Le président ivoirien Laurent Gbagbo a promis vendredi que l`élection présidentielle, fixée au 31 octobre, aurait bien lieu cette année, après des années de crise politique et de multiples reports du scrutin.
La présidentielle a été repoussée à plusieurs reprises depuis 2005, année durant laquelle elle devait initialement se tenir, en raison de divergences sur les listes électorales.
Le pays est miné par l`instabilité politique et la stagnation économique depuis la guerre civile de 2002-03 au sortir de laquelle la moitié du pays est tombée aux mains des rebelles qui avaient tenté de renverser Laurent Gbagbo.
"Je vous dis à tous qu`il y aura une élection présidentielle cette année en Côte-d`Ivoire et que notre pays sera en mesure d`entamer son travail de reconstruction", a dit Gbagbo vendredi, au lendemain de l`annonce de la date du scrutin par le Premier ministre Guillaume Soro.
"Mon espoir le plus cher est que les Ivoiriens puissent choisir librement celui qui dirigera leur pays", a-t-il ajouté dans un discours retransmis à la télévision publique pour le 50e anniversaire de l`indépendance de l`ancienne colonie française.
L`opposition accuse Gbagbo, qui effectue un deuxième mandat sans avoir été élu, de repousser sans cesse le scrutin par crainte d`une défaite, ce que réfute le chef d`Etat.
Tim Cocks, Grégory Blachier pour le service français
La présidentielle a été repoussée à plusieurs reprises depuis 2005, année durant laquelle elle devait initialement se tenir, en raison de divergences sur les listes électorales.
Le pays est miné par l`instabilité politique et la stagnation économique depuis la guerre civile de 2002-03 au sortir de laquelle la moitié du pays est tombée aux mains des rebelles qui avaient tenté de renverser Laurent Gbagbo.
"Je vous dis à tous qu`il y aura une élection présidentielle cette année en Côte-d`Ivoire et que notre pays sera en mesure d`entamer son travail de reconstruction", a dit Gbagbo vendredi, au lendemain de l`annonce de la date du scrutin par le Premier ministre Guillaume Soro.
"Mon espoir le plus cher est que les Ivoiriens puissent choisir librement celui qui dirigera leur pays", a-t-il ajouté dans un discours retransmis à la télévision publique pour le 50e anniversaire de l`indépendance de l`ancienne colonie française.
L`opposition accuse Gbagbo, qui effectue un deuxième mandat sans avoir été élu, de repousser sans cesse le scrutin par crainte d`une défaite, ce que réfute le chef d`Etat.
Tim Cocks, Grégory Blachier pour le service français