ABIDJAN - Le chef de l`Etat ivoirien Laurent Gbagbo a promis samedi à Agboville (nord d`Abidjan) de "mater avec la plus grande sévérité" des fauteurs de troubles qui selon lui, projetteraient d`empêcher l`organisation du scrutin présidentiel en Côte d`Ivoire prévu le 31 octobre.
"Il y a certains individus qui rasent les murs et qui veulent nous empêcher
d`aller à la paix" a déclaré, le président Gbagbo, lors d`un meeting de
clôture à Agboville, chef lieu de la région d`Agnéby où il effectue depuis
jeudi une visite d`Etat.
"J`ai demandé aux FDS (armée, gendarmerie et police) de mater tous ceux qui
veulent créer des troubles (...) de mater avec la plus grande sévérité tous
ceux qui veulent empêcher les élections d`avoir lieu" a-t-il souligné.
Evoquant des "petits coups" avant le scrutin, M. Gbagbo a annoncé que "nous
allons les débusquer, les juger et les condamner", sans plus de précisions.
Le président ivoirien a également appelé les hommes politiques de son pays
à se "préparer à aller aux élections". "Notre pays a besoin des élections pour
légitimer le pouvoir de celui qui le gouvernera" a-t-il ajouté.
Vendredi, le porte-parole du Premier ministre ivoirien Guillaume Soro,
Sindou Méité a estimé qu`il restait "beaucoup à faire" sur le plan
sécuritaire, à moins de deux mois du scrutin présidentiel.
Le scrutin est censé clore la crise née du putsch manqué de 2002, qui a
coupé le pays en deux, le sud loyaliste et le nord tenu par les ex-rebelles
des Forces nouvelles (FN). Le respect de cette échéance suppose la fin des
opérations pré-électorales et le désarmement des FN.
"Il y a certains individus qui rasent les murs et qui veulent nous empêcher
d`aller à la paix" a déclaré, le président Gbagbo, lors d`un meeting de
clôture à Agboville, chef lieu de la région d`Agnéby où il effectue depuis
jeudi une visite d`Etat.
"J`ai demandé aux FDS (armée, gendarmerie et police) de mater tous ceux qui
veulent créer des troubles (...) de mater avec la plus grande sévérité tous
ceux qui veulent empêcher les élections d`avoir lieu" a-t-il souligné.
Evoquant des "petits coups" avant le scrutin, M. Gbagbo a annoncé que "nous
allons les débusquer, les juger et les condamner", sans plus de précisions.
Le président ivoirien a également appelé les hommes politiques de son pays
à se "préparer à aller aux élections". "Notre pays a besoin des élections pour
légitimer le pouvoir de celui qui le gouvernera" a-t-il ajouté.
Vendredi, le porte-parole du Premier ministre ivoirien Guillaume Soro,
Sindou Méité a estimé qu`il restait "beaucoup à faire" sur le plan
sécuritaire, à moins de deux mois du scrutin présidentiel.
Le scrutin est censé clore la crise née du putsch manqué de 2002, qui a
coupé le pays en deux, le sud loyaliste et le nord tenu par les ex-rebelles
des Forces nouvelles (FN). Le respect de cette échéance suppose la fin des
opérations pré-électorales et le désarmement des FN.