Le Patriote : M. Koné, on demande votre retrait de la liste électorale, sous le prétexte que vous ne seriez pas Ivoirien. Que répondez-vous à cette accusation?
Youssouf Koné : Je demande tout simplement à mes accusateurs d’apporter les preuves de leur affirmation. Pour ma part, je reste serein et je les attends.
LP : Dans quel état d’esprit vous trouvez-vous aujourd’hui ?
YK : Il faut dire que je suis profondément peiné que des Ivoiriens se comportent de la sorte.
Mais je ne suis pas surpris. Nous avons de tout temps, depuis 1994, mené ce combat contre l’arbitraire et l’injustice. Mais malheureusement, il est regrettable de voir ces pratiques revenir en force. Vivement donc, nous souhaitons que ces choses s’arrêtent, car elles n’honorent guère notre pays. Et il faudrait que nos adversaires sachent aussi que jamais nous n’accepterons l’arbitraire et l’injustice. C’est pourquoi, nous appelons les Magistrats devant statuer sur ces questions, de lire effectivement le Droit, rien que le Droit. Cela va permettre d’éviter des désagréments aux citoyens de ce pays.
LP : Une fois le Droit tranché en votre faveur, allez-vous poursuivre vos accusateurs pour «dénonciation calomnieuse » ?
YK : Naturellement ! Nous ne pouvons laisser tomber cette affaire comme çà. Parce que pour nous, ces personnes qui s’adonnent à des dénonciations calomnieuses constituent une véritable gangrène pour la société ivoirienne. Il s’agit d’un mal qu’il faudra, très vite, extirper de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi nous serons nombreux à porter plainte.
Recueillis par DS
Youssouf Koné : Je demande tout simplement à mes accusateurs d’apporter les preuves de leur affirmation. Pour ma part, je reste serein et je les attends.
LP : Dans quel état d’esprit vous trouvez-vous aujourd’hui ?
YK : Il faut dire que je suis profondément peiné que des Ivoiriens se comportent de la sorte.
Mais je ne suis pas surpris. Nous avons de tout temps, depuis 1994, mené ce combat contre l’arbitraire et l’injustice. Mais malheureusement, il est regrettable de voir ces pratiques revenir en force. Vivement donc, nous souhaitons que ces choses s’arrêtent, car elles n’honorent guère notre pays. Et il faudrait que nos adversaires sachent aussi que jamais nous n’accepterons l’arbitraire et l’injustice. C’est pourquoi, nous appelons les Magistrats devant statuer sur ces questions, de lire effectivement le Droit, rien que le Droit. Cela va permettre d’éviter des désagréments aux citoyens de ce pays.
LP : Une fois le Droit tranché en votre faveur, allez-vous poursuivre vos accusateurs pour «dénonciation calomnieuse » ?
YK : Naturellement ! Nous ne pouvons laisser tomber cette affaire comme çà. Parce que pour nous, ces personnes qui s’adonnent à des dénonciations calomnieuses constituent une véritable gangrène pour la société ivoirienne. Il s’agit d’un mal qu’il faudra, très vite, extirper de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi nous serons nombreux à porter plainte.
Recueillis par DS