« Ce jour s'est tenu un Conseil des Ministres qui a statué sur la convocation du collège électoral.
Je voudrais simplement rappeler que c'est sur proposition de la Commission électorale indépendante (Cei) qu'aujourd'hui, le Conseil a délibéré et a arrêté la date du 31 octobre 2010, comme étant la date de la convocation du collège électoral.
Je voudrais simplement préciser que nous continuerons d'être engagés à faire en sorte d'amener les Ivoiriens à ces élections, à organiser des élections apaisées, à faire en sorte que nous puissions sortir de la crise qui n'a que - bien évidemment - trop duré. Je voudrais me réjouir du fait que nous ayons pu fixer la date pour l'élection présidentielle. Depuis déjà quelques mois, nous avons travaillé sans relâche pour faire en sorte qu'il y ait une liste électorale provisoire qui a été remise le 12 juillet à la Commission Electorale Indépendante. Nous avons aussi achevé l'opération de vérification depuis le 2 août. Et aujourd'hui, notant toutes ces avancées, le Gouvernement a été en mesure de délibérer et d'arrêter cette date.
Je sais que certains sceptiques ne manqueront pas de relever que plusieurs dates avaient déjà été communiquées. Mais, je crois qu'aujourd'hui, le gouvernement est optimiste parce que simplement, le volume des tâches réalisées est palpable et concret. Nous avons quasiment finalisé tout ce qui concerne la liste électorale. Et vous savez que la liste électorale est comme l'épine dorsale de l'élection. Si vous n'avez pas une liste électorale définitive de qualité, vous ne pouvez pas avoir de bonnes élections.
Vous pouvez comprendre que nous ayons mis du temps pour nous accorder consensuellement sur ce que doit être l'élection du 31 octobre. Maintenant, nous demandons aux Ivoiriens - à partir du moment où la date est fixée - de se mobiliser et d'avoir ce sursaut national pour faire en sorte que, dans la cohésion, la paix et la sérénité, nous puissions relever le défi de l'organisation de cette élection et montrer non seulement à la sous-région, mais à l'Afrique, que nous pouvons organiser en toute responsabilité une élection qui réconcilie, une élection qui renforce la paix, une élection qui ouvre les meilleures perspectives à notre pays ».
Source : CICG
Je voudrais simplement rappeler que c'est sur proposition de la Commission électorale indépendante (Cei) qu'aujourd'hui, le Conseil a délibéré et a arrêté la date du 31 octobre 2010, comme étant la date de la convocation du collège électoral.
Je voudrais simplement préciser que nous continuerons d'être engagés à faire en sorte d'amener les Ivoiriens à ces élections, à organiser des élections apaisées, à faire en sorte que nous puissions sortir de la crise qui n'a que - bien évidemment - trop duré. Je voudrais me réjouir du fait que nous ayons pu fixer la date pour l'élection présidentielle. Depuis déjà quelques mois, nous avons travaillé sans relâche pour faire en sorte qu'il y ait une liste électorale provisoire qui a été remise le 12 juillet à la Commission Electorale Indépendante. Nous avons aussi achevé l'opération de vérification depuis le 2 août. Et aujourd'hui, notant toutes ces avancées, le Gouvernement a été en mesure de délibérer et d'arrêter cette date.
Je sais que certains sceptiques ne manqueront pas de relever que plusieurs dates avaient déjà été communiquées. Mais, je crois qu'aujourd'hui, le gouvernement est optimiste parce que simplement, le volume des tâches réalisées est palpable et concret. Nous avons quasiment finalisé tout ce qui concerne la liste électorale. Et vous savez que la liste électorale est comme l'épine dorsale de l'élection. Si vous n'avez pas une liste électorale définitive de qualité, vous ne pouvez pas avoir de bonnes élections.
Vous pouvez comprendre que nous ayons mis du temps pour nous accorder consensuellement sur ce que doit être l'élection du 31 octobre. Maintenant, nous demandons aux Ivoiriens - à partir du moment où la date est fixée - de se mobiliser et d'avoir ce sursaut national pour faire en sorte que, dans la cohésion, la paix et la sérénité, nous puissions relever le défi de l'organisation de cette élection et montrer non seulement à la sous-région, mais à l'Afrique, que nous pouvons organiser en toute responsabilité une élection qui réconcilie, une élection qui renforce la paix, une élection qui ouvre les meilleures perspectives à notre pays ».
Source : CICG