Parti battre Campagne pour son ami, sauveur et seigneur dans la commune de Port-Bouet, celui qui sera "toujours directeur général du Port d'Abidjan", non par son mérite mais "tant que Gbagbo sera au pouvoir" et à qui l'ancien président de la République a livré le poumon de l'économie nationale dont il a fait sa propriété privée, a cru sans doute intelligent ( ?) et judicieux ( ?) de dire : BEDIE et OUATTARA, c'est le colonialisme."
Naturellement, le directeur de campagne du candidat Gbagbo à Port-Bouet, cette commune si meurtrie qui a payé un tribut particulièrement lourd aux déchets toxiques importés par les refondateurs, recommande de rejeter BEDIE et OUATTARA qui seraient les candidats de ce colonialisme que viennent découvrir le FPI et sa refondation qui ont décidé d'en faire un argument de campagne.
Ainsi, pour monsieur Marcel Gossio, monsieur Gbagbo, parce qu'il a réussi le tour de force de nous infliger une guerre stupide et d'avoir été incapable de garantir et de préserver l'intégrité du territoire national en patronnant la partition du pays qu'il a plongé dans l'abîme, est celui-là qui mérite d'être (ré) élu et de diriger cette Côte d'Ivoire qu'il a mise en lambeaux.
Cela sans doute pour que monsieur Gbagbo lui assène le coup de grâce !
Ils nous contraignent à nous déculotter
Il est à se demander :
-qui a offert pour un franc symbolique et de gros dessous de table le Terminal à Conteneurs de Vridi à un groupe "colonialiste ( ?)" français ?
-qui a reconduit le contrat de gestion et de distribution de l'électricité et de l'eau à un autre groupe français non moins "colonialiste ?"
-qui a maintenu, toujours à une entreprise " colonialiste" française, la construction du 3ème pont d'Abidjan dans des conditions désastreuses pour le pays ?
En effet, alors qu'avec le Pdci-Rda, la réalisation de ce pont était intégralement financé par le constructeur hormis les dédommagements des déguerpis qui étaient supportés par la Côte d'Ivoire, avec la refondation, non seulement le contribuable ivoirien est directement ponctionné à travers le prix du carburant, mais aussi l'Etat est obligé de lancer un emprunt obligataire pour le financement de l'ouvrage dont le mode de gestion reste identique à celui négocié par le Pdci.
C'est dire que dans cette opération, monsieur Gbagbo et sa refondation nous contraignent à nous déculotter totalement devant cette entreprise…" coloniale !"
Comme on peut le constater, ceux qui sont désignés comme servant le colonialisme savent défendre et préserver la dignité et la bourse du pays tandis que les souverainistes (?) et indépendantistes (?) supposés en bradent les intérêts sans sourciller.
Il n'y a cependant pas lieu de s'étonner de cette prise de position du directeur de campagne du candidat-président (?) à Port-Bouet car il faut absolument diaboliser BEDIE et Ouattara en espérant que cela fera mouche.
Des formules creuses
Nous devons en effet avoir toujours en mémoire la déclaration de ce ponte du Fpi : " Si c'est BEDIE qui est élu, nous sommes foutus !"
Tous les arguments, tous les moyens sont donc bons pour tenter de discréditer les candidats qui leur foutent la trouille parce que susceptibles de faire rendre gorge à ces impécunieux qui se sont bâti en un tour de main des fortunes immenses et se sont construit des ponts en or sur le dos de la Côte d'Ivoire et de son peuple.
Les formules creuses du genre "nous préférons la pauvreté dans l'honneur à l'opulence dans le déshonneur et l'avilissement" ou " l'aide qui ne nous aide pas à nous passer de l'aide doit être rejetée" sont passées de mode et il est temps que nos pseudo hommes de gauche, ces révolutionnaires ( ?) romantiques d'un autre âge se réveillent enfin et vivent avec les réalités du moment !
Il suffit en effet de travailler effectivement avec l'aide qu'on reçoit pour se passer rapidement de toute aide.
Vivre une vie de farniente et être un éternel globe trotter alors qu'on reçoit tout de l'extérieur vous rendent forcément esclaves !
