Abidjan - Voici les principales informations de journaux ivoiriens parus jeudi:
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FRATERNITE MATIN
Une quarantaine d'avocats du barreau ivoirien et deux représentants du ministère ivoirien de la Justice s'imprègnent depuis mercredi à Abidjan des textes régissant la libre circulation des personnes et des biens dans l'espace de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Le représentant-résident de la Commission de l'UEMOA. Cheick N'Dir, a insisté sur le contenu du Traité de 1994 instituant l'UEMOA dont la mise en œuvre s'articule autour de la libre circulation des personnes, biens, services et capitaux, le droit d'établissement des personnes exerçant une activité indépendante ou salariée et enfin la mise en place d'un tarif extérieur commun et une politique commerciale commune. Au terme de trois jours d'échanges, les participants auront à répondre et prendre des résolutions sur bien des préoccupations, à savoir si les administrations dans les Etats membres jouent leur rôle, si les barreaux d'accueil et d'origine ont été d'un appui appréciable aux avocats désireux de s'installer dans un autre pays membre.
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NOTRE VOIE
Korhogo, le chef-lieu de la région des Savanes (nord) est depuis mercredi au rythme de Laurent Gbagbo et d'Alassane Ouattara, candidats respectifs de La majorité présidentielle (LMP) et du Rassemblement des Républicains (RDR). Arrivé en fin d'après-midi, Alassane Ouattara a débuté sa visite dans les villes et villages de la région. Sa tournée prendra fin avec un méga-meeting annoncé pour samedi au stade municipal de Korhogo. C'est exactement dans ce même stade que Laurent Gbgabo, candidat à sa propre succession, anime un meeting ce jeudi. La ville a pris des allures de cité en fête. Les états-majors des deux camps sont aux abois. Des jeunes partisans d'Alassane Ouattara ont bruyamment manifesté, à la limite de l'hostilité et de l'inélégance, autour de la résidence du chef de l'Etat, Laurent Gbagbo. En vérité, aucune parole blessante ou de provocation n'a été proférée par aucun responsable qui compte. En dehors des slogans pour marquer sa différence.
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L'INTER
La Commission électorale indépendante et l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) ne se sont pas entendues mercredi pour la distribution des cartes d'identité et d'électeur dans le district d'Abidjan. La CEI avait choisi neuf communes qui devaient recevoir les cartes, les quatre autres restantes devant être servies plus tard. L'ONUCI qui avait en charge de convoyer les cartes dans les différents lieux de vote, ne s'est pas exécutée, jugeant cette distribution "parcellaire" pour une utilisation efficiente du matériel roulant. Le Premier ministre Guillaume Soro a estimé qu'il y a urgence et a donné des instructions afin que les véhicules de la Primature soient réquisitionnés pour le convoyage des cartes pour permettre le démarrage de la distribution. Ce qui a été fait, selon des sources proches de la Primature, dans les 9 premières communes citées. Les quatre autres étant prévues "pour les heures qui suivent". Toutefois, l'ONUCI se dit prête pour le convoyage des cartes à l'intérieur du pays. Fin
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FRATERNITE MATIN
Une quarantaine d'avocats du barreau ivoirien et deux représentants du ministère ivoirien de la Justice s'imprègnent depuis mercredi à Abidjan des textes régissant la libre circulation des personnes et des biens dans l'espace de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA). Le représentant-résident de la Commission de l'UEMOA. Cheick N'Dir, a insisté sur le contenu du Traité de 1994 instituant l'UEMOA dont la mise en œuvre s'articule autour de la libre circulation des personnes, biens, services et capitaux, le droit d'établissement des personnes exerçant une activité indépendante ou salariée et enfin la mise en place d'un tarif extérieur commun et une politique commerciale commune. Au terme de trois jours d'échanges, les participants auront à répondre et prendre des résolutions sur bien des préoccupations, à savoir si les administrations dans les Etats membres jouent leur rôle, si les barreaux d'accueil et d'origine ont été d'un appui appréciable aux avocats désireux de s'installer dans un autre pays membre.
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NOTRE VOIE
Korhogo, le chef-lieu de la région des Savanes (nord) est depuis mercredi au rythme de Laurent Gbagbo et d'Alassane Ouattara, candidats respectifs de La majorité présidentielle (LMP) et du Rassemblement des Républicains (RDR). Arrivé en fin d'après-midi, Alassane Ouattara a débuté sa visite dans les villes et villages de la région. Sa tournée prendra fin avec un méga-meeting annoncé pour samedi au stade municipal de Korhogo. C'est exactement dans ce même stade que Laurent Gbgabo, candidat à sa propre succession, anime un meeting ce jeudi. La ville a pris des allures de cité en fête. Les états-majors des deux camps sont aux abois. Des jeunes partisans d'Alassane Ouattara ont bruyamment manifesté, à la limite de l'hostilité et de l'inélégance, autour de la résidence du chef de l'Etat, Laurent Gbagbo. En vérité, aucune parole blessante ou de provocation n'a été proférée par aucun responsable qui compte. En dehors des slogans pour marquer sa différence.
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L'INTER
La Commission électorale indépendante et l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) ne se sont pas entendues mercredi pour la distribution des cartes d'identité et d'électeur dans le district d'Abidjan. La CEI avait choisi neuf communes qui devaient recevoir les cartes, les quatre autres restantes devant être servies plus tard. L'ONUCI qui avait en charge de convoyer les cartes dans les différents lieux de vote, ne s'est pas exécutée, jugeant cette distribution "parcellaire" pour une utilisation efficiente du matériel roulant. Le Premier ministre Guillaume Soro a estimé qu'il y a urgence et a donné des instructions afin que les véhicules de la Primature soient réquisitionnés pour le convoyage des cartes pour permettre le démarrage de la distribution. Ce qui a été fait, selon des sources proches de la Primature, dans les 9 premières communes citées. Les quatre autres étant prévues "pour les heures qui suivent". Toutefois, l'ONUCI se dit prête pour le convoyage des cartes à l'intérieur du pays. Fin
