A plus de 60 jours de l’élection présidentielle la commission électorale indépendante (Cei) a tenu à faire le point de l’avancement des opérations devant conduire au scrutin. C’était le vendredi dernier à son siège, au II Plateaux au cours d’une conférence de presse.
Bamaba Yacouba, le porte-parole de la Cei, a signifié d’entrée, que la Cei a fini le traitement de la liste électorale provisoire, elle attend donc les décisions relevant de la compétence de la justice. « La commission électorale indépendante a fini de faire le traitement de toutes ces réclamations. Nous sommes donc en attente des derniers résultats des contentieux judiciaires ». Pour le porte-parole de l’institution en charge de l’élection, tout le chronogramme de l’opération a été déjà élaboré. Mais par mesure de précaution, cela ne peut être porté à la connaissance du public. Alors, Bamba Yacouba a souligné que la Cei attend toujours les moyens financiers qui devraient être mis à sa disposition pour l’exécution de ces tâches à venir. C’est dire que, si le collaborateur de Youssouf Bakayoko s’est voulu rassurant face aux journalistes, il reste néanmoins quelques obstacles à franchir avant le 31 octobre. Mais pour mener à bien cette opération du reste délicate, « la Cei souhaite une collaboration directe de ses responsables avec tous les partenaires techniques engagés dans le processus électoral, afin de respecter cette importante éhéance », dira Bamba Yacouba. Les radiations sur la liste électorale, qui alimentent l’actualité nationale ces derniers jours, n’ont pas échappé aux échanges entre le porte-parole de la Cei et les journalistes. Sur cet épineux sujet, le porte-parole de la commission a tenu à rassurer les populations « … Il ne faut pas s’affoler ou s’inquiéter outre mesure. Les Ivoiriens doivent attendre que la justice ait fini de rendre sa décision au plus tard, le 26 août, pour que nous disions exactement combien de personnes ont été radiées. Il faut savoir qu’il y a une catégorie de personnes que des accords et des textes protègent. Notamment, l’accord politique de Ouagadougou qui a déjà épargné une catégorie de personnes de ces radiations. C’est-à-dire, ceux qui sont sur la lsite de 2000. Il y a aussi ceux qui sont sur les fichiers ivoiriens qui ont été croisés. Leur nationalité a été prouvée avec les croisements ».
Jérôme N’Dri
Bamaba Yacouba, le porte-parole de la Cei, a signifié d’entrée, que la Cei a fini le traitement de la liste électorale provisoire, elle attend donc les décisions relevant de la compétence de la justice. « La commission électorale indépendante a fini de faire le traitement de toutes ces réclamations. Nous sommes donc en attente des derniers résultats des contentieux judiciaires ». Pour le porte-parole de l’institution en charge de l’élection, tout le chronogramme de l’opération a été déjà élaboré. Mais par mesure de précaution, cela ne peut être porté à la connaissance du public. Alors, Bamba Yacouba a souligné que la Cei attend toujours les moyens financiers qui devraient être mis à sa disposition pour l’exécution de ces tâches à venir. C’est dire que, si le collaborateur de Youssouf Bakayoko s’est voulu rassurant face aux journalistes, il reste néanmoins quelques obstacles à franchir avant le 31 octobre. Mais pour mener à bien cette opération du reste délicate, « la Cei souhaite une collaboration directe de ses responsables avec tous les partenaires techniques engagés dans le processus électoral, afin de respecter cette importante éhéance », dira Bamba Yacouba. Les radiations sur la liste électorale, qui alimentent l’actualité nationale ces derniers jours, n’ont pas échappé aux échanges entre le porte-parole de la Cei et les journalistes. Sur cet épineux sujet, le porte-parole de la commission a tenu à rassurer les populations « … Il ne faut pas s’affoler ou s’inquiéter outre mesure. Les Ivoiriens doivent attendre que la justice ait fini de rendre sa décision au plus tard, le 26 août, pour que nous disions exactement combien de personnes ont été radiées. Il faut savoir qu’il y a une catégorie de personnes que des accords et des textes protègent. Notamment, l’accord politique de Ouagadougou qui a déjà épargné une catégorie de personnes de ces radiations. C’est-à-dire, ceux qui sont sur la lsite de 2000. Il y a aussi ceux qui sont sur les fichiers ivoiriens qui ont été croisés. Leur nationalité a été prouvée avec les croisements ».
Jérôme N’Dri