Ce que monsieur Gossio feint d'ignorer, c'est que le peuple de Côte d'Ivoire qui n'a que faire des incantations contre le colonialisme et l'impérialisme a décidé de vomir ces personnes qui ne se sont emparé du pouvoir que pour s'enrichir de la manière la plus illicite et la plus révoltante et pour détruire le pays, appauvrir et affamer ses habitants !
Le peuple de Côte d'Ivoire préfère donc ces candidats du colonialisme contre qui monsieur Gossio déblatère.
Car si l'un de ces candidats est élu, tout le monde s'apercevra que :
-le colonialisme ne tolère pas les fainéants et les parasites qui ne font que profiter du labeur des autres pour s'en mettre plein les poches et pour s'engraisser
-le colonialisme n'accepte pas le désordre et ne saurait permettre que des gueux se disant patriotes, parce qu'ils prétendent soutenir le pouvoir, prennent en otage le quartier des affaires
-le colonialisme ne tolère pas non plus la chienlit qui fait fuir les investisseurs et détruit le pays et son économie.
-le colonialisme ne permettra pas que les hôpitaux deviennent des mouroirs, les universités et cités universitaires des lupanars, les écoles des boutiques.
-le colonialisme ne peut se permettre d'importer des déchets toxiques pour empoisonner et tuer les citoyens d'un pays pour que des êtres cupides, méchants et sans cœur s'enrichissent.
-le colonialisme n'acceptera pas que toutes nos infrastructures, notamment les routes, soient laissées à l'abandon et se dégradent de façon insupportable
-le colonialisme ne se permettra pas non plus de laisser les voies d'accès au poumon économique du pays devenir impraticables avec des cratères lunaires.
Et pourtant, il se raconte que le Port d'Abidjan est certifié ISO alors que même les fournitures de bureau font défaut !
Heureusement que tout le monde sait dans quelles conditions certaines certifications sont obtenues !
Le Port d'Abidjan étant depuis une décennie le port spécialiste des tonnages bidon publiés par celui qui se croit grand (?) directeur général et qui ne convainc que monsieur Gbagbo, on comprend aisément que tout soit mis en œuvre pour paraître et non pour se présenter tel qu'on est !
-le colonialisme ne peut promouvoir une justice aux ordres qui, "selon qu'on soit puissant (c'est-à-dire homme du pouvoir) ou misérable" vous fait blanc ou noir !
-le colonialisme, adepte de l'excellence, ne laisse pas s'écrouler l'école et tout le système éducatif
-le colonialisme veille au développement, au progrès du pays et au bonheur de ses habitants
-le colonialisme travaille pour bâtir une nation en oeuvrant pour l'unité nationale et en bannissant le tribalisme.
Le tribalisme, une denrée prisée
Or avec monsieur Gbagbo et le FPI, le tribalisme est une denrée particulièrement prisée.
-le colonialisme ne peut tolérer que l'Armée, la Gendarmerie et la Police deviennent des forces de répression et un instrument entre les mains d'un pouvoir
-avec le colonialisme, aucun militaire, aucun gendarme, aucun policier ne fait de la politique, et ne se transforme point en procureur ou en ministre de la Justice.
-Avec le colonialisme, jamais les Forces de Défense et de Sécurité ne tirent sur des hommes et des femmes désarmés et aux mains nues.
-le colonialisme veille au bien-être et au bonheur des habitants du pays.
Ces pontes du FPI qui, pour préserver leur fortune, ont choisi de supporter contre vents et marées et en dépit du bon sens monsieur Gbagbo le "nationaliste ( ?)" et l'"anti impérialiste (?) "perdent hélas de vue que le bon peuple de Côte d'Ivoire préfère porter son choix sur les candidats du colonialisme, les seuls à même de lui garantir bien-être et bonheur et d'assurer le développement du pays.
Le combat de ces nouveaux riches se comprend tout de même d'une certaine manière.
Gardons encore en mémoire cette autre sortie du refondateur en chef : "Si je tombe, vous perdez vos fortunes !"
Que peut-on donc attendre de personnes qui se sont enrichies à la vitesse V en suçant le peuple jusqu'à la moelle et en dépouillant et détruisant le pays ?
