Odoss, grand quartier précaire de Grand-Bassam, situé au centre-ville est désormais sous tension. Le projet de restructuration de ce quartier entamé par la mairie de Grand-Bassam, a pris forme. Les populations de ce quartier ont longtemps régné dans l’anarchie faute de viabilisation. Et le coût est estimé à 724.080.000 Fcfa. Résultat, elles étaient plongées, pour la plupart, dans le noir dès la tombée du jour. Ceux qui bénéficiaient du courant utilisaient en fait des branchements anarchiques. Le député-maire de Grand-Bassam, Jean Michel Moulod, par le truchement de la Sopie a alimenté, vendredi, le réseau électrique, longtemps rêvé par les populations de ce quartier. Les habitants étaient donc en fête.
Gaous?sou Lougué, porte-parole des habitants du quartier, n’a pas caché sa joie. Soulignant qu’Odoss a longtemps été considéré comme un sous-quartier du fait de ses branchements anarchiques. Jean Michel Moulod, a demandé aux populations de mettre fin à ces pratiques aux conséquences incalculables. Et, de les inviter à souscrire à un abonnement Cie. Le premier magistrat de la commune a recommandé aux ha?bitants de monter la garde sur les lampadaires afin qu’ils ne con?naissent pas le même sort que ceux du quartier Mockey-ville. Dans ce quartier, en effet, les lampes ont mi?raculeusement disparu. Appuyant que le préjudice ainsi causé avoisine les 160 millions. Il s’agissait dans un premier temps d’ouvrir des voies puis d’effectuer des travaux de canalisation pour le drainage des eaux pluviales vers la lagune et enfin l’électrification du quartier, pendant longtemps oublié. La zone qui a bénéficié des travaux se situe entre le carrefour jeunesse et le canal.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
Gaous?sou Lougué, porte-parole des habitants du quartier, n’a pas caché sa joie. Soulignant qu’Odoss a longtemps été considéré comme un sous-quartier du fait de ses branchements anarchiques. Jean Michel Moulod, a demandé aux populations de mettre fin à ces pratiques aux conséquences incalculables. Et, de les inviter à souscrire à un abonnement Cie. Le premier magistrat de la commune a recommandé aux ha?bitants de monter la garde sur les lampadaires afin qu’ils ne con?naissent pas le même sort que ceux du quartier Mockey-ville. Dans ce quartier, en effet, les lampes ont mi?raculeusement disparu. Appuyant que le préjudice ainsi causé avoisine les 160 millions. Il s’agissait dans un premier temps d’ouvrir des voies puis d’effectuer des travaux de canalisation pour le drainage des eaux pluviales vers la lagune et enfin l’électrification du quartier, pendant longtemps oublié. La zone qui a bénéficié des travaux se situe entre le carrefour jeunesse et le canal.
Emmanuelle Kanga à Grand-Bassam
