ABIDJAN - La problématique du financement de l'élection présidentielle ivoirienne semble ne plus se poser avec acuité.
L'inquiétude des Ivoiriens concernant le volet financier du scrutin se dissipe progressivement, avec les déblocages de fonds aux niveaux national et international.
Dans un communiqué publié le 18 août, l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) avait donné le ton, en faisant l'annonce de la disponibilité d'environ 14 millions d'euros dans le Basket fund (panier de fonds) pour le financement du processus électoral.
Le représentant spécial adjoint du secrétaire général des Nations unies pour la Côte d'Ivoire, Ndolamb Ngokwey, avait affirmé dans le communiqué que la plupart des partenaires financiers et techniques de la Côte d'Ivoire étaient disposés à explorer des possibilités pour aider le pays.
Corroborant cette assertion, le Représentant pays du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) André Carvallo avait déclaré que la structure onusienne était prête et outillée pour l'impression des bulletins de vote.
Dans cette atmosphère empreinte d'espoir, le directeur de cabinet du ministre ivoirien de l'Economie et des Finances Koffi Ahoutou a annoncé vendredi la contribution de l'Etat de Côte d'Ivoire à hauteur de 62 millions d'euros pour le financement de la sortie de crise.
A en croire M. Ahoutou, les arriérés de prime, l'encasernement des volontaires pour l'armée nouvelle, et l'identification constituent quelques uns des chapitres importants du budget de sortie de crise.
Sur les 90 millions d'euros restant à décaisser pour l'ensemble de la sortie de crise, l'Etat ivoirien se résout ainsi à dégager 62 millions d'euros en septembre.
"Le reliquat sera mis en place dans le mois d'octobre", a assuré le directeur de cabinet du ministre de l'Economie et des Finances, qui a réaffirmé qu'il ne se pose pas de problème budgétaire pour la sortie de crise.
L'élection présidentielle ivoirienne considérée comme l'épilogue du processus de sortie de crise est fixée au 31 octobre.
Le budget du processus pris en compte par l'Etat ivoirien en 2010 est passé de 172 millions d'euros à 222 millions.
L'inquiétude des Ivoiriens concernant le volet financier du scrutin se dissipe progressivement, avec les déblocages de fonds aux niveaux national et international.
Dans un communiqué publié le 18 août, l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) avait donné le ton, en faisant l'annonce de la disponibilité d'environ 14 millions d'euros dans le Basket fund (panier de fonds) pour le financement du processus électoral.
Le représentant spécial adjoint du secrétaire général des Nations unies pour la Côte d'Ivoire, Ndolamb Ngokwey, avait affirmé dans le communiqué que la plupart des partenaires financiers et techniques de la Côte d'Ivoire étaient disposés à explorer des possibilités pour aider le pays.
Corroborant cette assertion, le Représentant pays du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) André Carvallo avait déclaré que la structure onusienne était prête et outillée pour l'impression des bulletins de vote.
Dans cette atmosphère empreinte d'espoir, le directeur de cabinet du ministre ivoirien de l'Economie et des Finances Koffi Ahoutou a annoncé vendredi la contribution de l'Etat de Côte d'Ivoire à hauteur de 62 millions d'euros pour le financement de la sortie de crise.
A en croire M. Ahoutou, les arriérés de prime, l'encasernement des volontaires pour l'armée nouvelle, et l'identification constituent quelques uns des chapitres importants du budget de sortie de crise.
Sur les 90 millions d'euros restant à décaisser pour l'ensemble de la sortie de crise, l'Etat ivoirien se résout ainsi à dégager 62 millions d'euros en septembre.
"Le reliquat sera mis en place dans le mois d'octobre", a assuré le directeur de cabinet du ministre de l'Economie et des Finances, qui a réaffirmé qu'il ne se pose pas de problème budgétaire pour la sortie de crise.
L'élection présidentielle ivoirienne considérée comme l'épilogue du processus de sortie de crise est fixée au 31 octobre.
Le budget du processus pris en compte par l'Etat ivoirien en 2010 est passé de 172 millions d'euros à 222 millions.