Le Premier ministre, Guillaume Soro, continue sa série d’échanges et d’informations avec les couches socioprofessionnelles. Hier, il était en face des candidats indépendants et ceux qui ne sont pas membres du Cpc.
Les candidats indépendants et ceux qui ne sont pas membres du Cadre permanant de concertation (Cpc) ont échangé hier avec le Premier ministre, Guillaume Soro. Selon le patron de la primature, les rencontres qu’il a initiées avec les couches socioprofessionnelles visent à mettre ses invités au parfum de l’évolution de la situation et surtout des préparatifs du premier tour de l’élection présidentielle prévu le 31 octobre. Après les syndicats, les rois et chefs traditionnels et la société civile lundi, les candidats indépendants et ceux qui ne siègent pas au Cpc étaient, hier, autour de la table de discussion avec le Premier ministre. Les 8 candidats sans chapelles politiques et le Pit ont saisi l’occasion pour exprimer leurs préoccupations. Celles-ci se résument, à en croire le candidat Konan Kouadio Siméon, en 3 points. A savoir : la sécurisation des prétendants au fauteuil présidentiel et de la compétition électorale, l’ouverture des médias d’Etat à tous les candidats et enfin le financement de la campagne. «Toutes ces questions ont été réglées. L’Etat de Côte d’Ivoire doit assurer la sécurité de ceux qu’il a retenus comme candidat. Il faut aussi dire quelque chose sur le fait que des candidats sont allés en campagne sur fonds propres en 2009 et l’élection n’a pas eu lieu. Il leur faut un dédommagement», a exigé le révérant Tagoua Pascal. Et à Akoto Felix de préciser que le Premier ministre a promis de prêter une oreille attentive aux problèmes exprimés et d’y trouver des solutions idoines. Il a envisagé, selon lui, une plate forme qui impliquera tous les candidats aux prises de décisions sur le processus électoral. «Vous avez un devoir envers le peuple ivoirien. Vous devrez faire en sorte que la campagne soit disciplinée où on fait attention aux mots qu’on prononce. Le gouvernement est en train de prendre toutes les dispositions afin que l’élection se tienne effectivement le 31 octobre. Il est pleinement engagé à cela», a souligné Guillaume Soro. C’est avec l’espoir d’être traités désormais sur le même pied d’égalité que les candidats ont pris congé de leur hôte.
Lacina Ouattara
Les candidats indépendants et ceux qui ne sont pas membres du Cadre permanant de concertation (Cpc) ont échangé hier avec le Premier ministre, Guillaume Soro. Selon le patron de la primature, les rencontres qu’il a initiées avec les couches socioprofessionnelles visent à mettre ses invités au parfum de l’évolution de la situation et surtout des préparatifs du premier tour de l’élection présidentielle prévu le 31 octobre. Après les syndicats, les rois et chefs traditionnels et la société civile lundi, les candidats indépendants et ceux qui ne siègent pas au Cpc étaient, hier, autour de la table de discussion avec le Premier ministre. Les 8 candidats sans chapelles politiques et le Pit ont saisi l’occasion pour exprimer leurs préoccupations. Celles-ci se résument, à en croire le candidat Konan Kouadio Siméon, en 3 points. A savoir : la sécurisation des prétendants au fauteuil présidentiel et de la compétition électorale, l’ouverture des médias d’Etat à tous les candidats et enfin le financement de la campagne. «Toutes ces questions ont été réglées. L’Etat de Côte d’Ivoire doit assurer la sécurité de ceux qu’il a retenus comme candidat. Il faut aussi dire quelque chose sur le fait que des candidats sont allés en campagne sur fonds propres en 2009 et l’élection n’a pas eu lieu. Il leur faut un dédommagement», a exigé le révérant Tagoua Pascal. Et à Akoto Felix de préciser que le Premier ministre a promis de prêter une oreille attentive aux problèmes exprimés et d’y trouver des solutions idoines. Il a envisagé, selon lui, une plate forme qui impliquera tous les candidats aux prises de décisions sur le processus électoral. «Vous avez un devoir envers le peuple ivoirien. Vous devrez faire en sorte que la campagne soit disciplinée où on fait attention aux mots qu’on prononce. Le gouvernement est en train de prendre toutes les dispositions afin que l’élection se tienne effectivement le 31 octobre. Il est pleinement engagé à cela», a souligné Guillaume Soro. C’est avec l’espoir d’être traités désormais sur le même pied d’égalité que les candidats ont pris congé de leur hôte.
Lacina Ouattara