La Côte d’Ivoire a pris une longueur d’avance sur certains pays dans le cadre de la lutte contre la dégradation de la couche d’ozone. Elle a pu éliminer totalement des gaz tels que les halons et le bromure de méthyle en 2004 et ce, avant même le délai prévu pour 2015. C’est ce qu’a annoncé le directeur de cabinet Kouassi Kouadio Mermoz, lundi à l’occasion la cérémonie d’ouverture de la 14ème édition conjointe du réseau africain des coordonnateurs nationaux des projets ozone. Et pour y arriver, le collaborateur de Karim Fadiga a indiqué que le projet Ozone Côte d’Ivoire a organisé plusieurs ateliers de formations des professionnels du froid et des agents des douanes. Il a offert des équipements pour la maîtrise des bonnes pratiques en matière de maintenance des installations du froid et de climatisation. Aussi ont été réalisé des séances d’information et de sensibilisation du grand public. Toutes ces activités ont conduit à respecter les différentes échéances d’élimination des chlorofluorocarbones (Cfc) prévues par les traités de Vienne et de Montréal. Marco Gonzalez, secrétaire exécutif du secrétariat de l’Ozone du Programme des nations unies pour l’environnement (Pnue) a noté que l’Afrique doit être une référence dans la lutte contre la destruction de la couche d’ozone.
A.K.
A.K.