Port-Bouët n'acceptera pas Gossio comme son maire
Monsieur Gossio sait que le colonialisme combat la corruption, les fortunes mal acquises, le clientélisme, le népotisme. Il ne peut que soutenir celui qui lui a offert le Port d'Abidjan pour qu'il en fasse le réceptacle de tous les ressortissants d'une région donnée.
Les Ivoiriens savent qu'ils ont affaire au pouvoir le plus incompétent et pourtant le plus cynique, le plus égoïste, le plus méchant, le plus pourri, le plus corrompu, le plus cruel et le plus sanguinaire !
Le souci de ces Ivoiriens, c'est de se débarrasser de ces vampires et de ces sangsues sans se laisser troubler par des épouvantails que des personnes repues agitent devant eux.
C'est pourquoi, la Côte d'Ivoire et son peuple aspirent à ce colonialisme décrié par monsieur Gossio et les siens.
Parce que le colonialisme a une vision que les refondateurs n'auront jamais !
Parce que le colonialisme veut et aime la paix et déteste les discours guerriers qu'affectionnent monsieur Gbagbo et sa refondation.
Parce que ce colonialisme a le sens de l'Etat et de sa gestion, choses étranges et étrangères aux refondateurs !
Parce que ce colonialisme respecte et fait respecter la devise de notre pays : Union, Discipline, Travail alors que la devise du FPI est Discorde, Désordre, Fainéantise !
Qui pourrait être tenté d'en douter n'a qu'à ouvrir les yeux et à observer le fonctionnement du régime de la refondation où seuls les adeptes de la pagaille, les crétins, les vauriens et les fainéants ont pignon sur rue.
Concernant monsieur Gossio, nous lui recommandons de ne jamais oublier le Probo Koala et les déchets toxiques qu'il a fait entrer au Port d'Abidjan.
Même si une justice aux ordres l'a blanchi comme a été récemment blanchi monsieur Désiré Tagro, nous continuons de croire à la justice immanente du Tout-Puissant et même à l'éclosion un jour d'une justice humaine impartiale.
Et la commune de Port-Bouet dont il veut devenir le maire et où il est le directeur de campagne du président (?), candidat du FPI, n'est pas prête d'oublier les auteurs des malheurs qui se sont abattus sur elle et dont elle continue de porter les stigmates !
Doubé Binty
Naturellement, le directeur de campagne du candidat Gbagbo à Port-Bouet, cette commune si meurtrie qui a payé un tribut particulièrement lourd aux déchets toxiques importés par les refondateurs, recommande de rejeter BEDIE et OUATTARA qui seraient les candidats de ce colonialisme que viennent découvrir le FPI et sa refondation qui ont décidé d'en faire un argument de campagne.
Ainsi, pour monsieur Marcel Gossio, monsieur Gbagbo, parce qu'il a réussi le tour de force de nous infliger une guerre stupide et d'avoir été incapable de garantir et de préserver l'intégrité du territoire national en patronnant la partition du pays qu'il a plongé dans l'abîme, est celui-là qui mérite d'être (ré) élu et de diriger cette Côte d'Ivoire qu'il a mise en lambeaux.
Cela sans doute pour que monsieur Gbagbo lui assène le coup de grâce !
Ils nous contraignent à nous déculotter
Il est à se demander :
-qui a offert pour un franc symbolique et de gros dessous de table le Terminal à Conteneurs de Vridi à un groupe "colonialiste ( ?)" français ?
-qui a reconduit le contrat de gestion et de distribution de l'électricité et de l'eau à un autre groupe français non moins "colonialiste ?"
-qui a maintenu, toujours à une entreprise " colonialiste" française, la construction du 3ème pont d'Abidjan dans des conditions désastreuses pour le pays ?
En effet, alors qu'avec le Pdci-Rda, la réalisation de ce pont était intégralement financé par le constructeur hormis les dédommagements des déguerpis qui étaient supportés par la Côte d'Ivoire, avec la refondation, non seulement le contribuable ivoirien est directement ponctionné à travers le prix du carburant, mais aussi l'Etat est obligé de lancer un emprunt obligataire pour le financement de l'ouvrage dont le mode de gestion reste identique à celui négocié par le Pdci.
