Le Directeur général du patronat ivoirien, Lakoun Ouattara, pense que les échanges avec les candidats sont satisfaisants.
Le secteur privé ivoirien a mené une intense activité sociale. Ces actions ont-ils un rapport avec les élections sui approchent ?
Non nous nous traversons les élections parce que le secteur privé est l’une des composantes qui a la chance de ne pas travailler forcement selon un quelconque mandat. Notre stratégie aujourd’hui vise à sortir des impacts de l’effet négatif que la crise a causé à l’économie. Donc il est important dans ce cadre que l’on apporte une réponse qui aide à reprendre notre place dans l’économie nationale. Nous avons aujourd’hui un autre regard sur les choses, nous voulons être beaucoup plus présents pour qu’au-delà des crises, on soit toujours plus fort pour que la croissance reparte au niveau national.
Une des plaintes récurrentes du privé est le manque d’intérêt que les gouvernements, qui se sont succédé à la tête de l’Etat lui ont manifesté. Comment expliquez-vous cet état des fait?
Je pense plutôt que sur les dix dernières années, il y a eu un renforcement du dialogue secteur privé-Etat. Effectivement à l’époque on avait un acteur principal qui était l’Etat. Aujourd’hui, les acteurs du privé ont muri, on a des ressources humaines mieux formées. Donc en termes de capacité de communication et d’échange avec l’Etat et de repositionnement stratégique nous avons beaucoup de choses à dire. Et nous sommes capables de réelles contributions aux conditions de création de richesses. Aujourd’hui, il s’agit de créer une vraie synergie de création de plus de richesse.
L’actualité nationale porte sur, c’est l’élection présidentielle, qui mettra aux prises 14 candidats. Quel est pour le secteur privé le profil du meilleur candidat?
Le président idéal pour nous est celui qui créera les conditions pour qu’on fasse plus de valeur ajoutée. Celui qui lèvera toutes les entraves qu’on connait dans le milieu des affaires. Trop de maux subsistent, le racket, l’environnement juridique et judiciaire.
Pensez-vous trouver ce président parmi les concurrents de cette élection?
Nous l’espérons. Les échanges que nous avons eus sur ces thèmes avec les candidats ces derniers mois, font écho de nos préoccupations et attentes au président qui va nous sortir de cette situation.
K. Anderson
Le secteur privé ivoirien a mené une intense activité sociale. Ces actions ont-ils un rapport avec les élections sui approchent ?
Non nous nous traversons les élections parce que le secteur privé est l’une des composantes qui a la chance de ne pas travailler forcement selon un quelconque mandat. Notre stratégie aujourd’hui vise à sortir des impacts de l’effet négatif que la crise a causé à l’économie. Donc il est important dans ce cadre que l’on apporte une réponse qui aide à reprendre notre place dans l’économie nationale. Nous avons aujourd’hui un autre regard sur les choses, nous voulons être beaucoup plus présents pour qu’au-delà des crises, on soit toujours plus fort pour que la croissance reparte au niveau national.
Une des plaintes récurrentes du privé est le manque d’intérêt que les gouvernements, qui se sont succédé à la tête de l’Etat lui ont manifesté. Comment expliquez-vous cet état des fait?
Je pense plutôt que sur les dix dernières années, il y a eu un renforcement du dialogue secteur privé-Etat. Effectivement à l’époque on avait un acteur principal qui était l’Etat. Aujourd’hui, les acteurs du privé ont muri, on a des ressources humaines mieux formées. Donc en termes de capacité de communication et d’échange avec l’Etat et de repositionnement stratégique nous avons beaucoup de choses à dire. Et nous sommes capables de réelles contributions aux conditions de création de richesses. Aujourd’hui, il s’agit de créer une vraie synergie de création de plus de richesse.
L’actualité nationale porte sur, c’est l’élection présidentielle, qui mettra aux prises 14 candidats. Quel est pour le secteur privé le profil du meilleur candidat?
Le président idéal pour nous est celui qui créera les conditions pour qu’on fasse plus de valeur ajoutée. Celui qui lèvera toutes les entraves qu’on connait dans le milieu des affaires. Trop de maux subsistent, le racket, l’environnement juridique et judiciaire.
Pensez-vous trouver ce président parmi les concurrents de cette élection?
Nous l’espérons. Les échanges que nous avons eus sur ces thèmes avec les candidats ces derniers mois, font écho de nos préoccupations et attentes au président qui va nous sortir de cette situation.
K. Anderson