La confiance n’exclut pas le contrôle. Abou S. A a fait sienne cette règle d’or. Il est prospère dans la location de chaises et de bâches. Les affaires marchent pour lui à la Riviera 2, à Cocody. Abou S.A décide alors de diversifier ses activités. Ce que tout bon homme d’affaires aurait fait. « J’ai ouvert un restaurant à la Riviera Palmeraie où je suis permanemment. Je ne disposais plus
d’assez de temps pour suivre les activités de mon magasin de location de bâches et de chaises », affirme l’opérateur économique, en ajoutant qu’il a nommé Tahi Ploti Sylvain comme gérant du magasin. Selon lui, il a fallu un mois c’est-à-dire le 28 août pour qu’il découvre les intentions inavouées de son employé. « Je me suis rendu au magasin pour contrôler les registres des entrées et des sorties de mes marchandises. Et, je constate des pertes d’argent. Tahi Ploti n’a pas déclaré dans le registre certaines entrées d’argent qu’il a gardé par devers lui. Un déficit de 480 500 Fcfa est constaté après un inventaire », soutient Abou qui accuse son employé d’avoir abusé de la confiance qu’il avait placée en lui. L’affaire est portée à la connaissance de la police. Interrogé sur les faits, le mis en cause balbutie. « J’ai tenté de lui donner des explications mais il ne m’a pas écouté. Je reconnais les faits qui me sont reprochés. Je demande pardon », dit-il mais les choses se compliquent pour lui dans la mesure où le plaignant n’abandonne pas la partie. Et, l’affaire arrive au tribunal des flagrants délits du Plateau, le 15 septembre. Puisque l’employeur se constitue partie civile. Et réclame de ce fait 480.500Fcfa à titre de dommages et intérêts. Le juge le déclare coupable et le condamne à 2 mois fermes. A sa sortie de prison, il doit verser la somme de 480.000 Fcfa au plaignant.
Bahi K.
d’assez de temps pour suivre les activités de mon magasin de location de bâches et de chaises », affirme l’opérateur économique, en ajoutant qu’il a nommé Tahi Ploti Sylvain comme gérant du magasin. Selon lui, il a fallu un mois c’est-à-dire le 28 août pour qu’il découvre les intentions inavouées de son employé. « Je me suis rendu au magasin pour contrôler les registres des entrées et des sorties de mes marchandises. Et, je constate des pertes d’argent. Tahi Ploti n’a pas déclaré dans le registre certaines entrées d’argent qu’il a gardé par devers lui. Un déficit de 480 500 Fcfa est constaté après un inventaire », soutient Abou qui accuse son employé d’avoir abusé de la confiance qu’il avait placée en lui. L’affaire est portée à la connaissance de la police. Interrogé sur les faits, le mis en cause balbutie. « J’ai tenté de lui donner des explications mais il ne m’a pas écouté. Je reconnais les faits qui me sont reprochés. Je demande pardon », dit-il mais les choses se compliquent pour lui dans la mesure où le plaignant n’abandonne pas la partie. Et, l’affaire arrive au tribunal des flagrants délits du Plateau, le 15 septembre. Puisque l’employeur se constitue partie civile. Et réclame de ce fait 480.500Fcfa à titre de dommages et intérêts. Le juge le déclare coupable et le condamne à 2 mois fermes. A sa sortie de prison, il doit verser la somme de 480.000 Fcfa au plaignant.
Bahi K.