YAMOUSSOUKRO, 5 août 2010 (AFP) - L'élection présidentielle en Côte
d'Ivoire, sans cesse reportée depuis 2005, est fixée au 31 octobre 2010, a
annoncé jeudi le Premier ministre Guillaume Soro, à l'issue d'un conseil des
ministres dans la capitale politique Yamoussoukro.
"C'est sur proposition de la Commission électorale indépendante (CEI)
qu'aujourd'hui le conseil a délibéré et a arrêté la date du 31 octobre 2010
comme étant la date de la convocation du collège électoral", a déclaré M. Soro
devant la presse.
"Nous continuons d'être engagés à (...) organiser des élections apaisées, à
faire en sorte que nous puissions sortir de la crise qui n'a bien évidemment
que trop duré", a-t-il ajouté.
Cette annonce, la première depuis le dernier rendez-vous électoral manqué
du 29 novembre 2009, est faite alors que la Côte d'Ivoire célèbre samedi le
cinquantenaire de son indépendance.
La CEI avait affirmé mercredi que le mois d'octobre 2010 était "la période
propice" pour le scrutin.
Sans cesse repoussée depuis la fin du mandat du président Laurent Gbagbo en
2005, l'élection est censée clore la crise née du coup d'Etat manqué de 2002,
qui a coupé le pays en un sud loyaliste et un nord tenu par l'ex-rébellion des
Forces nouvelles (FN) de Guillaume Soro.
d'Ivoire, sans cesse reportée depuis 2005, est fixée au 31 octobre 2010, a
annoncé jeudi le Premier ministre Guillaume Soro, à l'issue d'un conseil des
ministres dans la capitale politique Yamoussoukro.
"C'est sur proposition de la Commission électorale indépendante (CEI)
qu'aujourd'hui le conseil a délibéré et a arrêté la date du 31 octobre 2010
comme étant la date de la convocation du collège électoral", a déclaré M. Soro
devant la presse.
"Nous continuons d'être engagés à (...) organiser des élections apaisées, à
faire en sorte que nous puissions sortir de la crise qui n'a bien évidemment
que trop duré", a-t-il ajouté.
Cette annonce, la première depuis le dernier rendez-vous électoral manqué
du 29 novembre 2009, est faite alors que la Côte d'Ivoire célèbre samedi le
cinquantenaire de son indépendance.
La CEI avait affirmé mercredi que le mois d'octobre 2010 était "la période
propice" pour le scrutin.
Sans cesse repoussée depuis la fin du mandat du président Laurent Gbagbo en
2005, l'élection est censée clore la crise née du coup d'Etat manqué de 2002,
qui a coupé le pays en un sud loyaliste et un nord tenu par l'ex-rébellion des
Forces nouvelles (FN) de Guillaume Soro.