«Il n’y aura pas de conditions idéales pour aller à l’élection présidentielle. Elle ne sera pas un miracle mais elle reste la porte de sortie de la crise. Une fois que nous aurons organisé l’élection présidentielle en empruntant cette sortie, nous allons commencer à sortir pas à pas de l’embrouillamini actuel. Donc pour nous, même en l’état actuel, on devrait pouvoir organiser l’élection présidentielle». C’est la conviction du candidat du Parti ivoirien des travailleurs. Le Pr. Wodié l’a partagée jeudi dernier, avec la presse à son QG de campagne, sis à Adjamé. Après avoir fait le bilan de sa tournée dans la partie septentrionale de la Côte d’Ivoire, le candidat du PIT a dit que le peuple ivoirien attendait avec impatience les élections. C’est pourquoi, il a, une fois de plus, souligné la nécessité de la création du Front pour les élections, le FEU. Il est convaincu «que cette crise n’est pas que politique, elle est sociale, économique». Pour ce faire, le leader du parti des travailleurs, a appelé comme à son habitude, à la concertation; c’est-à-dire, «ouvrir la base de la discussion pour que ceux qui décident soient représentatifs en vue d’une responsabilité collective partagée». C’est pourquoi, il a toujours refusé l’idée «des blocs qui bloquent». En conséquence, il demande aux Ivoiriens de faire en sorte que ceux qui ne veulent pas aller aux élections ne soient plus en situation de maintenir le pays en otage. Et de faire cette mise en garde : «lorsqu’on bloque le fonctionnement régulier des institutions, on expose le pays à des aventures».
«Il n’y aura pas de conditions idéales pour aller à l’élection présidentielle. Elle ne sera pas un miracle mais elle reste la porte de sortie de la crise. Une fois que nous aurons organisé l’élection présidentielle en empruntant cette sortie, nous allons commencer à sortir pas à pas de l’embrouillamini actuel. Donc pour nous, même en l’état actuel, on devrait pouvoir organiser l’élection présidentielle». C’est la conviction du candidat du Parti ivoirien des travailleurs. Le Pr. Wodié l’a partagée jeudi dernier, avec la presse à son QG de campagne, sis à Adjamé. Après avoir fait le bilan de sa tournée dans la partie septentrionale de la Côte d’Ivoire, le candidat du PIT a dit que le peuple ivoirien attendait avec impatience les élections. C’est pourquoi, il a, une fois de plus, souligné la nécessité de la création du Front pour les élections, le FEU. Il est convaincu «que cette crise n’est pas que politique, elle est sociale, économique». Pour ce faire, le leader du parti des travailleurs, a appelé comme à son habitude, à la concertation; c’est-à-dire, «ouvrir la base de la discussion pour que ceux qui décident soient représentatifs en vue d’une responsabilité collective partagée». C’est pourquoi, il a toujours refusé l’idée «des blocs qui bloquent». En conséquence, il demande aux Ivoiriens de faire en sorte que ceux qui ne veulent pas aller aux élections ne soient plus en situation de maintenir le pays en otage. Et de faire cette mise en garde : «lorsqu’on bloque le fonctionnement régulier des institutions, on expose le pays à des aventures».
Ibrahima B. Kamagaté
«Il n’y aura pas de conditions idéales pour aller à l’élection présidentielle. Elle ne sera pas un miracle mais elle reste la porte de sortie de la crise. Une fois que nous aurons organisé l’élection présidentielle en empruntant cette sortie, nous allons commencer à sortir pas à pas de l’embrouillamini actuel. Donc pour nous, même en l’état actuel, on devrait pouvoir organiser l’élection présidentielle». C’est la conviction du candidat du Parti ivoirien des travailleurs. Le Pr. Wodié l’a partagée jeudi dernier, avec la presse à son QG de campagne, sis à Adjamé. Après avoir fait le bilan de sa tournée dans la partie septentrionale de la Côte d’Ivoire, le candidat du PIT a dit que le peuple ivoirien attendait avec impatience les élections. C’est pourquoi, il a, une fois de plus, souligné la nécessité de la création du Front pour les élections, le FEU. Il est convaincu «que cette crise n’est pas que politique, elle est sociale, économique». Pour ce faire, le leader du parti des travailleurs, a appelé comme à son habitude, à la concertation; c’est-à-dire, «ouvrir la base de la discussion pour que ceux qui décident soient représentatifs en vue d’une responsabilité collective partagée». C’est pourquoi, il a toujours refusé l’idée «des blocs qui bloquent». En conséquence, il demande aux Ivoiriens de faire en sorte que ceux qui ne veulent pas aller aux élections ne soient plus en situation de maintenir le pays en otage. Et de faire cette mise en garde : «lorsqu’on bloque le fonctionnement régulier des institutions, on expose le pays à des aventures».
Ibrahima B. Kamagaté