Lors des épreuves orales du dernier concours d’entrée à l’Institut national de formation sociale(Infs), option éducateurs spécialisés, des témoins ont trouvé suspecte la présence de candidats n’ayant pas été déclarés admissibles au premier tour. Certains n’y avaient même pas participé, selon nos informateurs.
Ces postulants qui se sont présentés à ce jury n°4 étaient là juste pour la forme. Ils avaient déjà l’assurance d’être sur la liste des admis. D’après nos informateurs, cette anomalie n’est qu’une étape d’une opération de fraude imputée à la direction de l’établissement et qui se répète à chaque concours.
Contre des montants qui varient entre 500.000 Fcfa et 1.500.000 FCFA. Ces mêmes informateurs ont relevé des défaillances dans la gestion des postes vacants, lors des concours de l’Infs, occasionnés souvent par des cas de décès, de maladie ou d’absence. Ce réseau est une vache à lait pour la direction, selon nos sources. Elle s’en sert pour glisser des noms de proches ou ceux de personnes qui auraient avancé des dessous de table. Cela, au détriment de la campagne de lutte contre la fraude entreprise par le directeur général. Mais au-delà de ces bruits qui fusent des murs de l’Infs, il y a d’autres informations qui desservent la structure. Les dons octroyés à l’Infs, nous indiquent nos sources, sont souvent soustraits du budget qui lui est alloué. De
manière à faire croire que c’est l’institut qui les a acquis par ses propres moyens. Ainsi, la somme soustraite est détournée à des fins personnelles.
Cissé Sindou
Ces postulants qui se sont présentés à ce jury n°4 étaient là juste pour la forme. Ils avaient déjà l’assurance d’être sur la liste des admis. D’après nos informateurs, cette anomalie n’est qu’une étape d’une opération de fraude imputée à la direction de l’établissement et qui se répète à chaque concours.
Contre des montants qui varient entre 500.000 Fcfa et 1.500.000 FCFA. Ces mêmes informateurs ont relevé des défaillances dans la gestion des postes vacants, lors des concours de l’Infs, occasionnés souvent par des cas de décès, de maladie ou d’absence. Ce réseau est une vache à lait pour la direction, selon nos sources. Elle s’en sert pour glisser des noms de proches ou ceux de personnes qui auraient avancé des dessous de table. Cela, au détriment de la campagne de lutte contre la fraude entreprise par le directeur général. Mais au-delà de ces bruits qui fusent des murs de l’Infs, il y a d’autres informations qui desservent la structure. Les dons octroyés à l’Infs, nous indiquent nos sources, sont souvent soustraits du budget qui lui est alloué. De
manière à faire croire que c’est l’institut qui les a acquis par ses propres moyens. Ainsi, la somme soustraite est détournée à des fins personnelles.
Cissé Sindou