubles à la Côte d’Ivoire. S’agissant de la tenue des élections, le conseiller spécial du Chef de l’Etat a indiqué qu’elles ne peuvent pas ne pas se tenir avant la fin de cette année. ‘’Nous nous battons pour qu’on fasse un travail fiable au niveau de la liste électorale. On ne peut pas sortir d’une crise identitaire en favorisant une autre crise identitaire. Si les conditions d’une élection sont réunies à 12 heures, nous sommes prêts à y aller à 12 h05mn’’, a-t-il conclu
Dosso Villard
La rencontre du porte-parole du CNRD avec la presse a porté sur ‘’L’enjeu de la vérification de la liste électorale provisoire’’. Pour le président de l’Alliance Ivoirienne pour la République et la Démocratie (AIRD), la fraude massive sur la liste électorale est le fait de l’Etat Civil ivoirien qui a délivré avec la complicité de certains maires, à Dabou, Séguéla, Man, Bouaké…, des extraits de naissance de complaisance à des pétitionnaires qui ne le méritent pas. ‘’ C’est par l’Etat Civil que la fraude est rentrée dans le processus et c’est par l’Etat Civil qu’il faut l’extirper. D’où le souhait d’une vérification basée sur le principe : un inscrit, une vérification’’, a expliqué d’entrée Kahé Eric. Qui estime que toute opération de vérification sur la liste électorale doit être menée de façon transparente. Qu’on arrête donc d’accuser le camp présidentiel de vouloir bloquer le processus de sortie de crise dont l’objectif selon le porte-parole du CNRD, est de faire triompher la démocratie. ‘’Il n’y a pas de blocage et ceux qui en parlent n’ont qu’un seul objectif, c’est de discréditer La Majorité Présidentielle. Le problème, c’est de ne laisser aucun Ivoirien pour aller à ces élections. Nous n’allons pas nous rendre complice d’une situation que nous ne pourrons pas maîtriser. La vérification répond à un souci de transparence. Il faut trouver l’équilibre entre la contrainte de temps et la contrainte d’équité’’, a précisé le conférencier. Qui a conseillé aux hommes politiques de faire la politique ‘’avec une certaine élégance’’ afin d’éviter d’autres troubles à la Côte d’Ivoire. S’agissant de la tenue des élections, le conseiller spécial du Chef de l’Etat a indiqué qu’elles ne peuvent pas ne pas se tenir avant la fin de cette année. ‘’Nous nous battons pour qu’on fasse un travail fiable au niveau de la liste électorale. On ne peut pas sortir d’une crise identitaire en favorisant une autre crise identitaire. Si les conditions d’une élection sont réunies à 12 heures, nous sommes prêts à y aller à 12 h05mn’’, a-t-il conclu
Dosso Villard