Djédjé Mady (Sg-Pdci) : “Ce sont des histoires !” «Ce sont des histoires ! C’est le Centre de commandement intégré (Cci), selon l’Accord politique de Ouagadougou, qui assure la sécurisation des élections. Nous nous en tenons à ce que dit l’accord ».
Jacqueline Oble (indépendante) :“Tout le monde est représenté dans le Cci” «Nous devons suivre l’Accord politique de Ouagadougou (Apo) qui nous a régis jusqu’à aujourd’hui et qui nous permet d’aller aux élections. Cet accord a prévu le Cci pour la sécurisation des élections. Dans le Cci, il y a également les Forces de défense et de sécurité. Et donc, tout le monde est représenté ! »
François Kouablan (Sg-Pit) :“On n’a pas à remettre en cause l’Apo” «Nous demandons qu’il y ait l’application de l’Apo, comme cela a toujours été le cas. C’est ce que nous avons fait jusque-là et qui a permis aux uns et aux autres d’espérer au respect de la date du 31 octobre prochain. On n’a pas à remettre en cause, les décisions prises à Ouagadougou et qui permettent, aujourd’hui, de faire avancer le processus. Sinon, cela va créer de faux problèmes pour encore retarder le processus. Dans toutes les zones, nous avons besoin d’une sécurité garantie ; composée des membres du Cci, aidés des forces impartiales ».
Philippe Legré (Sg-Mfa) :“Il faut donner les moyens au Cci” «Il faut sécuriser les élections partout. Il ne faudrait pas mettre un groupe de militaires, notamment les Fds, au Sud et le Cci au Nord ! Dans l’Apo, c’est le Cci qui sécurise les élections. Avec la volonté politique, il faut que les moyens soient mis à la disposition du Cci pour organiser les élections. Jusqu’à preuve du contraire, c’est ce que l’Apo dit ».
Brahima Doumbia (Rdr) :“Le principe, c’est le consensus” «Nous sommes dans une élection de sortie de crise et le principe, c’est que tout se passe de manière consensuelle. Ce qui est consensuel, pour ce qui est de la sécurisation des élections, c’est qu’elle soit globalement assurée par le Cci. Nous demandons au gouvernement de faire en sorte que le Cci ait les moyens de se déployer partout, surtout dans les foyers à tensions, tant pendant la période de campagne, qu’au jour du scrutin ».
Propos recueillis par Anne-Marie Eba
Jacqueline Oble (indépendante) :“Tout le monde est représenté dans le Cci” «Nous devons suivre l’Accord politique de Ouagadougou (Apo) qui nous a régis jusqu’à aujourd’hui et qui nous permet d’aller aux élections. Cet accord a prévu le Cci pour la sécurisation des élections. Dans le Cci, il y a également les Forces de défense et de sécurité. Et donc, tout le monde est représenté ! »
François Kouablan (Sg-Pit) :“On n’a pas à remettre en cause l’Apo” «Nous demandons qu’il y ait l’application de l’Apo, comme cela a toujours été le cas. C’est ce que nous avons fait jusque-là et qui a permis aux uns et aux autres d’espérer au respect de la date du 31 octobre prochain. On n’a pas à remettre en cause, les décisions prises à Ouagadougou et qui permettent, aujourd’hui, de faire avancer le processus. Sinon, cela va créer de faux problèmes pour encore retarder le processus. Dans toutes les zones, nous avons besoin d’une sécurité garantie ; composée des membres du Cci, aidés des forces impartiales ».
Philippe Legré (Sg-Mfa) :“Il faut donner les moyens au Cci” «Il faut sécuriser les élections partout. Il ne faudrait pas mettre un groupe de militaires, notamment les Fds, au Sud et le Cci au Nord ! Dans l’Apo, c’est le Cci qui sécurise les élections. Avec la volonté politique, il faut que les moyens soient mis à la disposition du Cci pour organiser les élections. Jusqu’à preuve du contraire, c’est ce que l’Apo dit ».
Brahima Doumbia (Rdr) :“Le principe, c’est le consensus” «Nous sommes dans une élection de sortie de crise et le principe, c’est que tout se passe de manière consensuelle. Ce qui est consensuel, pour ce qui est de la sécurisation des élections, c’est qu’elle soit globalement assurée par le Cci. Nous demandons au gouvernement de faire en sorte que le Cci ait les moyens de se déployer partout, surtout dans les foyers à tensions, tant pendant la période de campagne, qu’au jour du scrutin ».
Propos recueillis par Anne-Marie Eba