Voice of America - Les forces nouvelles avaient lancé une rébellion parce qu’elles jugeaient qu’il y avait des citoyens de seconde zone. Aujourd’hui, les anciens rebelles essaient de jouer les arbitres.
La campagne électorale pour la présidentielle ivoirienne du 31 octobre démarre le 15 Octobre. Le scrutin a déjà été reporté plusieurs fois depuis 2002 et les Ivoiriens espèrent que cette fois-ci est la bonne.
14 candidats sont en lice. Laurent Gbagbo, le président sortant et candidat du Front populaire ivoirien (FPI), commence sa campagne à Man, fief du défunt président Robert Guéi. Alassane Dramane Ouattara, candidat du Rassemblement des républicains (RDR), tient un meeting à Yopougon quartier populaire d’Abidjan. Henri Konan Bédié, ancien président et patron du PDCI-RDA, entamera sa campagne lundi à Yamoussoukro, la capitale politique du pays.
Les vieux démons du passé, comme le débat sur « l’ivoirité », sont définitivement réglés avec la distribution des cartes d’identité et des cartes d’électeurs. Les forces nouvelles avaient lancé une rébellion à l’époque parce qu’elles jugeaient qu’il y avait des citoyens de seconde zone. Aujourd’hui les anciens rebelles essaient de jouer les arbitres.
La campagne électorale pour la présidentielle ivoirienne du 31 octobre démarre le 15 Octobre. Le scrutin a déjà été reporté plusieurs fois depuis 2002 et les Ivoiriens espèrent que cette fois-ci est la bonne.
14 candidats sont en lice. Laurent Gbagbo, le président sortant et candidat du Front populaire ivoirien (FPI), commence sa campagne à Man, fief du défunt président Robert Guéi. Alassane Dramane Ouattara, candidat du Rassemblement des républicains (RDR), tient un meeting à Yopougon quartier populaire d’Abidjan. Henri Konan Bédié, ancien président et patron du PDCI-RDA, entamera sa campagne lundi à Yamoussoukro, la capitale politique du pays.
Les vieux démons du passé, comme le débat sur « l’ivoirité », sont définitivement réglés avec la distribution des cartes d’identité et des cartes d’électeurs. Les forces nouvelles avaient lancé une rébellion à l’époque parce qu’elles jugeaient qu’il y avait des citoyens de seconde zone. Aujourd’hui les anciens rebelles essaient de jouer les arbitres.