C'est dire que dans cette opération, monsieur Gbagbo et sa refondation nous contraignent à nous déculotter totalement devant cette entreprise…" coloniale !"
Comme on peut le constater, ceux qui sont désignés comme servant le colonialisme savent défendre et préserver la dignité et la bourse du pays tandis que les souverainistes (?) et indépendantistes (?) supposés en bradent les intérêts sans sourciller.
Il n'y a cependant pas lieu de s'étonner de cette prise de position du directeur de campagne du candidat-président (?) à Port-Bouet car il faut absolument diaboliser BEDIE et Ouattara en espérant que cela fera mouche.
Des formules creuses
Nous devons en effet avoir toujours en mémoire la déclaration de ce ponte du Fpi : " Si c'est BEDIE qui est élu, nous sommes foutus !"
Tous les arguments, tous les moyens sont donc bons pour tenter de discréditer les candidats qui leur foutent la trouille parce que susceptibles de faire rendre gorge à ces impécunieux qui se sont bâti en un tour de main des fortunes immenses et se sont construit des ponts en or sur le dos de la Côte d'Ivoire et de son peuple.
Les formules creuses du genre "nous préférons la pauvreté dans l'honneur à l'opulence dans le déshonneur et l'avilissement" ou " l'aide qui ne nous aide pas à nous passer de l'aide doit être rejetée" sont passées de mode et il est temps que nos pseudo hommes de gauche, ces révolutionnaires ( ?) romantiques d'un autre âge se réveillent enfin et vivent avec les réalités du moment !
Il suffit en effet de travailler effectivement avec l'aide qu'on reçoit pour se passer rapidement de toute aide.
Vivre une vie de farniente et être un éternel globe trotter alors qu'on reçoit tout de l'extérieur vous rendent forcément esclaves !
Ce que monsieur Gossio feint d'ignorer, c'est que le peuple de Côte d'Ivoire qui n'a que faire des incantations contre le colonialisme et l'impérialisme a décidé de vomir ces personnes qui ne se sont emparé du pouvoir que pour s'enrichir de la manière la plus illicite et la plus révoltante et pour détruire le pays, appauvrir et affamer ses habitants !
Le peuple de Côte d'Ivoire préfère donc ces candidats du colonialisme contre qui monsieur Gossio déblatère.
Car si l'un de ces candidats est élu, tout le monde s'apercevra que :
-le colonialisme ne tolère pas les fainéants et les parasites qui ne font que profiter du labeur des autres pour s'en mettre plein les poches et pour s'engraisser
-le colonialisme n'accepte pas le désordre et ne saurait permettre que des gueux se disant patriotes, parce qu'ils prétendent soutenir le pouvoir, prennent en otage le quartier des affaires
-le colonialisme ne tolère pas non plus la chienlit qui fait fuir les investisseurs et détruit le pays et son économie.
-le colonialisme ne permettra pas que les hôpitaux deviennent des mouroirs, les universités et cités universitaires des lupanars, les écoles des boutiques.
-le colonialisme ne peut se permettre d'importer des déchets toxiques pour empoisonner et tuer les citoyens d'un pays pour que des êtres cupides, méchants et sans cœur s'enrichissent.
-le colonialisme n'acceptera pas que toutes nos infrastructures, notamment les routes, soient laissées à l'abandon et se dégradent de façon insupportable
-le colonialisme ne se permettra pas non plus de laisser les voies d'accès au poumon économique du pays devenir impraticables avec des cratères lunaires.
Et pourtant, il se raconte que le Port d'Abidjan est certifié ISO alors que même les fournitures de bureau font défaut !
Heureusement que tout le monde sait dans quelles conditions certaines certifications sont obtenues !
Le Port d'Abidjan étant depuis une décennie le port spécialiste des tonnages bidon publiés par celui qui se croit grand (?) directeur général et qui ne convainc que monsieur Gbagbo, on comprend aisément que tout soit mis en œuvre pour paraître et non pour se présenter tel qu'on est !
-le colonialisme ne peut promouvoir une justice aux ordres qui, "selon qu'on soit puissant (c'est-à-dire homme du pouvoir) ou misérable" vous fait blanc ou noir !
