L’union des jeunes filles de Cocody(UJFCO) a animé le mercredi 1er septembre 2010 une conférence publique à l’hôtel communal de Cocody autour du thème « l’action de la jeune fille depuis les indépendances ». À cette occasion, la présidente de l’Ujfco, Marlène Kouassi, a indiqué que la jeunesse féminine ivoirienne constitue une valeur qui entend tenir son rang et jouer pleinement sa partition dans la nouvelle Côte d’Ivoire.
«Que les autorités prennent conscience que nous sommes une valeur. Autant elles ont besoin de notre électorat, autant le pays doit garantir notre insertion. Aujourd’hui nous n’allons pas voter n’importe qui et n’importe comment », a lâché la capitaine des jeunes filles de Cocody. Selon elle, le choix du président de la République à l’élection présidentielle du 31 octobre 2010 se fera selon l’analyse minutieuse du programme de société du candidat. Marlène Kouassi a précisé à nouveau dans le sens des réflexions initiées par le Chef de l’Etat à Yamoussoukro, lors de la célébration du cinquantenaire de la Côte d’Ivoire. « 50 ans, c’est l’âge de la maturité et le temps du bilan. Nous jeunes filles, nous devons également nous l’approprier et examiner la question de savoir si la jeune fille ivoirienne a de sérieuses raisons d’espérer ou doit-elle au contraire désespérer de nos dirigeants »s’est-elle exprimée. Elle a relevé qu’au plan économique, de 1960 à nos jours, la situation de la jeune fille a sensiblement évolué, mais a regretté le mariage forcé des jeunes filles, situation qui bafoue les droits de la jeunesse féminine. Par ailleurs, la conférencière s’est réjouie que sous le régime du président Laurent Gbagbo, la marge des femmes occupants les postes de hautes responsabilités ait enregistré une notable augmentation. Pour finir, Marlène Kouassi a exhorté ses camarades à s’instruire et s’armer de courage pour investir tous les corps de métiers car, dira-t-elle, « c’est à ce prix que notre voix portera et se fera entendre »
JMT
«Que les autorités prennent conscience que nous sommes une valeur. Autant elles ont besoin de notre électorat, autant le pays doit garantir notre insertion. Aujourd’hui nous n’allons pas voter n’importe qui et n’importe comment », a lâché la capitaine des jeunes filles de Cocody. Selon elle, le choix du président de la République à l’élection présidentielle du 31 octobre 2010 se fera selon l’analyse minutieuse du programme de société du candidat. Marlène Kouassi a précisé à nouveau dans le sens des réflexions initiées par le Chef de l’Etat à Yamoussoukro, lors de la célébration du cinquantenaire de la Côte d’Ivoire. « 50 ans, c’est l’âge de la maturité et le temps du bilan. Nous jeunes filles, nous devons également nous l’approprier et examiner la question de savoir si la jeune fille ivoirienne a de sérieuses raisons d’espérer ou doit-elle au contraire désespérer de nos dirigeants »s’est-elle exprimée. Elle a relevé qu’au plan économique, de 1960 à nos jours, la situation de la jeune fille a sensiblement évolué, mais a regretté le mariage forcé des jeunes filles, situation qui bafoue les droits de la jeunesse féminine. Par ailleurs, la conférencière s’est réjouie que sous le régime du président Laurent Gbagbo, la marge des femmes occupants les postes de hautes responsabilités ait enregistré une notable augmentation. Pour finir, Marlène Kouassi a exhorté ses camarades à s’instruire et s’armer de courage pour investir tous les corps de métiers car, dira-t-elle, « c’est à ce prix que notre voix portera et se fera entendre »
JMT