Environ 14 millions d`euros de la communauté internationale sont disponibles pour l`élection présidentielle fixée au 31 octobre en Côte d`Ivoire, selon l`Opération des Nations unies en Côte d`Ivoire (ONUCI).
"Environ 14 millions d`euros sont disponibles en ce moment dans le Basket fund (panier de fonds) pour le financement du processus électoral", a déclaré mercredi à Abidjan, le nouveau Représentant spécial adjoint du secrétaire général des Nations unies pour la Côte d`Ivoire, Ndolamb Ngokwey, selon un communiqué de l`ONUCI.
Pour M. Ngokwey, par ailleurs Coordonnateur humanitaire et Coordonnateur résident en Côte d`Ivoire, qui a pris fonction le 2 août, "avec la décision politique prise concernant la tenue prochaine des élections, il sera possible de mobiliser davantage de ressources".
Il a affirmé que la plupart des partenaires financiers et techniques de la Côte d`Ivoire ont marqué leur disponibilité à explorer des possibilités pour aider le pays.
"Il y a des facteurs logistiques, financiers et techniques et la communauté internationale est convaincue qu`il est de son devoir de faire tout son possible pour appuyer les autorités nationales et les instances électorales a conduire le processus électoral à bon terme", a-t-il ajouté.
Le coût estimatif des élections est de 36,5 milliards de FCFA ( 55,6 millions d`euros). La Côte d`Ivoire contribue à hauteur de 12 milliards, le reste, 24,5 milliards de FCFA, étant à rechercher auprès de la communauté internationale.
Le "panier de fonds" ou la somme de contributions de la communauté internationale pour appuyer le processus électoral en Côte d`voire a été ouvert auprès du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) après la signature en mars 2007 de l`accord politique de Ouagadougou par les parties ivoiriennes.
Il prend en charge les séances de formation, les campagnes de sensibilisation des partis politiques et de la société civile, la couverture médiatique, l`édition du guide de l`électeur, la distribution des cartes d`électeurs et également les questions liées au désarmement.
Interrogé sur le rôle du PNUD et des bailleurs de fonds dans le
financement de l`encasernement des ex-combattants rebelles, M. Ngokwey a estimé qu`en tant que partenaires du gouvernement ils ne pouvaient pas ne pas accompagner le processus.
"C`est un engagement formel des Nations unies d`accompagner le processus en Côte d`Ivoire", a-t-il soutenu.
Lancé début mai avec le regroupement de 300 ex-rebelles, l`opération est bloquée en raison de difficultés financières.
L`ex-rébellion des Forces nouvelles estiment à 5,5 milliards de FCFA le budget de l`encasernement de ses ex-combattants.
Le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex- combattants est prévue pour s`achever deux mois avant la date fixée pour l`élection présidentielle.
"Environ 14 millions d`euros sont disponibles en ce moment dans le Basket fund (panier de fonds) pour le financement du processus électoral", a déclaré mercredi à Abidjan, le nouveau Représentant spécial adjoint du secrétaire général des Nations unies pour la Côte d`Ivoire, Ndolamb Ngokwey, selon un communiqué de l`ONUCI.
Pour M. Ngokwey, par ailleurs Coordonnateur humanitaire et Coordonnateur résident en Côte d`Ivoire, qui a pris fonction le 2 août, "avec la décision politique prise concernant la tenue prochaine des élections, il sera possible de mobiliser davantage de ressources".
Il a affirmé que la plupart des partenaires financiers et techniques de la Côte d`Ivoire ont marqué leur disponibilité à explorer des possibilités pour aider le pays.
"Il y a des facteurs logistiques, financiers et techniques et la communauté internationale est convaincue qu`il est de son devoir de faire tout son possible pour appuyer les autorités nationales et les instances électorales a conduire le processus électoral à bon terme", a-t-il ajouté.
Le coût estimatif des élections est de 36,5 milliards de FCFA ( 55,6 millions d`euros). La Côte d`Ivoire contribue à hauteur de 12 milliards, le reste, 24,5 milliards de FCFA, étant à rechercher auprès de la communauté internationale.
Le "panier de fonds" ou la somme de contributions de la communauté internationale pour appuyer le processus électoral en Côte d`voire a été ouvert auprès du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) après la signature en mars 2007 de l`accord politique de Ouagadougou par les parties ivoiriennes.
Il prend en charge les séances de formation, les campagnes de sensibilisation des partis politiques et de la société civile, la couverture médiatique, l`édition du guide de l`électeur, la distribution des cartes d`électeurs et également les questions liées au désarmement.
Interrogé sur le rôle du PNUD et des bailleurs de fonds dans le
financement de l`encasernement des ex-combattants rebelles, M. Ngokwey a estimé qu`en tant que partenaires du gouvernement ils ne pouvaient pas ne pas accompagner le processus.
"C`est un engagement formel des Nations unies d`accompagner le processus en Côte d`Ivoire", a-t-il soutenu.
Lancé début mai avec le regroupement de 300 ex-rebelles, l`opération est bloquée en raison de difficultés financières.
L`ex-rébellion des Forces nouvelles estiment à 5,5 milliards de FCFA le budget de l`encasernement de ses ex-combattants.
Le désarmement, la démobilisation et la réinsertion des ex- combattants est prévue pour s`achever deux mois avant la date fixée pour l`élection présidentielle.