-le colonialisme, adepte de l'excellence, ne laisse pas s'écrouler l'école et tout le système éducatif
-le colonialisme veille au développement, au progrès du pays et au bonheur de ses habitants
-le colonialisme travaille pour bâtir une nation en oeuvrant pour l'unité nationale et en bannissant le tribalisme.
Le tribalisme, une denrée prisée
Or avec monsieur Gbagbo et le FPI, le tribalisme est une denrée particulièrement prisée.
-le colonialisme ne peut tolérer que l'Armée, la Gendarmerie et la Police deviennent des forces de répression et un instrument entre les mains d'un pouvoir
-avec le colonialisme, aucun militaire, aucun gendarme, aucun policier ne fait de la politique, et ne se transforme point en procureur ou en ministre de la Justice.
-Avec le colonialisme, jamais les Forces de Défense et de Sécurité ne tirent sur des hommes et des femmes désarmés et aux mains nues.
-le colonialisme veille au bien-être et au bonheur des habitants du pays.
Ces pontes du FPI qui, pour préserver leur fortune, ont choisi de supporter contre vents et marées et en dépit du bon sens monsieur Gbagbo le "nationaliste ( ?)" et l'"anti impérialiste (?) "perdent hélas de vue que le bon peuple de Côte d'Ivoire préfère porter son choix sur les candidats du colonialisme, les seuls à même de lui garantir bien-être et bonheur et d'assurer le développement du pays.
Le combat de ces nouveaux riches se comprend tout de même d'une certaine manière.
Gardons encore en mémoire cette autre sortie du refondateur en chef : "Si je tombe, vous perdez vos fortunes !"
Que peut-on donc attendre de personnes qui se sont enrichies à la vitesse V en suçant le peuple jusqu'à la moelle et en dépouillant et détruisant le pays ?
Port-Bouët n'acceptera pas Gossio comme son maire
Monsieur Gossio sait que le colonialisme combat la corruption, les fortunes mal acquises, le clientélisme, le népotisme. Il ne peut que soutenir celui qui lui a offert le Port d'Abidjan pour qu'il en fasse le réceptacle de tous les ressortissants d'une région donnée.
Les Ivoiriens savent qu'ils ont affaire au pouvoir le plus incompétent et pourtant le plus cynique, le plus égoïste, le plus méchant, le plus pourri, le plus corrompu, le plus cruel et le plus sanguinaire !
Le souci de ces Ivoiriens, c'est de se débarrasser de ces vampires et de ces sangsues sans se laisser troubler par des épouvantails que des personnes repues agitent devant eux.
C'est pourquoi, la Côte d'Ivoire et son peuple aspirent à ce colonialisme décrié par monsieur Gossio et les siens.
Parce que le colonialisme a une vision que les refondateurs n'auront jamais !
Parce que le colonialisme veut et aime la paix et déteste les discours guerriers qu'affectionnent monsieur Gbagbo et sa refondation.
Parce que ce colonialisme a le sens de l'Etat et de sa gestion, choses étranges et étrangères aux refondateurs !
Parce que ce colonialisme respecte et fait respecter la devise de notre pays : Union, Discipline, Travail alors que la devise du FPI est Discorde, Désordre, Fainéantise !
Qui pourrait être tenté d'en douter n'a qu'à ouvrir les yeux et à observer le fonctionnement du régime de la refondation où seuls les adeptes de la pagaille, les crétins, les vauriens et les fainéants ont pignon sur rue.
Concernant monsieur Gossio, nous lui recommandons de ne jamais oublier le Probo Koala et les déchets toxiques qu'il a fait entrer au Port d'Abidjan.
Même si une justice aux ordres l'a blanchi comme a été récemment blanchi monsieur Désiré Tagro, nous continuons de croire à la justice immanente du Tout-Puissant et même à l'éclosion un jour d'une justice humaine impartiale.
Et la commune de Port-Bouet dont il veut devenir le maire et où il est le directeur de campagne du président (?), candidat du FPI, n'est pas prête d'oublier les auteurs des malheurs qui se sont abattus sur elle et dont elle continue de porter les stigmates !
Doubé Binty
