Sokouri Bohui (Fpi) : «Ce n’est pas un problème»
«Ce que nous souhaitons, c’est qu’il y ait les élections le 31 octobre. Je crois que la Cei va tout mettre en œuvre pour être dans les délais. Le chronogramme, ce n’est pas un problème pour moi. Le véritable problème, ce sont ceux qui ne veulent pas qu’on fasse les radiations ».
Ibrahim Doumbia (Rdr) : «C’est regrettable !»
Disons que ce que la Cei a produit, est un plan d’action. Alors que les Ivoiriens et l’ensemble de la communauté internationale qui nous appuie ont besoin de dates précises afin de pouvoir suivre le processus électoral et apprécier si les délais sont respectés ou s’il y a des retards qui s’accumulent. C’est regrettable que l’ensemble des tâches ne soit pas accompagné de délais. Ce qui aurait permis à tout le monde de suivre l’évolution de l’organisation de l’élection. Ce sont les dates officielles qui doivent engager la Cei et nous permettre de la suivre. En tout état de cause, la date du 31octobre est connue comme celle de l’élection présidentielle et le 26 août comme celle de la fin du contentieux judiciaire. Nous engageons donc la Cei à mettre tout en œuvre pour qu’entre ces deux dates, tout soit fait pour la tenue effective de l’élection présidentielle. »
Patrick N’Gouan (société civile) : «Que la Cei fasse preuve de plus de transparence»
Je voudrais vraiment inviter la Cei à faire preuve de plus de transparence en communiquant les dates indicatives. Je crois bien qu’elle ne travaille pas sans dates, même si elle ne veut pas les communiquer. En tant que société civile, porte-parole de la population, nous avons droit à l’information. Parce que c’est notre destin qui se joue. Je souhaite vraiment que nos amis de la Cei rassurent davantage les uns et les autres en précisant les dates. Ainsi, nous lui servirons de témoin de sorte que, s’il y a un blocage, nous pourrons expliquer à la population dans quel camp situer les responsabilités. Vu que tout ne dépend pas que de la Cei. C’est pourquoi nous voulons qu’elle prenne la société civile pour partenaire et échange avec elle régulièrement sur un ensemble de difficultés qu’elle rencontre afin que nous puissions faire des propositions en retour ».
Hamadoun Touré (porte-parole Onuci) :«La date de la liste électorale définitive, date cruciale»
Nous notons les efforts de la Cei et nous lui réitérons notre disponibilité à lui accorder notre soutien. Nous espérons que tout sera fait pour que la liste électorale définitive soit disponible dans les meilleurs délais. La date cruciale pour nous, c’est la date de production et de présentation de cette liste. Dès qu’on aura franchi cette date, on verra plus clair ».
Propos recueillis par MAE
«Ce que nous souhaitons, c’est qu’il y ait les élections le 31 octobre. Je crois que la Cei va tout mettre en œuvre pour être dans les délais. Le chronogramme, ce n’est pas un problème pour moi. Le véritable problème, ce sont ceux qui ne veulent pas qu’on fasse les radiations ».
Ibrahim Doumbia (Rdr) : «C’est regrettable !»
Disons que ce que la Cei a produit, est un plan d’action. Alors que les Ivoiriens et l’ensemble de la communauté internationale qui nous appuie ont besoin de dates précises afin de pouvoir suivre le processus électoral et apprécier si les délais sont respectés ou s’il y a des retards qui s’accumulent. C’est regrettable que l’ensemble des tâches ne soit pas accompagné de délais. Ce qui aurait permis à tout le monde de suivre l’évolution de l’organisation de l’élection. Ce sont les dates officielles qui doivent engager la Cei et nous permettre de la suivre. En tout état de cause, la date du 31octobre est connue comme celle de l’élection présidentielle et le 26 août comme celle de la fin du contentieux judiciaire. Nous engageons donc la Cei à mettre tout en œuvre pour qu’entre ces deux dates, tout soit fait pour la tenue effective de l’élection présidentielle. »
Patrick N’Gouan (société civile) : «Que la Cei fasse preuve de plus de transparence»
Je voudrais vraiment inviter la Cei à faire preuve de plus de transparence en communiquant les dates indicatives. Je crois bien qu’elle ne travaille pas sans dates, même si elle ne veut pas les communiquer. En tant que société civile, porte-parole de la population, nous avons droit à l’information. Parce que c’est notre destin qui se joue. Je souhaite vraiment que nos amis de la Cei rassurent davantage les uns et les autres en précisant les dates. Ainsi, nous lui servirons de témoin de sorte que, s’il y a un blocage, nous pourrons expliquer à la population dans quel camp situer les responsabilités. Vu que tout ne dépend pas que de la Cei. C’est pourquoi nous voulons qu’elle prenne la société civile pour partenaire et échange avec elle régulièrement sur un ensemble de difficultés qu’elle rencontre afin que nous puissions faire des propositions en retour ».
Hamadoun Touré (porte-parole Onuci) :«La date de la liste électorale définitive, date cruciale»
Nous notons les efforts de la Cei et nous lui réitérons notre disponibilité à lui accorder notre soutien. Nous espérons que tout sera fait pour que la liste électorale définitive soit disponible dans les meilleurs délais. La date cruciale pour nous, c’est la date de production et de présentation de cette liste. Dès qu’on aura franchi cette date, on verra plus clair ».
Propos recueillis par MAE