La date de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire est enfin connue. Tous les candidats déclarés seront face à face, le 31 octobre prochain. Le débat qui a cours en ce moment, c’est la prorogation du dépôt des candidatures.
La question est sur les toutes lèvres, dans certains cercles et les chapelles politiques. Celle de la réouverture du dépôt des candidatures pour l’élection présidentielle fixée au 31 octobre prochain. Elles sont nombreuses ces personnes tapies dans l’ombre qui croient de plus en plus à une nouvelle classe politique qui aspire à diriger le pays pour les cinq années à venir. Capables de réconcilier les Ivoiriens, loin des querelles politiciennes. Avec une nouvelle vision de la chose politique. Et pour parvenir à un tel projet, ces derniers candidats espèrent de la Cour constitutionnelle l’ouverture à nouveau du dépôt des candidatures. Le président de la convention de la société civile, Me Patrick N’gouan qui semble soutenir un tel argument, a donné le ton en appelant récemment, au cours d’une rencontre avec la presse à la réception de nouvelles candidatures. L’homme de droit tient compte du fait que les premières dates fixées pour le scrutin présidentiel n’ont pu être tenues. Donc le non-respect du calendrier électoral préétabli, a été une occasion pour Me N’gouan, d’inviter la Cour constitutionnelle à l’ouverture des candidatures pour tous ceux qui désirent prendre part à ces consultations électorales. “ Il faut permettre à tous ceux qui veulent participer à ces élections de le faire. Il faut éviter de créer de nouvelles frustrations. Ces consultations électorales doivent nous permettre de sortir définitivement de la crise“, a soutenu N’gouan. Des individus se réclamant proches du premier ministre Charles Konan Banny avaient également appelé la Cour constitutionnelle à rouvrir le débat. Comme une traînée de poudre, le message a commencé à gagner du terrain. Dans les milieux politiques, la question est sur toutes les lèvres. Le président de l’Udpci, Dr Mabri Toikeusse a, quant à lui, souhaité que la loi en la matière puisse être appliquée. Même si cette idée pour certains constitue une nouvelle pomme de discorde, elle demeure d’actualité. Les membres du Cadre Permanent de Concertation (CPC) qui se réuniront très prochainement, doivent pouvoir examiner et donner une réponse appropriée à cette question.
Lance Touré
La question est sur les toutes lèvres, dans certains cercles et les chapelles politiques. Celle de la réouverture du dépôt des candidatures pour l’élection présidentielle fixée au 31 octobre prochain. Elles sont nombreuses ces personnes tapies dans l’ombre qui croient de plus en plus à une nouvelle classe politique qui aspire à diriger le pays pour les cinq années à venir. Capables de réconcilier les Ivoiriens, loin des querelles politiciennes. Avec une nouvelle vision de la chose politique. Et pour parvenir à un tel projet, ces derniers candidats espèrent de la Cour constitutionnelle l’ouverture à nouveau du dépôt des candidatures. Le président de la convention de la société civile, Me Patrick N’gouan qui semble soutenir un tel argument, a donné le ton en appelant récemment, au cours d’une rencontre avec la presse à la réception de nouvelles candidatures. L’homme de droit tient compte du fait que les premières dates fixées pour le scrutin présidentiel n’ont pu être tenues. Donc le non-respect du calendrier électoral préétabli, a été une occasion pour Me N’gouan, d’inviter la Cour constitutionnelle à l’ouverture des candidatures pour tous ceux qui désirent prendre part à ces consultations électorales. “ Il faut permettre à tous ceux qui veulent participer à ces élections de le faire. Il faut éviter de créer de nouvelles frustrations. Ces consultations électorales doivent nous permettre de sortir définitivement de la crise“, a soutenu N’gouan. Des individus se réclamant proches du premier ministre Charles Konan Banny avaient également appelé la Cour constitutionnelle à rouvrir le débat. Comme une traînée de poudre, le message a commencé à gagner du terrain. Dans les milieux politiques, la question est sur toutes les lèvres. Le président de l’Udpci, Dr Mabri Toikeusse a, quant à lui, souhaité que la loi en la matière puisse être appliquée. Même si cette idée pour certains constitue une nouvelle pomme de discorde, elle demeure d’actualité. Les membres du Cadre Permanent de Concertation (CPC) qui se réuniront très prochainement, doivent pouvoir examiner et donner une réponse appropriée à cette question.
Lance Touré