BOUAKE - L'ex-rébellion ivoirienne des Forces nouvelles (FN) s'est déclarée samedi "satisfaite", après la fixation au 31 octobre de la date du scrutin présidentiel en Côte d'Ivoire, sans cesse reporté depuis 2005.
"Les Forces nouvelles ont noté avec satisfaction le choix de la date du 31 octobre", a affirmé Félicien Sékongo, un des porte-paroles des FN, lors d'une conférence de presse à Bouaké (centre), fief des FN.
M. Sékongo qui s'exprimait, lors de la clôture d'un "conclave" sur l'opération de désarmement, a également demandé au gouvernement ivoirien, de "respecter ses engagements" pour le bon déroulement du désarmement, notamment le paiement de "500 000 FCFA (762,7 euros) pour solde de tout compte" aux ex-combattants démobilisés.
Le scrutin est censé clore la crise née du putsch manqué de 2002, qui a coupé le pays en un sud loyaliste et un nord tenu par les FN.
Le respect du 31 octobre exige que soient relevés rapidement de lourds défis liés aux opérations électorales et au désarmement des FN.
Le dernier accord de paix, signé fin 2008 en complément à "l'accord politique de Ouagadougou" de 2007, prévoit le désarmement des éléments FN qui n'auront été ni démobilisés ni reversés dans des brigades mixtes (loyalistes et ex-rebelles) chargées de sécuriser la prochaine élection.
"Les Forces nouvelles ont noté avec satisfaction le choix de la date du 31 octobre", a affirmé Félicien Sékongo, un des porte-paroles des FN, lors d'une conférence de presse à Bouaké (centre), fief des FN.
M. Sékongo qui s'exprimait, lors de la clôture d'un "conclave" sur l'opération de désarmement, a également demandé au gouvernement ivoirien, de "respecter ses engagements" pour le bon déroulement du désarmement, notamment le paiement de "500 000 FCFA (762,7 euros) pour solde de tout compte" aux ex-combattants démobilisés.
Le scrutin est censé clore la crise née du putsch manqué de 2002, qui a coupé le pays en un sud loyaliste et un nord tenu par les FN.
Le respect du 31 octobre exige que soient relevés rapidement de lourds défis liés aux opérations électorales et au désarmement des FN.
Le dernier accord de paix, signé fin 2008 en complément à "l'accord politique de Ouagadougou" de 2007, prévoit le désarmement des éléments FN qui n'auront été ni démobilisés ni reversés dans des brigades mixtes (loyalistes et ex-rebelles) chargées de sécuriser la prochaine élection.