Les amoureux du théâtre seront abondamment servis. Surtout que le Festival International du Théâtre d’Abidjan (FITHA 2010) a ouvert ses portes mardi dernier à l’espace Allocodrome de Yopougon. Ce festival qui se tient jusqu’au 18 septembre prochain permettra, aux adeptes du septième Art, non seulement de voir jouer des acteurs et des troupes venus du Bénin, du Niger, du Togo et bien sûr de la Côte d’Ivoire, mais également de renouer avec les arts de la scène. Et l’ambassadeur d’Israël, Son Excellence Beny Omer, dans son allocution n’a pas manqué de se féliciter de l’organisation de ce festival, surtout que le théâtre, selon ses dires, transporte l’homme dans un monde onirique : « Je suis heureux de l’organisation de ce festival. Lorsque je regarde une pièce de théâtre, je me pose la question de savoir si les acteurs ne sont pas des magiciens ! Camper un personnage relève de la magie », s’est-il émerveillé tout en déplorant qu’une troupe de son pays n’ait pas pu être à la présente édition. Toute chose qui, de son avis, sera corrigée aux éditions à venir.
Pour Delphine Yoboué, Présidente de "la Compagnie Siamois Expression", par ailleurs Directrice du Fitha, elle s’est voulue claire dans ses ambitions : « Nous avons le seul souci de redynamiser l’action théâtrale en Côte d’Ivoire et, pourquoi pas, dans la sous région, car le théâtre est l’art de la prise de conscience». En marge des pièces de théâtre, les festivaliers prendront par à des ateliers de formation, des soirées de contes animées par le célèbre conteur Adou Yams. Pour la journée d’hier, M. Djon Dossavy(Président du Réseau Africain des Entrepreneurs culturels) a animé une séance de formation sur l’entreprenariat. Une manière pour lui de donner des rudiments aux artistes pour une prise en charge et la production d’œuvres de qualité. Demain, ce sera l’apothéose avec une fresque à l’Allocodrome de Yopougon.
JAD
Pour Delphine Yoboué, Présidente de "la Compagnie Siamois Expression", par ailleurs Directrice du Fitha, elle s’est voulue claire dans ses ambitions : « Nous avons le seul souci de redynamiser l’action théâtrale en Côte d’Ivoire et, pourquoi pas, dans la sous région, car le théâtre est l’art de la prise de conscience». En marge des pièces de théâtre, les festivaliers prendront par à des ateliers de formation, des soirées de contes animées par le célèbre conteur Adou Yams. Pour la journée d’hier, M. Djon Dossavy(Président du Réseau Africain des Entrepreneurs culturels) a animé une séance de formation sur l’entreprenariat. Une manière pour lui de donner des rudiments aux artistes pour une prise en charge et la production d’œuvres de qualité. Demain, ce sera l’apothéose avec une fresque à l’Allocodrome de Yopougon.
JAD