ABIDJAN - Le gouvernement ivoirien a annoncé vendredi le décaissement de 40 millliards de FCFA (61 M EUR) pour "garantir à bonne date" le scrutin présidentiel fixé au 31 octobre prochain en Côte d`Ivoire.
"Les élections et les opérations de sortie de crise ne souffriront pas de
problème de trésorerie", a affirmé Ahoutou Koffi, directeur de cabinet du
ministre de l`Economie. "Nous avons toute l`assurance et la garantie que ces
élections vont se tenir", a-t-il affirmé lors d`une conférence de presse.
Selon lui, 145,5 milliards de francs CFA (222 illions d`Euros) ont été
inscrits au budget de l`Etat en 2010 dont 25,2 mds FCFA d`appuis extérieurs,
plus de 76 mds FCFA ont déjà été débloqués.
Le reste (68,8 mds FCFA dont 10,2 d`appuis extérieurs) sera apuré en
septembre (40 mds FCFA) et octobre (18,6 mds FCFA) "pour que dans tous les cas
les élections puissent se tenir".
"Il est bon, que la date du 31 octobre soit tenue", a déclaré le président
ivoirien Laurent Gbagbo, cité vendredi dans le compte-rendu du conseil des
ministres. "Certes, des contraintes financières et techniques existent, mais
elles seront levées comme d`autres dans le passé", a pousuivi M. Gbagbo, selon
la même source.
Le scrutin est censé clore la crise née du putsch manqué de 2002, qui a
coupé le pays en un sud loyaliste et un nord tenu par l`ex-rébellion
ivoirienne des Forces nouvelles (FN). Le respect de ce délai suppose la fin
des opérations électorales et le désarmement des FN.
"Les élections et les opérations de sortie de crise ne souffriront pas de
problème de trésorerie", a affirmé Ahoutou Koffi, directeur de cabinet du
ministre de l`Economie. "Nous avons toute l`assurance et la garantie que ces
élections vont se tenir", a-t-il affirmé lors d`une conférence de presse.
Selon lui, 145,5 milliards de francs CFA (222 illions d`Euros) ont été
inscrits au budget de l`Etat en 2010 dont 25,2 mds FCFA d`appuis extérieurs,
plus de 76 mds FCFA ont déjà été débloqués.
Le reste (68,8 mds FCFA dont 10,2 d`appuis extérieurs) sera apuré en
septembre (40 mds FCFA) et octobre (18,6 mds FCFA) "pour que dans tous les cas
les élections puissent se tenir".
"Il est bon, que la date du 31 octobre soit tenue", a déclaré le président
ivoirien Laurent Gbagbo, cité vendredi dans le compte-rendu du conseil des
ministres. "Certes, des contraintes financières et techniques existent, mais
elles seront levées comme d`autres dans le passé", a pousuivi M. Gbagbo, selon
la même source.
Le scrutin est censé clore la crise née du putsch manqué de 2002, qui a
coupé le pays en un sud loyaliste et un nord tenu par l`ex-rébellion
ivoirienne des Forces nouvelles (FN). Le respect de ce délai suppose la fin
des opérations électorales et le désarmement des FN.