Quel est le bilan de votre tournée de 3 jours dans le département de Sandégué ?
A toutes les étapes de ma tournée, j’étais accompagné d’un formateur de la commission technique électorale venu de Bondoukou. C’est lui qui a formé l’ensemble des représentants du Rdr dans les bureaux de vote. Dans chaque village, j’ai mis en place une équipe locale qui va se charger de servir de relais au reste de la population.
Par quels moyens comptez-vous réduire le taux de bulletins nuls à la présidentielle prochaine ?
Depuis samedi, nous procédons à la projection du film ‘’Le rôle du représentant du Rdr dans les bureaux de vote’’ réalisé par le secrétaire national aux élections, Sanogo Mamadou afin d’apprendre aux populations à voter. Mais surtout pour former les représentants du parti dans les bureaux de vote. Les populations qui se sont réjouies de l’initiative, ont pris part massivement aux différentes séances de projection. Ainsi donc, nous avons sillonné les localités de Sandégué, Kamélé, Yorobodi, Namassi, Dimandougou et bien d’autres.
Quelle analyse faites-vous de la gestion du processus de sortie de crise par le Premier ministre, Guillaume Soro?
Je voudrais rendre hommage au Premier ministre, Guillaume Soro, pour toutes ses actions entreprises dans le cadre du processus de sortie de crise. A un moment donné, nous avons crié à la trahison. Nous lui avons lancé beaucoup de flèches. Aujourd’hui, nous réalisons qu’il a pratiquement arraché des mains de la Cei (Commission électorale indépendante, Ndlr), la date du 31 octobre. Je voudrais saluer tous ses efforts.
Qu’est ce qui retarde le développement de Sandégué, selon vous ?
Le développement de Sandégué est retardé par plusieurs facteurs. La route qui relie Bondoukou à Bouaké en passant par Sandégué a été coupée pendant la guerre. Les loyalistes qui craignaient l’avancée des Forces nouvelles ont détruit, en 2002, le pont sur le fleuve Comoé. Ce pont favorisait un trafic économique très important entre le Ghana, le Burkina Faso, le Niger et Bouaké. La circulation sur cette route était très intense. Aujourd’hui, ce qui reste de cette voie est mal entretenu. Aucun développement n’est possible dans ces conditions. Les enseignants et le personnel sanitaire en fonction dans le département finissent par demander des affectations qui ne sont pas toujours comblées. C’est pour toutes ces raisons que les populations de Sandégué gardent beaucoup d’espoir au candidat Alassane Dramane Ouattara.
Entretien réalisé par Jean Michel Ouattara à Bondoukou
A toutes les étapes de ma tournée, j’étais accompagné d’un formateur de la commission technique électorale venu de Bondoukou. C’est lui qui a formé l’ensemble des représentants du Rdr dans les bureaux de vote. Dans chaque village, j’ai mis en place une équipe locale qui va se charger de servir de relais au reste de la population.
Par quels moyens comptez-vous réduire le taux de bulletins nuls à la présidentielle prochaine ?
Depuis samedi, nous procédons à la projection du film ‘’Le rôle du représentant du Rdr dans les bureaux de vote’’ réalisé par le secrétaire national aux élections, Sanogo Mamadou afin d’apprendre aux populations à voter. Mais surtout pour former les représentants du parti dans les bureaux de vote. Les populations qui se sont réjouies de l’initiative, ont pris part massivement aux différentes séances de projection. Ainsi donc, nous avons sillonné les localités de Sandégué, Kamélé, Yorobodi, Namassi, Dimandougou et bien d’autres.
Quelle analyse faites-vous de la gestion du processus de sortie de crise par le Premier ministre, Guillaume Soro?
Je voudrais rendre hommage au Premier ministre, Guillaume Soro, pour toutes ses actions entreprises dans le cadre du processus de sortie de crise. A un moment donné, nous avons crié à la trahison. Nous lui avons lancé beaucoup de flèches. Aujourd’hui, nous réalisons qu’il a pratiquement arraché des mains de la Cei (Commission électorale indépendante, Ndlr), la date du 31 octobre. Je voudrais saluer tous ses efforts.
Qu’est ce qui retarde le développement de Sandégué, selon vous ?
Le développement de Sandégué est retardé par plusieurs facteurs. La route qui relie Bondoukou à Bouaké en passant par Sandégué a été coupée pendant la guerre. Les loyalistes qui craignaient l’avancée des Forces nouvelles ont détruit, en 2002, le pont sur le fleuve Comoé. Ce pont favorisait un trafic économique très important entre le Ghana, le Burkina Faso, le Niger et Bouaké. La circulation sur cette route était très intense. Aujourd’hui, ce qui reste de cette voie est mal entretenu. Aucun développement n’est possible dans ces conditions. Les enseignants et le personnel sanitaire en fonction dans le département finissent par demander des affectations qui ne sont pas toujours comblées. C’est pour toutes ces raisons que les populations de Sandégué gardent beaucoup d’espoir au candidat Alassane Dramane Ouattara.
Entretien réalisé par Jean Michel Ouattara à Bondoukou
