ABIDJAN, Des ONG ivoiriennes de défense des droits de l`Homme ont exigé mardi qu`une date soit fixée avant le samedi 7 août, jour du cinquantenaire de l`indépendance du pays, pour l`élection présidentielle sans cesse reportée depuis 2005.
Dans un communiqué, cinq organisations, dont la Ligue ivoirienne des droits
de l`Homme (Lidho) et la Fondation ivoirienne pour les droits de l`Homme et la
vie politique (Fidhop), ont dénoncé l`"enlisement du processus électoral" et
les reports "répétés et injustifiés" d`un scrutin repoussé depuis la fin du
mandat du président Laurent Gbagbo.
"Cela fait bientôt cinq ans que le peuple de Côte d`Ivoire est privé de son
droit souverain de renouveler les institutions du pays en choisissant
librement ses représentants", soulignent-elles, y voyant une "violation grave
des droits de l`Homme".
Pour ces ONG, si la date du scrutin n`est pas annoncée d`ici samedi, ce
jour anniversaire des 50 ans d`indépendance du pays "doit être considéré comme
une journée de recueillement".
Aucune nouvelle date n`a pour l`instant été fixée pour l`élection censée
clore la crise née du coup d`Etat manqué de 2002, qui a coupé le pays en deux.
L`opposition a réclamé lundi sa tenue "au plus tard en octobre".
Dans un communiqué, cinq organisations, dont la Ligue ivoirienne des droits
de l`Homme (Lidho) et la Fondation ivoirienne pour les droits de l`Homme et la
vie politique (Fidhop), ont dénoncé l`"enlisement du processus électoral" et
les reports "répétés et injustifiés" d`un scrutin repoussé depuis la fin du
mandat du président Laurent Gbagbo.
"Cela fait bientôt cinq ans que le peuple de Côte d`Ivoire est privé de son
droit souverain de renouveler les institutions du pays en choisissant
librement ses représentants", soulignent-elles, y voyant une "violation grave
des droits de l`Homme".
Pour ces ONG, si la date du scrutin n`est pas annoncée d`ici samedi, ce
jour anniversaire des 50 ans d`indépendance du pays "doit être considéré comme
une journée de recueillement".
Aucune nouvelle date n`a pour l`instant été fixée pour l`élection censée
clore la crise née du coup d`Etat manqué de 2002, qui a coupé le pays en deux.
L`opposition a réclamé lundi sa tenue "au plus tard en octobre".