Depuis l’éclatement de la crise militaro-politique du 19 septembre 2002, la Compagnie ivoirienne d’électricité (Cie) n’a pas cessé de fournir l’électricité aux populations de Bouaké malgré le fait que durant tout ce temps elles ont refusé de payer leur consommation. Depuis ce matin, la CIE a initié une campagne de sensibilisation qui s’étendra sur 2 mois afin d’inciter les populations à s’acquitter de leur consommation.
Après cette période de sensibilisation, d’écoute et de conseils, la cie passera à partir du 11 octobre 2010 à la phase de répression en suspendant purement et simplement la distribution du courant électrique au niveau des ménages qui ne se seraient pas acquittés de leurs factures dans le délai prévu.
Pour véhiculer son message, la CIE a décidé d’utiliser les médias à travers les radios de proximité et aussi d’aller au contact des populations et des chefs religieux. Selon son directeur régional, la CIE a perdu du 1er janvier 2009 à ce jour 9 milliards de francs CFA du fait des factures impayées. C’est la raison pour laquelle il a exhorté les uns et les autres à contribuer à soutenir son entreprise en payant leurs factures. Avant de démentir la rumeur persistante qui circule à travers la ville de Bouaké faisant état de ce que l’union européenne aurait payé toutes les factures d’eau et d’électricité dans les zones CNO.
Le représentant du commandant Chérif Ousmane, président de la cérémonie, le major Sansan Sib a abondé dans le même sens en demandant aux populations de Bouaké et des zones Cno d’accepter de payer leurs factures d’électricité.
Adjé Jean-Alexis
Après cette période de sensibilisation, d’écoute et de conseils, la cie passera à partir du 11 octobre 2010 à la phase de répression en suspendant purement et simplement la distribution du courant électrique au niveau des ménages qui ne se seraient pas acquittés de leurs factures dans le délai prévu.
Pour véhiculer son message, la CIE a décidé d’utiliser les médias à travers les radios de proximité et aussi d’aller au contact des populations et des chefs religieux. Selon son directeur régional, la CIE a perdu du 1er janvier 2009 à ce jour 9 milliards de francs CFA du fait des factures impayées. C’est la raison pour laquelle il a exhorté les uns et les autres à contribuer à soutenir son entreprise en payant leurs factures. Avant de démentir la rumeur persistante qui circule à travers la ville de Bouaké faisant état de ce que l’union européenne aurait payé toutes les factures d’eau et d’électricité dans les zones CNO.
Le représentant du commandant Chérif Ousmane, président de la cérémonie, le major Sansan Sib a abondé dans le même sens en demandant aux populations de Bouaké et des zones Cno d’accepter de payer leurs factures d’électricité.
Adjé Jean-Alexis