ABIDJAN - La Commission électorale indépendante (CEI) de Côte d'Ivoire se dit "déterminée" à respecter l'échéance du 31 octobre pour l'élection présidentielle maintes fois reportée dans le pays depuis 2005.
"La CEI voudrait rassurer la communauté nationale et internationale qu'elle est déterminée à organiser les élections, lesquelles auront bel et bien lieu le 31 octobre 2010", a déclaré vendredi son porte-parole, Bamba Yacouba, lors d'un point de presse.
Selon lui, la CEI est "à pied d'oeuvre" pour le respect de la date à travers la réalisation de "diverses tâches", notamment le traitement du contentieux électoral dans sa phase administrative.
"Toutes les Commissions électorales locales sur le territoire national et à l'étranger ont finalisé le traitement" et la CEI est "en attente" des résultats du contentieux judiciaire qui prend fin vendredi afin de les acheminer vers les opérateurs techniques pour "sortir la liste électorale définitive en septembre", a indiqué M. Bamba.
Il a annoncé l'adoption par la CEI d'un "chronogramme électoral " qui prend en compte les tâches à mener jusqu'à la proclamation des résultats définitifs d'un éventuel second tour.
Le porte-parole de la CEI a cité en quatre points les "grandes étapes" de ce "chronogramme" qui concernent la mise à la disposition de la CEI de "moyens financiers adéquats", l'édition et la distribution de la liste électorale définitive et des cartes d'électeurs, la production des documents électoraux et le recrutement, la formation et le déploiement des agents électoraux.
"Les lieux de vote potentiels sont déjà connus", a-t-il poursuivi précisant qu'il s'agit des "lieux qui ont servi à l'enrôlement des électeurs".
M. Bamba a également relevé l'achèvement de certaines étapes dont l'acquisition du matériel électoral, la réception et la publication de la liste des 14 candidats.
"Avec le chronogramme élaboré, je ne suis pas inquiet" pour le respect de la date du 31 octobre, a-t-il dit appelant toutefois les autres partenaires engagés dans le processus électoral à remplir leurs obligations.
"Les conditions ne dépendent pas uniquement de nous, chacun doit faire sa part de travail", a souligné Bamba Yacouba non sans menacer de dénoncer les "partenaires qui ne respectent pas leur part". Fin
"La CEI voudrait rassurer la communauté nationale et internationale qu'elle est déterminée à organiser les élections, lesquelles auront bel et bien lieu le 31 octobre 2010", a déclaré vendredi son porte-parole, Bamba Yacouba, lors d'un point de presse.
Selon lui, la CEI est "à pied d'oeuvre" pour le respect de la date à travers la réalisation de "diverses tâches", notamment le traitement du contentieux électoral dans sa phase administrative.
"Toutes les Commissions électorales locales sur le territoire national et à l'étranger ont finalisé le traitement" et la CEI est "en attente" des résultats du contentieux judiciaire qui prend fin vendredi afin de les acheminer vers les opérateurs techniques pour "sortir la liste électorale définitive en septembre", a indiqué M. Bamba.
Il a annoncé l'adoption par la CEI d'un "chronogramme électoral " qui prend en compte les tâches à mener jusqu'à la proclamation des résultats définitifs d'un éventuel second tour.
Le porte-parole de la CEI a cité en quatre points les "grandes étapes" de ce "chronogramme" qui concernent la mise à la disposition de la CEI de "moyens financiers adéquats", l'édition et la distribution de la liste électorale définitive et des cartes d'électeurs, la production des documents électoraux et le recrutement, la formation et le déploiement des agents électoraux.
"Les lieux de vote potentiels sont déjà connus", a-t-il poursuivi précisant qu'il s'agit des "lieux qui ont servi à l'enrôlement des électeurs".
M. Bamba a également relevé l'achèvement de certaines étapes dont l'acquisition du matériel électoral, la réception et la publication de la liste des 14 candidats.
"Avec le chronogramme élaboré, je ne suis pas inquiet" pour le respect de la date du 31 octobre, a-t-il dit appelant toutefois les autres partenaires engagés dans le processus électoral à remplir leurs obligations.
"Les conditions ne dépendent pas uniquement de nous, chacun doit faire sa part de travail", a souligné Bamba Yacouba non sans menacer de dénoncer les "partenaires qui ne respectent pas leur part". Fin