es appels à l'apaisement se succè dent en vue de garantir le succès du processus électoral en cours en Côte d'Ivoire.
Organisations de la société civile, institutions nationales et internationales, personnes physiques et morales appellent de tous leurs voeux à la cessation des échauffourées afin que le processus parvienne sans écueil à son terme.
Lors d'une déclaration mercredi, le porte-parole de la Commission électorale indépendante (CEI), Bamba Yacouba, avait exhorté mercredi tous les Ivoiriens à travailler résolument pour la tenue de l'élection présidentielle le 31 octobre.
"Le succès du processus électoral dépend du climat de paix et de sérénité", avait-il énoncé, après que l'institution eut fait le constat des divergences survenues dans le cadre du contentieux judiciaire de la liste électorale.
Le porte-parole de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire Hamadoun Touré fait pour sa part état de la nécessité de maintenir un environnement électoral apaisé.
"L'ONUCI qui observe une montée de la tension verbale et des affrontements physiques appelle à une gestion calme du processus é lectoral", avait-il noté, estimant que les soubresauts peuvent compromettre l'avancée du processus.
Abondant dans le même sens, le président de l'association pour la promotion des droits de l'homme Hervé Gouaméné a estimé que les acteurs politiques doivent faire preuve de retenue, mais aussi les journalistes qui selon lui doivent s'abstenir de dramatiser les situations afin de ne pas jeter l'huile sur le feu.
"Sur plus de 5 millions d'inscrits, il ya en réalité environ 28 000 demandes en radiation. On ne peut pas parler de fraude abusive ni de radiation abusive. Les chiffres publiés sont souvent gonflés et il faut faire attention", a indiqué M. Gouaméné, appelant les uns et les autres à ne pas amplifier le phénomène de la fraude.
La Côte d'Ivoire se trouve dans le processus de sortie de crise avec la gestion du contentieux judiciaire après l'éclatement de la crise militaro-politique en 2002.
La date de l'élection présidentielle devant garantir le retour définitif de la paix été fixé au 31 octobre, mais le contentieux judiciaire a été émaillé d'incidents liés à la contestation des radiations sur les listes électorales.
Le contentieux judiciaire a officiellement pris fin jeudi, mais des partisans du camp ivoirien comptent plaider pour sa prorogation afin de donner le temps aux magistrats de gérer les lots de dossiers.
Organisations de la société civile, institutions nationales et internationales, personnes physiques et morales appellent de tous leurs voeux à la cessation des échauffourées afin que le processus parvienne sans écueil à son terme.
Lors d'une déclaration mercredi, le porte-parole de la Commission électorale indépendante (CEI), Bamba Yacouba, avait exhorté mercredi tous les Ivoiriens à travailler résolument pour la tenue de l'élection présidentielle le 31 octobre.
"Le succès du processus électoral dépend du climat de paix et de sérénité", avait-il énoncé, après que l'institution eut fait le constat des divergences survenues dans le cadre du contentieux judiciaire de la liste électorale.
Le porte-parole de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire Hamadoun Touré fait pour sa part état de la nécessité de maintenir un environnement électoral apaisé.
"L'ONUCI qui observe une montée de la tension verbale et des affrontements physiques appelle à une gestion calme du processus é lectoral", avait-il noté, estimant que les soubresauts peuvent compromettre l'avancée du processus.
Abondant dans le même sens, le président de l'association pour la promotion des droits de l'homme Hervé Gouaméné a estimé que les acteurs politiques doivent faire preuve de retenue, mais aussi les journalistes qui selon lui doivent s'abstenir de dramatiser les situations afin de ne pas jeter l'huile sur le feu.
"Sur plus de 5 millions d'inscrits, il ya en réalité environ 28 000 demandes en radiation. On ne peut pas parler de fraude abusive ni de radiation abusive. Les chiffres publiés sont souvent gonflés et il faut faire attention", a indiqué M. Gouaméné, appelant les uns et les autres à ne pas amplifier le phénomène de la fraude.
La Côte d'Ivoire se trouve dans le processus de sortie de crise avec la gestion du contentieux judiciaire après l'éclatement de la crise militaro-politique en 2002.
La date de l'élection présidentielle devant garantir le retour définitif de la paix été fixé au 31 octobre, mais le contentieux judiciaire a été émaillé d'incidents liés à la contestation des radiations sur les listes électorales.
Le contentieux judiciaire a officiellement pris fin jeudi, mais des partisans du camp ivoirien comptent plaider pour sa prorogation afin de donner le temps aux magistrats de gérer les lots de dossiers.