Quelle est la valeur de la visite de M. Guéant à la veille des élections?
La France joue un rôle important en ce qui concerne la Côte d’Ivoire non seulement au plan bilatéral, mais aussi au niveau des relations de la Côte d’Ivoire avec le reste du monde. Donc, cette visite a été souhaitée par la Côte d’Ivoire. Nous l’avions demandée déjà en juin 2004. Et M. Guéant devait arriver en janvier 2010. Je pense que le fait qu’il arrive maintenant est une bonne chose. Pour un nouveau départ entre la France et la Côte d’Ivoire, et entre la Côte d’Ivoire et le reste du monde.
La Côte d’Ivoire a donc demandé ce nouveau départ à M. Guéant ?
Oui, la Côte d’Ivoire a toujours souhaité un nouveau départ depuis les évènements de novembre 2004. Nous avons fait différentes démarches mais la porte était fermée. Cependant, nous n’avons jamais eu des problèmes à faire des démarches en direction de la France. Nous sommes donc contents de ce dénouement.
Quelles leçons tirez-vous de cette visite ?
Les leçons qu’il faut tirer, c’est qu’il y a une volonté de part et d’autre de renouer. Parce que la Côte d’Ivoire a un très grand rôle dans la sous-région. Et il n’était pas bon que la France ait des relations tendues avec la Côte d’Ivoire. Non seulement pour elle-même, mais aussi pour la Côte d’Ivoire afin qu’après les élections, la Côte d’Ivoire puisse jouer son rôle dans la sous-région et dans le monde.
Le président Laurent Gbagbo avait souhaité vider un « contentieux » avec la France, est-ce cela qui est fait aujourd’hui?
Non, je pense que cela avait été déjà fait. La simple venue du secrétaire général en Côte d’Ivoire est très importante. Maintenant, le reste n’est plus qu’une question de suivi. Je pense qu’aujourd’hui, c’est vraiment le point du départ d’un nouveau partenariat avec la France et le suivi se fera d’une façon constante les jours qui viennent.
Entretien réalisé par B.I.
La France joue un rôle important en ce qui concerne la Côte d’Ivoire non seulement au plan bilatéral, mais aussi au niveau des relations de la Côte d’Ivoire avec le reste du monde. Donc, cette visite a été souhaitée par la Côte d’Ivoire. Nous l’avions demandée déjà en juin 2004. Et M. Guéant devait arriver en janvier 2010. Je pense que le fait qu’il arrive maintenant est une bonne chose. Pour un nouveau départ entre la France et la Côte d’Ivoire, et entre la Côte d’Ivoire et le reste du monde.
La Côte d’Ivoire a donc demandé ce nouveau départ à M. Guéant ?
Oui, la Côte d’Ivoire a toujours souhaité un nouveau départ depuis les évènements de novembre 2004. Nous avons fait différentes démarches mais la porte était fermée. Cependant, nous n’avons jamais eu des problèmes à faire des démarches en direction de la France. Nous sommes donc contents de ce dénouement.
Quelles leçons tirez-vous de cette visite ?
Les leçons qu’il faut tirer, c’est qu’il y a une volonté de part et d’autre de renouer. Parce que la Côte d’Ivoire a un très grand rôle dans la sous-région. Et il n’était pas bon que la France ait des relations tendues avec la Côte d’Ivoire. Non seulement pour elle-même, mais aussi pour la Côte d’Ivoire afin qu’après les élections, la Côte d’Ivoire puisse jouer son rôle dans la sous-région et dans le monde.
Le président Laurent Gbagbo avait souhaité vider un « contentieux » avec la France, est-ce cela qui est fait aujourd’hui?
Non, je pense que cela avait été déjà fait. La simple venue du secrétaire général en Côte d’Ivoire est très importante. Maintenant, le reste n’est plus qu’une question de suivi. Je pense qu’aujourd’hui, c’est vraiment le point du départ d’un nouveau partenariat avec la France et le suivi se fera d’une façon constante les jours qui viennent.
Entretien réalisé par B.I.